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By Collectif de Recherche Action Politique et Démocratie
The podcast currently has 32 episodes available.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans un nouvel épisode des balados du Caped.
Les longs hivers canadiens laissent place aux beaux jours et au retour des cyclistes aux abords des villes. Même si certains et certaines d’entre eux, pour les plus téméraires, ne les ont pas quittés malgré la neige et le froid, on peut observer une augmentation de la circulation des vélos sur les pistes cyclables montréalaises.
Le déplacement en vélo est une alternative certes écologique, mais la pratique du vélo en ville constitue aussi un enjeu politique. En effet, dû au peu d’investissements publics dans l’aménagement des pistes cyclables dans certains quartiers, notamment les plus défavorisés, faire du vélo prend une tout autre forme en termes de sécurité, mais aussi plus globalement en termes de réinvestissement social dans ces quartiers.
De plus, la pratique du vélo est politique car certaines catégories sociales, notamment les femmes, se font davantage frapper à vélo. Socialisées à prendre moins de place et à moins s’imposer dans la circulation, les femmes se retrouvent souvent dans les angles morts des automobilistes. Par ailleurs, les femmes issues de l’immigration, souvent peu socialisées à la pratique du vélo, apprennent sur le tard à pédaler et sont moins confiantes sur les routes, ce qui les met le plus souvent en danger. Ainsi, la cohabitation entre les automobilistes, les poids lourds et les cyclistes n’est pas prise au sérieux par les pouvoirs publics et ces derniers négligent la sécurité de certaines populations déjà aux marges de la société.
Pourtant, que cela soit pour les femmes ou tout autre groupe marginalisé, la pratique du vélo est vue comme un outil d’empowerment ou d’agentivation. Cela permet d’investir la route, au-delà des frontières de marginalisation urbaines et sociales.
Aujourd’hui, plusieurs groupes militent pour plus de sécurité, et pour discuter de tout cela, nous avons le plaisir d'accueillir Fatima Gabriela Salazar Gomez : Fatima est une réfugiée 100% papa à la huancaína, une mestiza à la Gloria Anzaldúa, une féministe décoloniale passionnée de participation et de mobilisation citoyenne, une Nord-Montréalaise beaucoup trop fière de son hood et de son monde. Lorsqu’elle ne milite pas dans son quartier, elle travaille à Hoodstock comme chargée de projet.
Nous parlerons de ses engagements à Montréal Nord et des différents projets qu’elle mène pour défendre la mobilité active dans son quartier. Nous aborderons notamment l’interdépendance de toutes les luttes sociales dans les quartiers populaires en centrant l’engagement pour la mobilité active dans les revendications de justice sociale !
Entretien avec Fatima Gabriela Salazar Gomez
On vous souhaite une bonne écoute!
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Je suis heureuse de vous retrouver pour un nouvel épisode de la saison hivernale de nos podcast.
Je suis Fella Hadj Kaddour, doctorante en science politique, membre du CAPED et je serai votre hôte pour l’épisode d’aujourd’hui.
***
Lors de la rentrée scolaire de 2023, le ministre de l’éducation Bernard Drainville annonçait qu’il manquait 8558 enseignant·e·s dans le réseau de l’éducation québécois.
À l'époque, la situation est telle que le ministre admet que la priorité n’est pas tant d’assurer la présence d’un enseignant dans chaque classe que de veiller à ce qu’il y ait au moins un adulte dans la pièce. Si possible avec un bac, précise-t-il…
Plusieurs incitatifs sont mis en place pour recruter de nouveaux enseignants, qu’on peut par ailleurs questionner : hausse de salaire de 14%, 20 000$ pour les étudiants en éducation.... Le ministre lance également un appel aux personnes ayant un baccalauréat dans des disciplines telles que les mathématiques, la chimie, la géographie, le français ou l’histoire.
Cette situation n’est pas exceptionnelle : chaque année, les enseignant·e·s alertent le gouvernement sur le manque de ressources dans le secteur de l’enseignement public. En 2020, dans un reportage réalisé par RAD, on remarque une grande détresse quant aux conditions de travail des enseignants, et le manque de soutien de la part du gouvernement. Un enseignant sur quatre quitte la profession au cours des sept premières années de sa carrière, et ce, même avant la COVID 19.
Plusieurs problématiques sont posées par les enseignant·e·s : surcharge des classes, surcharge dans les tâches liées à l’enseignement, et enfin manque de personnel, de psychoéducateur·ice·s, de travailleur·euse·s sociaux·les et d’orthopédagogues… Un manque qui crée une pression supplémentaire sur les enseignant·e·s, obligé·e·s d’avoir toutes ces casquettes à la fois.
