Aujourd'hui dans Le Score : cinéma et théâtre à l’honneur. On accueille un comédien pour qui l’année 2024 aura été tout sauf tranquille : un véritable millésime, un tourbillon… même si, on le rappelle, boire face au vent reste une entreprise risquée.

Quant à lui, aucune modération n’est requise : plus on le croise, mieux on se porte. Charisme éclatant, précision de jeu remarquable, ce ne sont pas seulement nos impressions, mais aussi celles de ses partenaires de scène et d’écran.

On l’a vu récemment dans Le Comte de Monte Cristo, mais aussi dirigé par Valéria Bruni Tedeschi dans Les Amandiers, et nommé par l’Académie des Molières pour sa performance dans La prochaine fois que tu mordras la poussière.

On le retrouve aujourd'hui à l'affiche du nouveau film de Cédric Klapisch, La venue de l’avenir, présenté Hors-Compétition au 78e Festival de Cannes.

Vassili Schneider répond aux questions de Charline Roux.

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Ce n’est pas tous les jours qu’on reçoit un humoriste capable de remplir des Zéniths et de décrocher un Molière, tout en gardant un calme olympien et une voix douce comme une fin d’après-midi d’automne.

Dans Le Score ce soir, on laisse place à la précision comique d’un funambule du verbe, champion des silences bien placés, du regard qui dit beaucoup et des répliques qui restent.

Après le triomphe de Zèbre, il revient avec un nouveau spectacle intitulé Par amour, déjà complet dans la plupart des villes — Paris, Marrakech, Londres, Bayonne, Pointe-à-Pitre — et même deux Accor Arena annoncées pour avril 2026.

Coiffé comme jamais, drôle sans forcer, discret et immense à la fois.

Paul Mirabel répond aux questions de Charline Roux.

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Dans Le Score aujourd’hui : de la musique, de la conversation, et un regard à la fois pop et affûté. Pas le nôtre, fatigué par les années et corrigé par des verres aussi progressifs que nos idées, mais celui de deux invités réunis en studio.

Une photographe et réalisatrice, un producteur, musicien, DJ et égérie olympique, un duo solaire dont les univers respectifs ou conjoints ont l’effet immédiat d’un shot de vitamine C.

Lui a signé Born a Loser (titre mensonger s’il en est), elle met en scène aussi brillamment les autres — d’Angèle à Miley Cyrus — qu’elle joue avec sa propre image.

Alice Moitié et Myd répondent aux questions de Charline Roux.

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Aujourd’hui dans Le Score, on pose les fusils mais pas les tensions… direction forêt obscure et secrets de famille.

Musique, conversation, et l’occasion de plonger dans une œuvre qui, sous ses airs de chasse à courre, cache un drame humain aussi feutré que tranchant.

Celui qui nous en parle irradiait déjà dans Été 85 de François Ozon. Depuis, il a managé NTM dans Suprêmes d’Audrey Estrougo, troublé Cécile de France dans La Passagère, portée perruque et intrigues dans Mon Crime, endossé le rôle du fils de Virginie Efira dans Rien à perdre, enchaîné Ni chaînes ni maîtres et Une vie rêvée à la rentrée dernière.

Il est à l’affiche ce mercredi 14 mai du film Le Domaine de Giovanni Aloi.

Félix Lefebvre répond aux questions de Charline Roux.

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Dans Le Score aujourd’hui, on dégaine les punchlines et les persos frappadingues… avec une créature mythologique en verlan.

Aucune patrouille à l’horizon, juste un artiste qui a squatté nos écrans avec ses personnages aussi déjantés qu’attachants, et qui depuis le début de l’année fait vibrer les planches du Théâtre du Petit Saint-Martin.

Son spectacle Coucou !, ovni scénique aussi tordant que maîtrisé, a affiché complet à une vitesse record. Reprise jusqu’au 28 juin avant une tournée à partir d’octobre et un agenda bien rempli pour 2026.

Moguiz répond aux questions de Charline Roux.

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Aujourd’hui dans Le Score, de la musique, des mots et une voix qui mérite à elle seule un Dolby Surround.

