Repères

Attendre un enfant est la chose la plus commune au monde. Pourtant, c'est une histoire particulière et unique, pour celles et ceux qui vivent cette expérience. La mère qui porte l'enfant dans son ventre et le père qui la suivra de près ou de loin. Devenir parent implique un profond bouleversement de l'identité. C'est une affaire de corps notamment pour la mère, mais elle donne lieux à une métamorphose psychique chez deux adultes qui quitte le statu de "fille ou fils de… " pour devenir parent. Pour comprendre ce qui se passe dans la tête de futur parent, Repères reçoit Véronique Cayol, gynécologue et auteur de "Psychologie et psychiatrie de la grossesse" (éd. Odile Jacob).

les livres psychologiques conçus spécifiquement pour les adolescents ne sont pas si nombreux que cela. Repère part à la découverte de l'un de ses ouvrages avec son auteur la psycologue Sophie Braun. Ce livre, c'est  "C'est quand la vie ? Parole de jeunes, éclairage d'une psy" (éd. Du Mauconduit).

On choisit ses amis, mais on ne choisit pas sa famille. Père, mère, frère et sœur, chacun nous s'ont donné. Chacun d'entre nous allons grandir dans cet univers propre et singulier. C'est au cœur de ce terreux familial que va se construire notre personnalité et que nous ferons l'apprentissage de l'autre. La famille étant le prototype de nos liens sociaux à venir. au cœur de cette petite communauté la vie fraternel n'est pas un long fleuve tranquille. Le mythe de l'harmonie familial se cache souvent un fatras de sentiment allant de l'amour à la haine. 

Cette semaine Repère vous amène au cœur de ses rivalités fraternel en compagnie de Sabine Fos Falque, auteure de "La chair des émotions" (éd. Cerf).

Cette semaine Repères s'intéresse avec Sabine Fos Falque, psychanalyste et auteur de "La chair des émotions" (éd. Cerf, 2014) à la question de la guérison en psychanalyse. La cure analytique, c'est une véritable aventure pour celui qui si engage. Un travail de mise en mot pour mettre au jour ce qui entrave la vie et ce qui ligote le sujet. Normalement l'analyse doit déboucher sur un mieux être et par surcroit la guérison de certain symptôme. Mais le patient veut-il guérir ?

Beaucoup de parent se sentent démunie face à un enfant qui crie, pleure, déborde d'énergie et qui peut dépasser les bornes. Face à cette situation deux réactions sont souvent utilisées : Crier plus fort l'enfant pour imposer sa loi ou alors l'amadouer pour se faire obéir méthode du bâton ou de la carotte. Et s'il existait une autre façon d'éduquer ses enfants. C'est ce que propose Nathalie de Boisgrollier, coach en parentalité, dans son livre "Élever ses enfants sans élever la voix" (éd. Albain michel, 2014). Elle est l'invité de Repères.

Homme et femme, nous sommes tous des êtres de relation, que ce soit dans le couple, dans l'amitié, dans la famille, dans la vie professionnel. Nous sommes tous appelés à communiquer, à parler, à créer un lien avec l'autre. Et nous savons par expérience que l'entre deux de la relation ne va pas de soi, car il suppose la confiance en soi-même et en l'autre. Il suppose aussi de consentir à une dépendance à l'accueil de l'inconnue. Il s'agit aussi de reconnaitre que nous sommes traversés par des sentiments ambivalents qui vont de l'amour à la haine. Pour parler de cet entre deux de la relation avec nos paires, Repères reçoit Nicole Jeammet, psychologue et auteur de "Entre toi et moi - La découverte des possibles" (éd. Odile Jacob, 2015).

Il y a un siècle les grand-mère ne vivait pas aussi longtemps que celle d'aujourd'hui et leurs vies était bien différente. Placé dans une société ou tout était régie par des codes. Dans des mondes où l'on ne parle pas de soi où les émotions étaient suspectes. Ces grand-mères étaient souvent considérées comme de vielle femme une fois la soixantaine dépassées. Être grand-mère au XVIe siècle, c'est toujours tenir une place d'ainé au sein de la famille, mais dans un tout autre contexte.

Béatrice Soltner reçoit Danièle Flaumenbaum, auteur de "Les passeuses d'histoires" (éd. Payot), pour parler des grand-mères d'aujourd'hui et de leurs rôles au sein de la famille.

Aujourd'hui en France près de 350 000 hommes et femmes sont touchés par le cancer. Des personnes de tous âges, toutes conditions sociales qui doivent luter contre la maladie. C'est personne connaissant la souffrance physique, la difficulté d'un traitement long et contraignent. Mais aussi les doutes, la peur et l'angoisse face à un dénouement incertains. Le cancer atteint le corps du malade, il boulverse aussi sa vie psychique. C'est ce dont témoigne Andrée Lehmann dans son livre "l'atteinte du corps une psychanalyste en cancérologie" (éd. Érès) elle l'invité dans Repères.

Le stress est une réalité dont on parle beaucoup aujourd'hui. Selon l'OMS 450 millions d'hommes et de femmes en souffrirait. Trop de stress au travail, à la maison, en couple, dans les embouteillages, jusque dans ses nuits d'insomnie qui n'en finissent pas. Le stress est décrit comme le nouveau fléau des temps moderne. Mais peut-on vivre sans aucun stress ?

Pour la psychologue Isabelle Méténier rien ne sert de luter contre lui, il nous sert plutôt à écouter ce qui nous agite, a même l'accueillir pour mieux vivre, tout en prenant soins de soi. Elle est l'auteur de "[Dé]stresse" (éd. Solar) et aussi l'invité de Repères.

Être soit même en compagnie des autres, non pas sans eux ni contre eux, mais avec eux. Comprendre cela demande du temps. Pour parler de la singularité de l'homme Repère reçoit la psychanalyste Nicole Carré.