On continue donc à voyager dans la vie et dans l'oeuvre de Victor Hugo, avec des enregistrements d'archive de mon père Jean-Pierre Rosnay et des enregistrements récents faits avec quelques amis du Club des Poètes.
On commence par Jean-Pierre Rosnay qui parle de la douleur de Hugo quand il perdit Léopoldine et qui introduit son ami comédien Claide Serval qui interprète "Trois ans après".
On écoute ensuite notre ami Nathan qui interprète "Elle avait pris ce pli", un autre poème de deuil et d'amour pour Léopoldine.
Jean-Pierre Rosnay converse ensuite avec l'écrivain Alain Vircondelet à l'époque où il était un tout jeune et brillant professeur. Le jeune homme transmet son enthousiasme pour ce poète qui par sa force et sa générosité reste encore et toujours moderne.
Ensuite, mon ami Benoît Dayrat interprète "la demoiselle" de Hugo, hommage à la jeunesse et au désir.
Ensuite, je discute avec mes amis Danièle et Arnaud Laster qui animent avec passion la Société des Amis de Victor Hugo, très active pour la diffusion et la défense de notre grand poète. On parle de Hugo et les enfants, Hugo et les événements de la Commune.
On écoute Nathan qui interprète "Jeanne était au pain sec" extrait de l'Art d'être Grand Père" dont Danièle nous explique que cette invitation à l'indulgence concerne les enfants aussi bien que les communards.
On écoute la compagnie "Jolie Môme" que j'ai connu grâce à mon ami Frédéric Rumeau, comédien de grand talent. Cette enthousiaste compagnie de chanteurs militants chante le début de "La semaine sanglante" un texte de Jean-Baptiste Clément (qui est aussi l'auteur de "le temps des cerises").
Il est question de Louise Michel, une des plus ardentes combattantes de la commune et Mireille nous fait l'amitié d'interpréter le poème de Hugo qui lui rend hommage "Viro Major".
Retour aux archives : le professeur Henri Noël évoquait pour Jean-Pierre Rosnay la perception par la jeunesse (de l'époque) de l'oeuvre de Hugo et de son caractère ardent et révolutionnaire. Jean-Pierre donne ensuite la parole à Jean Valière, un de ses amis comédiens de la "troupe du Club des Poètes" des années 70. Et quelques mots de conclusion de Jean-Pierre pour saluer encore ce poète qui donne à sa quête de Dieu un visage aimant et humain.
Le son n'est pas tout le temps parfait, mais j'ai fait de mon mieux !
Racontez-moi ce que vous en pensez et tout ce qui vous passe par la tête.
instagram : @club.des.poetes
facebook.com/vivelapoesie
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.