Quelle joie de recevoir probablement la voix la plus apaisante du cinéma — et de la télévision, rendons à César ce qui appartient à Arte. C’est là qu’on l’a vu en psy idéal dans En thérapie, celui dont rêvent tou·tes les névrosé·es.

Dans La Vie de Château, sublime film d’animation, il prête cette même voix à un personnage inoubliable (qu’on ne cessera jamais de recommander). À l’écran, on l’a aussi croisé dans Une vie après, La Peste, Les Revenants, Fiertés...

Au cinéma, il a tourné avec Bertrand Tavernier, Agnès Jaoui, François Ozon, Maïwenn, Valérie Donzelli… et sur les planches, nommé aux Molière pour Opening Night, dans un rôle tenu autrefois par John Cassavetes.

Une carrière riche, loin d’être exhaustive. On le retrouve aujourd'hui dans le film Les Musiciens de Grégory Magne, au cinéma le 7 mai.

Frédéric Pierrot répond aux questions de Charline Roux.

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Dans l'émission du jour : musique, conversation… comme toujours, et un petit supplément passement de jambes, en formation 4-4-2.

Car pas besoin d’avoir la science de Jean-Michel Larqué (oui, référence générationnelle assumée) pour apprécier le film qui nous vaut aujourd’hui la visite de notre invité.

Un comédien qu’on a vu dans Le Convoi de Frédéric Schoendoerffer, La Promesse verte d’Édouard Bergeon, vengeur dans Chouf de Karim Dridi, flamboyant dans Le Monde est à toi de Romain Gavras, traumatisé par des insectes dans La Nuée, bouleversant dans Un Triomphe, au cœur de Scandale d’État de Thierry de Peretti… et ce n’est là qu’un extrait d’une filmographie dense.

Il est aussi chef d’unité dans une série sur la BRI, et désormais agent de footballeur dans Les Arènes de Camille Perton, en salles ce mercredi 7 mai.

Sofian Khammes répond aux questions de Charline Roux.

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Dans Le Score, aujourd’hui : musique, conversation et des hommes qui se livrent… grâce à une invitée qui les met en scène, les interroge, les écoute.

Et comme le public, on reste saisi par ce spectacle : documenté, mais pas documentaire, politique sans être militant, et surtout débordant de vie et d’espoir — oui, même pour les cœurs endurcis et cyniques (présente).

Le titre ? La tendresse. Soit, selon la définition, « sentiment d'amitié, d'affection, d'amour qui se manifeste par des paroles, des gestes doux et des attentions délicates ». On y ajoute ici de la danse, des affrontements chorégraphiés, des cris aussi — bref, de l’émotion brute.

Julie Berès répond aux questions de Charline Roux.

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Dans Le Score aujourd'hui : musique, conversation et une œuvre de bande dessinée hors norme.

Une création aussi dense qu’ambitieuse, portée par une autrice qui sublime les marginaux, les étranges, les êtres différents, à travers un trait salué par Art Spiegelman lui-même — l’auteur de Maus, excusez du peu.

Notre invitée est une femme dont la détermination rivalise avec le talent : elle a surmonté un virus qui menaçait de la priver définitivement du dessin, allant jusqu’à s’attacher un stylo à la main pour continuer à créer.

Après l’extraordinaire Moi, ce que j’aime, c’est les monstres – Livre premier, elle signe aujourd'hui le second volume, toujours publié chez Monsieur Toussaint Louverture.

Emil Ferris répond aux questions de Charline Roux.

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Dans Le Score du jour : pas de coup de pied ni de poing au programme, mais des uppercuts verbaux, puisque la lutte des classes, elle, ne connaît ni règles ni temps mort.

On est nombreuses et nombreux à avoir découvert notre invitée via son compte Instagram Préparez-vous pour la bagarre, où elle démonte méthodiquement les discours sexistes et anti-féministes présents dans les médias.

On lui doit aussi Défaire le discours sexiste dans les médias, Moi aussi : MeToo, au-delà du hashtag et En bons pères de famille.

Elle revient aujourd'hui, fièrement vêtue sur les photos presse de son plus beau t-shirt à tête de loup, pour présenter Ascendant Beauf, publié aux éditions du Seuil.

Rose Lamy répond aux questions de Charline Roux.

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