Dans cet épisode, je ferme un chapitre pour en ouvrir un autre.

Je parle de ces jours où tout semblait perdu, et de la lente renaissance qui a suivi.

De la douleur qui devient force, du corps qu’on réapprend à aimer, des rêves qu’on ose de nouveau approcher.

Ce n’est pas une histoire de victoire parfaite.

C’est une histoire de pas hésitants, de cicatrices apprivoisées, de résilience tissée à la main.

C’est le récit d’une femme qui a longtemps eu peur de son propre reflet,

et qui, un jour, a décidé de se regarder autrement.

Parce qu’il n’y a pas de fin heureuse,

il y a des débuts courageux. 🌿

Agression sexuelle : survivre quand on m’a volé mon corps

Ce n’était pas une histoire d’amour. Ce n’était pas un malentendu. Ce n’était pas « un jeu qui a dégénéré ». C’était une agression sexuelle.

Une nuit, un salon sombre, un non répété qui n’a pas été entendu.

Dans cet épisode, je raconte ce moment où tout a basculé, où mon corps m’a échappé, où ma voix n’a plus suffi à me défendre. Je parle de ce que vivent tant de victimes : la paralysie, la sidération, le choc, le silence, la honte qui colle à la peau, et cette culpabilité vicieuse qui vous ronge de l’intérieur.

Je n’ai pas crié. Je n’ai pas frappé. Et pendant longtemps, j’ai cru que c’était de ma faute. Mais aujourd’hui je le dis : rien ne justifie un acte imposé. Le consentement n’est pas une suggestion.

Partage d’expérience, vérité crue et reconstruction : cet épisode est une main tendue à celles et ceux qui ont vécu l’injustice de l’agression et le poids du silence. Parce qu’on ne guérit pas en se taisant. On commence à guérir en se libérant.

Le harcèlement commence souvent sans raison, mais ses traces, elles, durent toute une vie.

Dans cet épisode intime et universel, je reviens sur les blessures invisibles : celles qu’on reçoit dans la cour d’école, au détour d’un rire, d’un mot, d’un regard.

Et sur celles qu’on s’inflige, plus tard, pour tenter de reprendre le contrôle.

À travers mon histoire, c’est une voix qui se relève, une parole qui s’ouvre — pour tous ceux et celles qui ont déjà eu honte d’exister, peur de parler, ou envie de disparaître.

Parce que le silence tue, mais la parole, elle, soigne.

Dans cet épisode, je vous parle de mes grands-parents paternels : leur amour, leurs rituels, la maladie d’Alzheimer qui a tout bouleversé, et ce geste tragique qui a marqué ma famille.

Mais au-delà du drame, il y a aussi l’autre héritage : les papiers retrouvés de mon arrière-grand-père, acrobate devenu soldat, mutilé de guerre, puis père de famille en quête d’un emploi pour survivre.

Un récit intime qui interroge la mémoire, la transmission, les aidants oubliés, les cicatrices de guerre… et la manière dont nos racines, même blessées, continuent de nous façonner.

Dans cet épisode, je partage mon histoire intime avec mon papa, marqué par l’alcoolisme.

Au-delà de mon vécu, je pose un regard plus large sur cette addiction si banalisée et pourtant si destructrice.

Entre honte, impuissance, amour et espoir, je raconte comment l’alcool bouleverse une famille entière… mais aussi comment, malgré tout, la lumière peut encore exister.

Dans cet épisode, je vous emmène dans une aventure bouleversante : ma grossesse pendant le Covid, l’accouchement sans péridurale à cause de mon opération du dos, et les premiers mois de maternité.

Je partage avec sincérité mes doutes face à mon corps qui change, la douleur intense de l’accouchement, mais aussi la découverte de l’amour maternel au milieu de l’épuisement.

Un témoignage sans filtre sur la force du corps, les épreuves du post-partum, et la lumière qu’apporte un enfant, même dans les moments les plus difficiles.

Entrer dans l’âge adulte, c’est découvrir la liberté… mais aussi ses poids. Entre deuils, responsabilités, premiers emplois et une opération du dos qui a bouleversé ma vie, j’ai appris à marcher sur un fil, parfois dans le déni, souvent dans la douleur. Pourtant, au cœur des épreuves, j’ai trouvé des forces insoupçonnées : la confiance retrouvée, l’écriture comme refuge, et la certitude que même les détours douloureux nous révèlent qui nous sommes vraiment.

Dans ce premier épisode, je vous emmène au cœur de mes souvenirs d’enfance.

Une enfance simple et joyeuse, rythmée par les vacances en camping, les odeurs du pain viennois chez mon parrain, les cabanes au fond du jardin et les rituels rassurants du quotidien.

Mais derrière le sourire de l’enfant se dessinaient déjà de petites ombres : ce sentiment de différence, les doutes nés à l’école, les premières blessures invisibles.

Ce que je retiens pourtant, c’est la lumière. Cette capacité à rêver, à garder une flamme intérieure qui m’a suivie jusque dans mes moments les plus sombres.

👉 Dans le prochain épisode, je vous parlerai de mon adolescence, une étape plus tourmentée, où mes cicatrices se sont dessinées plus clairement.