En novembre 2024, un mouvement de grève a été enclenché dans tout le secteur public. C’est une mobilisation historique : on n'avait pas vu un tel mouvement au sein du front commun depuis 50 ans. De l'autre côté, la fédération autonome des enseignants, la FAE, entame une grève générale illimitée.
Pour parler de tout cela, nous avons le plaisir d'accueillir :
Rachel Sarrasin: enseignante au CÉGEP en science politique, membre du comité de négociation pour l’alliance sectorielle des professeurs de CÉGEP.
Sarah Saci: Enseignante d’histoire au secondaire à Montréal depuis 4 ans.
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans ce nouvel épisode des balados du CAPED.
Les Balados du Caped visent à valoriser et à diffuser les travaux qui abordent tous les enjeux concernant les mouvements sociaux. Nous avons à cœur la résistance et l’organisation collective. C’est dans cette perspective que nous reconnaissons que ces balados sont enregistrés à l’Université de Montréal, laquelle est située sur des territoires non cédés de la nation Kanien'kehà:ka qu’on nomme Tio'tia:ke. Nous exprimons notre solidarité envers toutes les communautés autochtones qui luttent pour leur droit à l’autodétermination.
En tant que collectif de recherche portant sur les mouvements sociaux, il était important pour nous d’aborder l’un des événements politiques les plus importants des derniers mois : le génocide en cours en Palestine occupée. L’épisode d’aujourd’hui s’inscrit dans la continuité de la conférence organisée par nos collègues de l’Observatoire des profilages intitulée : “Voix Palestiniennes, voix pour la Palestine: profilage et censure au Canada depuis 1960.” https://www.youtube.com/watch?v=XKgdPoxi82A
Durant cette conférence, les panélistes Houda Asal et Dyala Hamzah reviennent sur l’histoire du militantisme pro-palestinien au Canada et sur les répressions subies par ces activistes depuis le début de la résistance, qui correspond au moment de la colonisation de la Palestine historique en 1948. D’autres sujets sont abordés, notamment la censure de plusieurs activités académiques et associatives portant sur la Palestine, pour des raisons dites sécuritaires, mais aussi le silence de nos institutions face au génocide en cours.
Plusieurs collectifs, syndicats, associations étudiantes, et professeur·e·s inscrit·e·s depuis des décennies dans la lutte pro-palestinienne ont interpellé la communauté universitaire à prendre position, à agir en faveur d’un cessez-le-feu immédiat et permanent et à soutenir la libération de la Palestine.
C’est dans la continuité de ces appels que nous avons le plaisir d'accueillir des étudiantes engagées dans des collectifs qui militent en faveur de la libération de la Palestine. Avec nous :
Liza Hammar, doctorante en études littéraires à l’UQAM, militante féministe décoloniale marxiste.
Sonya Benyahmed, doctorante à l’Université de Montréal, militante féministe, pour la justice sociale et militante pro-palestinienne, et, plus largement, militante du mouvement étudiant. Elle est membre du Palestinian Youth Movement et du SDHPP UDEM (Solidarité pour les droits humains des Palestiniennes et des Palestiniens).
Leila, étudiante/chercheure et militante antiraciste, décoloniale et anticapitaliste. Membre de SDHPP-UQAM et d’autres collectifs anticoloniaux à Montréal.
Références:
FIDH: “Décision historique de la CIJ: La FIDH salue la reconnaissance d’un risque plausible de génocide par l’État d'Israel”. http://tinyurl.com/4t5kk8vf
Arab, Yannis. Palestine pour une Paix-Juste, auto édition, 2017, 358 p.
Pappé, Ilan. Nettoyage ethnique de la Palestine, Fayard, 2008, 394 p.
Résolution votée par l’Assemblée générale de l'institut en études féministes de l’UQAM: http://tinyurl.com/2ekwer8u
Voir aussi l'entretien avec Houda Asal dans les balados du CAPED.
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Pour le premier épisode de la saison d’automne, nous souhaitons mettre en avant un travail collectif mené par les professeur·e·s et les doctorant·e·s du CAPED. Il s’agit de l’ouvrage Le Québec en mouvements : continuité et renouvellement des pratiques militantes, dirigé par Pascale Dufour, Laurence Bherer et Geneviève Pagé. Publié aux Presses de l’Université de Montréal, le livre sort en librairie le 20 novembre.
