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Le dernier des concertos pour piano de Beethoven s'impose comme le plus abouti. Loin de se référer à l’impérialisme napoléonien, le surnom « Empereur », introduit après la mort du compositeur, exprime la grandeur de l'œuvre.
By Philharmonie de Paris | Charlotte Landru-Chandès5
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Le dernier des concertos pour piano de Beethoven s'impose comme le plus abouti. Loin de se référer à l’impérialisme napoléonien, le surnom « Empereur », introduit après la mort du compositeur, exprime la grandeur de l'œuvre.

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