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Or


« Est-ce que face à l’effondrement de notre civilisation voire l’extinction de notre espèce ce n’est pas être complètement à côté de la plaque d’écrire sur sa petite vie finissante, sur sa petite famille, sur la jeunesse de ses parents ? »
La question que pose, de façon à la fois liminaire et rhétorique, Emmanuel Carrère dans son nouveau livre pourrait s’appliquer à beaucoup de romans de cette rentrée littéraire saturée de figures paternelles et, encore plus, maternelles.
On n’échappera pas, pour ouvrir cette nouvelle saison de « L’esprit critique » littérature, à ce questionnement, puisqu’on évoque aujourd’hui d’abord Kolkhoze, nouvel opus d’Emmanuel Carrère, et les problèmes politiques et littéraires qu’il devrait soulever mais qui demeurent largement enfouis sous un accueil critique bien trop unanime.
Et puisqu’on parle ensuite de deux ouvrages dont les deux narratrices sont également prises dans une gangue familiale, même si l’une parvient à s’échapper grâce à la poésie et à la philosophie, tandis que l’autre est contrainte au retour au bercail en autostop. Le premier s’intitule Les Forces et est signé Laura Vazquez. Le second est titré L’Éducation physique et paraît sous la plume de l’Espagnole Rosario Villajos.
Hébergé par Audiomeans. Visitez audiomeans.fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
By Mediapart« Est-ce que face à l’effondrement de notre civilisation voire l’extinction de notre espèce ce n’est pas être complètement à côté de la plaque d’écrire sur sa petite vie finissante, sur sa petite famille, sur la jeunesse de ses parents ? »
La question que pose, de façon à la fois liminaire et rhétorique, Emmanuel Carrère dans son nouveau livre pourrait s’appliquer à beaucoup de romans de cette rentrée littéraire saturée de figures paternelles et, encore plus, maternelles.
On n’échappera pas, pour ouvrir cette nouvelle saison de « L’esprit critique » littérature, à ce questionnement, puisqu’on évoque aujourd’hui d’abord Kolkhoze, nouvel opus d’Emmanuel Carrère, et les problèmes politiques et littéraires qu’il devrait soulever mais qui demeurent largement enfouis sous un accueil critique bien trop unanime.
Et puisqu’on parle ensuite de deux ouvrages dont les deux narratrices sont également prises dans une gangue familiale, même si l’une parvient à s’échapper grâce à la poésie et à la philosophie, tandis que l’autre est contrainte au retour au bercail en autostop. Le premier s’intitule Les Forces et est signé Laura Vazquez. Le second est titré L’Éducation physique et paraît sous la plume de l’Espagnole Rosario Villajos.
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