Ce livre fait suite à une première édition intitulée Québec en mouvements, parue en 2008 chez Lux Éditeur, sous la direction de Francis Dupuis-Déri. Une première édition qui visait, comme le fait la nouvelle parution, à remettre les mouvements sociaux au centre de la vie politique québécoise, à redessiner les contours des luttes sociales et à inscrire les acteurs progressistes au centre des dynamiques politiques. Quinze ans plus tard, qu’en est-il de ces mouvements sociaux ? Comment se sont-ils transformés ? Ce sont les questions que nous nous poserons tout au long de l’épisode.
Pour en discuter, nous avons le plaisir d'accueillir deux des trois professeures du CAPED qui ont dirigé le livre : Laurence Bherer, professeure de science politique à l’Université de Montréal ainsi que Geneviève Pagé, professeure de science politique à l’UQAM.
NB: Ce livre est le fruit de la collaboration entre plusieurs membres du CAPED dont celle de Michelle E.J Martineau, doctorante en science politique à l'université de Montréal, qui est à l’origine de la conception de la couverture du livre ainsi que tous les visuels de notre balado. Nous la remercions pour son travail et saluons son talent artistique. Pour suivre son travail : https://www.instagram.com/michelle_ejm/?igshid=YTQwZjQ0NmI0OA%3D%3D&fbclid=IwAR2YpV8iz0qQAuXumxxLfa8RPk8_r_Q6KyKznxBtFQgkI1ZiE0Cy-ug32_E
Nous vous souhaitons une très belle écoute.
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans un nouvel épisode des balados du CAPED.
Nous sommes ravi·e·s de vous retrouver pour notre second épisode de la saison d’été.
Nous avons le plaisir d'accueillir Sonia Alimi, doctorante en sociologie (avec concentration en études féministes) à l'UQAM. Sonia est également chargée de cours à l’Institut de Recherche et d’Études Féministe (IREF) et membre du CAPED.
Dans le présent épisode, nous nous intéressons au projet de recherche de Sonia. Ce dernier vise à comprendre comment les héritières de l’immigration nord-africaine en France, en particulier celles engagées dans le féminisme, l’antiracisme et le décolonialisme, résistent aux systèmes d’oppression. Sonia s’intéresse plus particulièrement à la résistance à travers le corps et la mémoire. Elle mobilise ainsi une méthodologie très originale, qui inclut la photographie et la sociologie visuelle. L’objectif est de mieux appréhender les processus féministes de décolonisation déployés et incarnés par ces Françaises héritières de l’immigration.
Bonne écoute !
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans un nouvel épisode de la saison d’été des balados du CAPED !
En septembre 2022, une juge de l'Arizona, Kellie Johnson, a rétabli l'interdiction presque totale de l'avortement, réactivant une loi qui remontait au 19e siècle. Désormais, il ne sera plus possible pour une personne possédant un utérus de pratiquer une interruption volontaire de grossesse (IVG), même en cas de viol ou d'inceste.
Comment expliquer la résurgence du mouvement contre l’avortement aux États-Unis et comment analyser ce recul en termes de droits à disposer de son corps ?
Pour répondre à toutes ces questions, nous avons le plaisir d'accueillir Véronique Pronovost.*
Dans cet épisode, Véronique, qui a conduit une ethnographie du mouvement anti-avortement aux États-Unis, revient également sur des aspects méthodologiques de sa recherche. Comment faire un terrain auprès de groupes dont on ne partage pas les idées politiques ? Elle offre plusieurs pistes de réflexions afin de mieux appréhender les recherches qui nous confrontent sur le plan éthique et politique.
*Véronique Pronovost est doctorante en sociologie et en études féministes à l'UQAM. Elle s’intéresse à l’antiféminisme conservateur aux États-Unis et au Canada. Plus spécifiquement, ses recherches doctorales portent sur le mouvement contre l'avortement aux États-Unis. Elle est membre de divers groupes de recherche dont le Chantier sur l’antiféminisme du Réseau québécois en études féministes, la Chaire Raoul-Dandurand et le Collectif de recherche Action Politique et Démocratie. Véronique est membre du comité de coordination du comité de veille stratégique sur l'avortement piloté par la Fédération du Québec pour le planning des naissances et est impliquée auprès plusieurs groupes féministes du Québec. Finalement, elle a siégé au Conseil de l’Institut de recherches et d’études féministes de 2018 à 2022.
Nous vous souhaitons une belle écoute.
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans un nouvel épisode des balados du CAPED.
Le 8 mars 2023, nous avons appris le décès de Marion Leboucher dans un terrible accident. Marion était une chercheuse brillante, une professeure, une féministe, une militante et une cycliste engagée. Elle était doctorante en science politique, membre du CAPED. Marion est partie quelques semaines après le dépôt de sa thèse qu’elle s’apprêtait à soutenir.
