En juillet 2017, à l'occasion de la rétrospective que la Cinémathèque française consacrait à Andreï Tarkovski, conférence par Michel Eltchaninoff intitulée "Andreï Tarkovski, la Russie et le monde".

Le philosophe évoque les paradoxes du cinéaste. D'un côté, malgré la pression soviétique, il retrouve et réinvente les éléments les plus profonds de la culture russe : art des icônes, parole poétique, figures dostoïevskiennes... De l'autre, il s'aventure partout ailleurs : en Occident, en Orient, et même dans d'autres mondes possibles.

Comment Tarkovski articule-t-il son enracinement russe et une exigence universelle ?

Entre janvier et mars 2020, la Cinémathèque française organisait une rétrospective intégrale des films de Jean-Luc Godard. À cette occasion de nombreuses séances étaient suivies de discussions avec des spécialistes de l’œuvre du cinéaste.

À la suite de la projection des films "Prières pour refuzniks" et "Moments choisis des Histoires du Cinéma", c'est Dominique Païni qui évoquait avec le public les rapports entre Jean-Luc Godard et les arts.

Dominique Païni a dirigé la Cinémathèque française entre les années 1991 et 2000. Il est l'auteur de nombreux ouvrages sur le cinéma, il est aussi commissaire d'expositions, notamment  "Godard / Picasso : Collages" à Arles en 2018 et a également initié l'exposition "Voyages en Utopies" réalisée par Jean-Luc Godard pour le Centre Georges Pompidou en 2006.

Rencontre avec Dominique Païni animée par Frédéric Bonnaud

Entre janvier et mars 2020, la Cinémathèque française organisait une rétrospective intégrale des films de Jean-Luc Godard.

À cette occasion de nombreuses séances étaient suivies de discussions avec des spécialistes de l’œuvre du cinéaste.

À la suite de la projection de "Tout va bien" (1972), c’est David Faroult qui évoque ce film avec le public.

David Faroult est maître de conférences en cinéma à L’École Nationale Supérieure Louis Lumière et a consacré une partie importante de ses recherches au groupe Dziga Vertov et au cinéma politique.

Discussion animée par Jean-François Rauger

Entre Janvier et Mars 2020, la Cinémathèque française organisait une rétrospective intégrale des films de Jean-Luc Godard.

À cette occasion, de nombreuses séances étaient suivies de discussions avec des spécialistes de l'œuvre du cinéaste.

À la suite de la projection des courts et moyens métrages : "JLG/JLG, un autoportrait de décembre", "Je vous salue, Sarajevo" et "Les Enfants jouent à la Russie", c'est l'historien et critique, Antoine de Baecque qui évoquait ces films.

Antoine de Baecque est spécialiste de la Nouvelle Vague, à laquelle il a consacré un essai, "Portrait d'une jeunesse" (1998) et il a écrit, entre autres, la biographie de Jean-Luc Godard publiée aux éditions Grasset en 2010.

Discussion avec Antoine de Baecque animée par Frédéric Bonnaud (Directeur de la Cinémathèque française)

Entre Janvier et Mars 2020, la Cinémathèque française organisait une rétrospective intégrale des films de Jean-Luc Godard.

À cette occasion, de nombreuses séances étaient suivies de discussions avec des spécialistes de l'œuvre du cinéaste.

À la suite de la projection de "Pierrot le fou" (1965), c'est le critique, réalisateur et essayiste Alain Bergala qui évoquait ce film.

Alain Bergala est l'auteur, entre autres, de nombreux ouvrages consacrés au cinéma de Jean-Luc Godard.

Discussion avec Alain Bergala, animée par Bernard Benoliel.

Entre Janvier et Mars 2020, la Cinémathèque française organisait une rétrospective intégrale des films de Jean-Luc Godard.

À cette occasion, de nombreuses séances étaient suivies de discussions avec des spécialistes de l'œuvre du cinéaste.

À la suite de la projection de "Nouvelle vague" (1990), c'est l'enseignant et critique de cinéma Jacques Aumont qui évoquait ce film.

Discussion avec Jacques Aumont, animée par Bernard Benoliel.

A l'occasion de la rétrospective que la Cinémathèque française consacrait à Elia Kazan en décembre 2018,

conférence de Bernard Eisenschitz intitulée : "Elia Kazan et ses ambivalences."

Immigration, théâtre, Amérique de la Grande Crise : ce sont les sources du cinéma d'Elia Kazan, pourtant lié, indissolublement, à l'après-guerre et à la guerre froide. Découvreur de vedettes comme Marlon Brando et James Dean, metteur en scène couvert de prix, ou outsider, comme il s'enorgueillissait de l'être ? Ou tout simplement un grand auteur, le temps de quelques films.

Bernard Eisenschitz est traducteur et historien du cinéma. Auteur de nombreux ouvrages, il a été responsable de l'édition des œuvres de Georges Sadoul et a codirigé, avec Bernard Benoliel, le recueil Henri Langlois : Écrits de cinéma.

Une fois par mois, un nouveau Ciné-club pour voir et revoir des films de toute l'histoire du cinéma, mieux en comprendre le contexte de création, les enjeux de mise en scène et les écarts de réception entre leur sortie et leur redécouverte ultérieure.

Une projection, suivie d'une analyse et d'une discussion entre le public et Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque française.

Une fois par mois, un nouveau Ciné-club pour voir et revoir des films de toute l'histoire du cinéma, mieux en comprendre le contexte de création, les enjeux de mise en scène et les écarts de réception entre leur sortie et leur redécouverte ultérieure.

Une projection, suivie d'une analyse et d'une discussion entre le public et Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque française.

Cette semaine : Shadows de John Cassavetes

Une fois par mois, un nouveau Ciné-club pour voir et revoir des films de toute l'histoire du cinéma, mieux en comprendre le contexte de création, les enjeux de mise en scène et les écarts de réception entre leur sortie et leur redécouverte ultérieure.

Une projection, suivie d'une analyse et d'une discussion entre le public et Frédéric Bonnaud, directeur de la Cinémathèque française.

Cette semaine : Les Sentiers de la gloire de Stanley Kubrick