Vendus comme des produits miracles dans l'après-guerre, de nombreux pesticides révèlent aujourd'hui leur vraie nature. S'ils ont effectivement permis de booster de manière significative le taux de rendement des productions agricoles, beaucoup se sont aussi révélés nocifs pour les personnes qui les manipulaient.

Depuis quelques années, des associations se créent pour apporter du soutien à ces victimes, et leur permettre de faire reconnaître leur maladie comme une maladie professionnelle. C'est ce qu'est parvenu à faire Jean-Luc, avec l'aide de l'association Phyto-Victimes.

Cette année aurait dû paraître la nouvelle édition du Programme International pour le suivi des acquis des élèves. On le connaît aussi sous le nom de rapport PISA. Il sort tous les 3 ans et classe les pays selon le niveau des élèves.

Finalement, le rapport PISA 2021 a été reporté, et ne paraîtra qu’en 2023. Mais quand on regarde les deux dernières publications, en 2018 et en 2015, on voit que la France ne figure pas dans les premières places. Et sa note générale diminue, ou, au mieux, stagne.

Pour Micro Cortex, on a voulu savoir quelle réalité ces chiffres cachent. Qu’est ce qui, dans les rouages de notre système éducatif, peut expliquer ce défaut de performance. Est-ce que ces résultats sont dûs à un manque d’investissement des élèves, une baisse générale des efforts fournis ? Ou est-ce qu’on peut y voir les signes de problèmes plus systémiques, ce qui pourrait nous amener à repenser notre mode d’éducation.

Pour le savoir, on a tendu notre micro à des professeurs de matières scientifiques, pour qu’ils nous racontent leur façon de faire et comment ils s’adaptent à des programmes changeants, toujours contraints par des volumes horaires de moins en moins importants.

Dans cet épisode, vous allez entendre Guillaume, il a 30 ans et il est professeur de Sciences de la vie et de la Terre au sein de l’académie de Versailles.

Le lundi 17 mai, c’était la journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie.

Il y a quelques jours, le ministère de l’intérieur indiquait qu’en 2020, les violences contre des personnes LGBT avaient reculé de 15%. Pourtant, il faut prendre ce chiffre avec des pincettes, étant donné le contexte très particulier, lié à l’épidémie de Covid-19. Car lorsqu’on regarde le même chiffre sur les années précédentes, le nombre d’agressions ne fait qu’augmenter depuis 2016.

Chez Cortex, on a voulu donner de la visibilité aux personnes concernées en leur tendant notre micro. Dans cette nouvelles série, intitulée Sexe et identité, vous pourrez découvrir le parcours de certaines personnes LGBT, qui ont accepté de partager avec nous un bout de leur vécu.

Aujourd’hui, lundi 17 mai, c’est la journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie.

Il y a quelques jours, le ministère de l’intérieur indiquait qu’en 2020, les violences contre des personnes LGBT avaient reculé de 15%. Pourtant, il faut prendre ce chiffre avec des pincettes, étant donné le contexte très particulier, lié à l’épidémie de Covid-19. Car lorsqu’on regarde le même chiffre sur les années précédentes, le nombre d’agressions ne fait qu’augmenter depuis 2016.

Chez Cortex, on a voulu donner de la visibilité aux personnes concernées en leur tendant notre micro. Dans cette nouvelles série, intitulée Sexe et identité, vous pourrez découvrir le parcours de certaines personnes LGBT, qui ont accepté de partager avec nous un bout de leur vécu.

Depuis un an, le coronavirus a considérablement bouleversé nos vies. Il a aussi montré les faiblesse de notre système de santé, qui tient surtout grâce à la volonté de nos soignants. Le 7 avril dernier s'est tenue la Journée mondiale de la santé. Chez Cortex, on a voulu profiter de cette occasion pour rendre hommage à ces soignants en leur donnant la parole. Avec nous, découvrez à quoi ressemble leur quotidien en temps de pandémie.

Depuis un an, le coronavirus a considérablement bouleversé nos vies. Il a aussi montré les faiblesse de notre système de santé, qui tient surtout grâce à la volonté de nos soignants. Le 7 avril dernier s'est tenue la Journée mondiale de la santé. Chez Cortex, on a voulu profiter de cette occasion pour rendre hommage à ces soignants en leur donnant la parole. Avec nous, découvrez à quoi ressemble leur quotidien en temps de pandémie.

Depuis un an, le coronavirus a considérablement bouleversé nos vies. Il a aussi montré les faiblesse de notre système de santé, qui tient surtout grâce à la volonté de nos soignants. Le 7 avril dernier s'est tenue la Journée mondiale de la santé. Chez Cortex, on a voulu profiter de cette occasion pour rendre hommage à ces soignants en leur donnant la parole. Avec nous, découvrez à quoi ressemble leur quotidien en temps de pandémie.

A l'occasion de la Journée internationale des Droits des Femmes, ce lundi 8 mars, Cortex vous propose d'écouter une femme malade de l'endométriose. Marina a 59 ans, et si la maladie ne lui fait pas vivre des douleurs aigües au quotidien, elle lui a pris autre chose : sa capacité à avoir des enfants de façon naturelle. Elle nous raconte ce parcours, du diagnostic aux tentatives multiples pour tout de même parvenir à donner naissance à sa fille et ses deux fils.

Musique : www.bensound.com