Aujourd’hui, Marion est docteure en science politique, un grade qui lui a été attribué à titre posthume pour souligner l’excellence de son travail de recherche. Elle laisse derrière elle toute une communauté scientifique, des collègues et des ami.e.s.
Dans l’épisode d’aujourd’hui, nous voulions mettre en valeur la brillante recherche de Marion.
Sa thèse porte sur les politiques de lutte contre les violences de genre, abordées à partir des cas de violence conjugale et du travail du sexe. Elle compare la France et le Québec.
La thèse s’intitule « Les coûts de la protection contre les violences de genre. Autonomie et dépendances dans les groupes des tiers secteurs au Québec et en France ». Vous pouvez la lire ici :
https://www.capedmontreal.com/_files/ugd/6e3a57_c2602183002d47b1988371a1b17f6576.pdf
Bonne écoute !
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Invitée: Pascale Dufour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Chanson de fin: Les gens qui doutent- Anne Sylvestre.
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Bonjour à toutes et à tous,
Nous sommes très heureux.ses de vous retrouver pour un nouvel épisode de la saison d’hiver de nos balados.
Dans l’épisode d’aujourd’hui, nous abordons la question des changements climatiques, et l’immobilité des populations estimées comme étant à risque par les modèles climatiques.
Pour cela nous avons le plaisir d'accueillir Sarah Munoz, doctorante en science politique à l’université de Montréal et membre du CAPED. Sarah nous parle de ses recherches, dans lesquelles elle questionne “le paradoxe de l’immobilité” de la population louisiannaise pourtant vulnérable aux changements climatiques.
Ses recherches montrent que plusieurs acteurs (États, industrie pétrolière, groupes environnementaux) participent à ce qu’elle nomme la “construction institutionnelle de l’immobilité” qui façonne l’adaptation des populations vulnérabilisées dans le sud de la Louisiane.
Nous vous souhaitons une très belle écoute.
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans un nouvel épisode des balados du CAPED !
Dans cet épisode spécial, nous discutons avec les réalisateur/ices du film La Bataille de la Plaine, en tournée au Québec pour la promotion de leur documentaire.*
La Bataille de la Plaine est un film français réalisé par Sandra Ach, Nicolas Burlaud et Thomas Hakenholz. Il raconte l’histoire d’une mobilisation dans le quartier de la Plaine à Marseille : un lieu populaire et bouillonnant qui fait face à un projet de requalification de la part de la municipalité. Le projet se heurte à une contestation citoyenne joyeuse, forte et enragée. C'est cette mobilisation que le documentaire retrace.
Nous vous souhaitons une très belle écoute !
*Dans le cadre de ses activités, le CAPED et le réseau Villes Régions Monde (VRM) organisent une projection du documentaire le 1er décembre 2022 (16h) à l’Institut National de la Recherche Scientifique (INRS).
Plus d’infos ici pour la projection à l’INRS : https://www.facebook.com/events/690513692491252/?ref=newsfeed
Pour suivre le travail des réalisateur.ice.s :
www.primitivi.org
Bande-annonce du film :
https://labataille.primitivi.org/bande-annonce/
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
Bonjour à toutes et à tous,
Nous sommes très heureux.ses de vous retrouver pour un nouvel épisode de la saison d’automne de nos balados.
Dans l’épisode d’aujourd’hui, nous nous intéressons à l’espace public urbain, et plus particulièrement à l’espace urbain montréalais. Comment occupe-t-on cet espace ? Est-il investi de la même façon et de manière égale entre des différents groupes de la société ? Quelles stratégies permettent de se réapproprier cet espace, quand on en a été historiquement exclu ? Pour répondre à ces questions, nous recevons deux invitées :
Kelly Vu est candidate à la maîtrise en études urbaines à l'INRS et membre du CAPED. Son mémoire porte sur les pratiques socio-spatiales des jeunes racisé.e.s et plus particulièrement dans le quartier de Parc extension
Sarah Maillé-Abxgi est candidate à la maîtrise en science politique à l’Université de Montréal, et également membre du CAPED. Son travail de mémoire vise à comprendre comment les marches exploratoires participent à l’inclusion et la (ré)appropriation des femmes dans l’espace public urbain.
Nous vous souhaitons une très belle écoute.
Animation : Fella Hadj Kaddour.
Réalisation, et post-production : Fella Hadj Kaddour.
Visuel : Michelle E.J. Martineau.
Musique : Gilles Ganassa et Lucie Ganassa.
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