C’est l’heure de vérité. Alors que même ses amis se retournent contre elle, Lydia veut sauver ce Québec qui n’a plus grand-chose de l’utopie. Elle confronte la seule personne qui peut lui procurer des réponses : Balthazar. En attendant les résultats du vote, Balthazar se dévoile à Lydia. Celle-ci aimerait bien trouver un moyen pour que tout le monde découvre le plan caché de cet intrus, mais le temps risque de lui manquer.

Lydia tente toujours de reprendre contact avec son monde, mais sans succès. Elle constate les conséquences des paroles de Balthazar sur sa société d’accueil, qui perd tranquillement de son lustre. Lydia cherche à protéger ce monde menacé, alors que Robert et Jason se rapprochent de Balthazar. D’ailleurs, une visite impromptue de ce dernier au café Pleine Lune dégénère en un échange explosif. Quelques jours plus tard, Lydia décide de suivre Balthazar et fait une découverte importante.

Dépaysée et inquiète, Lydia cherche un moyen de rentrer chez elle, mais elle est vite intriguée par ce nouveau Québec où elle s’est retrouvée par accident. Elle est surprise de constater l’importance de la place qui y est laissée à la population pour les prises de décisions, mais aussi l’importance de la vie communautaire. Un régime politique frôlant l’utopie se révèle à elle, mais la participation d’une figure médiatique locale à un grand rassemblement politique commence à créer des remous.

Lydia vient de commencer l’université en science politique et elle se rend à son activité d’accueil, malgré les difficultés engendrées par la perte d’un jour de salaire. Presque en retard pour prendre l’autobus en direction de Québec, là où l’activité aura lieu, elle rencontre à bord de celui-ci Sandra, une autre élève bien sympathique, puis visionne un message vidéo du directeur du programme, M. Balthazar. Arrivée à Québec, à peine l’activité commencée, Lydia se perd dans les rues de la ville et fait une rencontre étrange.