
Sign up to save your podcasts
Or


L’Éducation physique est le titre du livre publié par les éditions Métailié de l’écrivaine espagnole Rosario Villajos, qui est son premier traduit en français, par Nathalie Serny. II n’est pas sans rapport avec l’ouvrage dont on vient de parler, dans la mesure où il met également en scène une jeune femme, confrontée à un milieu familial étouffant et à un monde social rebutant, même si Rosario Villajos aborde ces thématiques avec moins d’invention poétique que Laura Vazquez.
Ici, le roman se déroule sur un soir de l’été 1994, de 18 h 15 à 21 h 45 précisément, lorsque Catalina, âgée de 16 ans, quitte précipitamment la maison de son amie et se retrouve obligée de faire du stop, dans la crainte de faire de mauvaises rencontres, mais aussi dans la peur de ne pas pouvoir respecter le couvre-feu que lui imposent ses parents. Ces derniers aimeraient la voir rester docile dans la vie repliée que la famille mène, au nom de la grave maladie qu’a eue la narratrice quand elle était enfant, mais surtout de tous les dangers qui guettent un corps féminin dès qu’il se trouve dehors.
Un livre qui porte donc, comme l’écrit l’autrice, sur « la malédiction d’avoir un corps », dans la mesure où si Catalina « continue à le cacher, elle ne le laisse pas exister ; si elle le montre, elle a l’impression qu’il n’existe qu’à travers le regard des hommes ».
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
By MediapartL’Éducation physique est le titre du livre publié par les éditions Métailié de l’écrivaine espagnole Rosario Villajos, qui est son premier traduit en français, par Nathalie Serny. II n’est pas sans rapport avec l’ouvrage dont on vient de parler, dans la mesure où il met également en scène une jeune femme, confrontée à un milieu familial étouffant et à un monde social rebutant, même si Rosario Villajos aborde ces thématiques avec moins d’invention poétique que Laura Vazquez.
Ici, le roman se déroule sur un soir de l’été 1994, de 18 h 15 à 21 h 45 précisément, lorsque Catalina, âgée de 16 ans, quitte précipitamment la maison de son amie et se retrouve obligée de faire du stop, dans la crainte de faire de mauvaises rencontres, mais aussi dans la peur de ne pas pouvoir respecter le couvre-feu que lui imposent ses parents. Ces derniers aimeraient la voir rester docile dans la vie repliée que la famille mène, au nom de la grave maladie qu’a eue la narratrice quand elle était enfant, mais surtout de tous les dangers qui guettent un corps féminin dès qu’il se trouve dehors.
Un livre qui porte donc, comme l’écrit l’autrice, sur « la malédiction d’avoir un corps », dans la mesure où si Catalina « continue à le cacher, elle ne le laisse pas exister ; si elle le montre, elle a l’impression qu’il n’existe qu’à travers le regard des hommes ».
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

66 Listeners

23 Listeners

58 Listeners

301 Listeners

112 Listeners

240 Listeners

115 Listeners

26 Listeners

1 Listeners

4 Listeners

2 Listeners

160 Listeners

25 Listeners

88 Listeners

4 Listeners

67 Listeners

39 Listeners

2 Listeners

0 Listeners

50 Listeners

0 Listeners

4 Listeners

0 Listeners

0 Listeners

2 Listeners

0 Listeners