Après un mois sur la péninsule indienne, nous nous envolons direction le Népal! Sans perdre de temps, nous nous lançons en autonomie dans un trek de 15 jours (nom de code: EBC), en direction d’un certain mont Everest…

Un mois en Inde c’est la garantie de (très) nombreux quiproquo et autres échecs de communication. Plus encore que la langue, ce sont les différences culturelles profondes qui rendent si difficile la compréhension mutuelle. Mais d’un autre côté, si c’était facile, ça serait beaucoup moins drôle!

Loin d’être une contrainte pour nous, les longs trajets en train, bus et tuktuk font partie intégrante du charme de la péninsule indienne. On y retrouve tout ce qui fait le sel (devrions-nous dire le piment?) du voyage: rencontres, déboussolement, petites frayeurs et grands éclats de rire. L’expérience vaut bien les quelques moments d’inconfort, par ailleurs bien moindres que ce à quoi on pouvait s’attendre. On en redemande!

Autre ingrédient majeur du dépaysement indien: les repas! Tout est différent: la nourriture bien évidemment, mais aussi la façon de la manger, les règles de politesse, et même le service à table. Rien de plus stimulant pour les cinq sens qu’un authentique repas indien!

Voyager en Inde, c’est la promesse d’un dépaysement à tous les niveaux. En particulier lorsqu’il s’agit d’interagir avec un indien… ce qui ne manque jamais d’arriver dès qu’on pose le pied dehors!

Tout premier épisode de notre voyage, où l’on vous raconte toutes les subtilités des déplacements à Mumbai, la mégapole indienne aux 24 millions d’habitants