S’il est un secteur qui a particulièrement souffert de la pandémie du COVID 19 c’est assurément celui du tourisme. Et pour cause comment gagner de l’argent quand le monde s’arrête et que le monde entier restreint les déplacements et contrôle davantage les frontières.

Au Maroc, les professionnels du secteur pointent du doigt des difficultés organisationnelles : il est en effet très difficile de gérer la situation puisque le manque d’information et le flou rend la prévision impossible.

Si le tourisme interne ne suffira pas à sauver cette seconde saison noire pour les hôteliers et autres professionnels du voyage, il permet tout de même de respirer un tant soit peu : autant pour des concitoyennes et concitoyens qui ont besoin de s’oxygéner la tête que pour quelques petits hôteliers ou guides dans l’arrière pays.

Aujourd’hui, au-delà des hôtels all inclusive et du tourisme de masse, on s’intéresse au tourisme éco-solidaire, à ces nouvelles manières de voyager, à pied, à vélo, aux randonnées randonnées, et aux loisirs que l’on peut pratiquer au grand air à l’instar de l’escalade ou du rafting

Au programme:

Très impactées par la pandémie, les agences de voyages peinent à garder la tête hors de l’eau, on prend la température avec Jalil Madih directeur d’une agence de voyage à Casablanca.

Tourisme écologique, on discute de l’expérience de Nora Iffa, qui s’est lancé dans une aventure à vélo à travers l’Afrique juste avant la pandémie.

Focus sur la région du géoparc M’Goun avec Hamid Jalal guide dans la région.

Nous parlons ensuite de voyage dans le cinéma, une jolie manière de se rafraîchir en cette journée de canicule.