J’me disais, est-ce qu’on est vraiment ce qu’on lit ?
Ce premier épisode du format « J’me disais » commence en terrasse, avec un thé glacé et un regard de travers.
Vous voyez ce moment où vous êtes tranquillement en train de parler d’un livre que vous aimez, et que quelqu’un, sans rien dire, vous fait comprendre que ce n’est pas « suffisamment bien » ? Que vos lectures ne sont pas à la hauteur de leur Camus soigneusement posé à côté de leur café (c’est grave instagrammable en même temps, tu comprends) ?
Cet épisode, c’est un coup de gueule doux (mais ferme) contre le snobisme littéraire. Celui qui classe, qui exclut, qui fait croire que certains livres comptent plus que d’autres.
On y parle de capital culturel avec Bourdieu (mais promis, de façon digeste, parce que bon La Distinction, la moi lycéenne s’en rappelle sous forme de trauma), de romantasy et de plaisir de lire, de honte culturelle, de lectures féminines mal jugées et surtout de ce qu’on perd à vouloir hiérarchiser l’imaginaire.
Bref, 20 minutes pour vous rappeler qu’il n’y a pas de diplôme à avoir pour aimer lire, et qu’il est URGENT de foutre la paix aux gens qui lisent ce qu’ils aiment.
Juste un peu de curiosité, et beaucoup de liberté.
Alors bonne écoute et viens vite m’en donner des nouvelles sur Instagram @lemotdesautres <3
Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.