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Beaucoup de personnes extérieures au milieu peuvent avoir une image très négative du milieu.
Effectivement il peut y avoir des abus et de dérive graves -vous le savez- mais le mannequinat ce n’est pas que cela! Il est tout à fait possible d’avoir une carrière honorable et être un mannequin heureux et bien dans sa peau
C’est ce que nous allons voir dans ce Podcast.
N’hésitez pas à me dire ce que vous en pensez! Tous les retour sont importants!
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Cette semaine place aux avantages ! On parle souvent du métier de mannequin de manière négative mais il y a aussi pas mal d’atouts!
Voici donc les 6 choses que j’apprécie particulièrement dans mon métier!
Et vous? Quelles sont les choses que vous appréciez dans votre profession ou pour lesquelles vous êtes reconnaissant(e)s?
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Remplir son agenda quand on est mannequin ou à son compte n’est pas toujours simple, notamment lorsqu’on débute et on peut vite baisser les bras.
Dans ce podcast, vous trouverez 3 astuces qui m’ont permis de remplir mon agenda régulièrement.
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Beaucoup de professions ont leurs préjugés et les mannequins n’y échappent pas!
Cette semaine je vous propose à travers ce podcast de voir ensemble les 5 clichés les plus fréquents et ce que j’en pense de part mon vécu et mon expérience!
Je vous souhaite une belle écoute! Et surtout n’hésitez pas à me dire les préjugés que vous avez sur les mannequins et leur métier!
Et vous, dans votre métier/vie êtes-vous aussi confronté à des clichés parfois pesants?
Hâte de lire vos commentaires!
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En cette nouvelle semaine je vous propose de bien choisir votre agence de mannequins! Il en existe beaucoup et il n’est pas toujours simple de faire le bon choix!
Voici donc un podcast pour vous aider et vous conseiller au mieux en fonction de vos attentes!
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Participer au défilé Chanel ou à une campagne publicitaire est toujours un immense honneur pour un mannequin. Quand on pense à Chanel on peut penser aux mannequins stars tels que Cara Delevingne, Inès de la Fressange, Kaia Gerber…
Aujourd’hui je vous propose de faire un focus sur deux de ses mannequins cabine emblématiques qui ont inspiré et inspirent le studio de création Chanel.
Pour cela, nous allons revoir rapidement l’histoire de la maison Chanel, puis après avoir rappelé le rôle du mannequin cabine, nous nous intéresserons à deux muses sélectionnées par Karl Lagerfeld et devenues incontournables : Inès de la Fressange et Amanda Sanchez.
Si Inès reste la plus célèbre, elles occupent toutes les deux depuis leurs débuts une place de choix au sein de la Maison Chanel.
Pour ce nouvel article vous avez le choix : version vidéo, version podcast ou version texte. C’est comme vous préférez!
Gabrielle Chanel naît le 19 août 1883 dans une famille très pauvre. Son père est marchand ambulant et sa mère lingère et repasseuse. Sa maman meurt très jeune et son père abandonne ses 5 enfants. Il place Gabrielle et ses soeurs dans l’orphelinat de l’Abbaye d’Aubazine. Gabrielle a alors 12 ans.
Elle cachera ses origines modestes préférera toujours croire et faire croire que son père était parti faire carrière en Amérique.
De son séjour à l’Abbaye, elle gardera un sens du dépouillement, un goût pour le noir et blanc ainsi qu’une fascination pour le baroque donnée par la contemplation des objets liturgiques.
Après cela, elle chante dans un cabaret le soir où elle héritera du surnom de Coco. Elle prétendra que Coco était le nom que son père lui donnait.
La jeune femme à l’allure de garçon, s’habille différemment et s’inspire du vestiaire masculin elle créée des chapeaux plus simples et plus chics qui deviennent vite un succès.
Boy capel, un anglais riche et cultivé sera son grand amour. C’est lui qui aide Coco à devenir Chanel et à ouvrir ses premières boutiques à Deauville, Paris et Biarritz.
Gabrielle apporte une vraie révolution dans la mode : elle raccourcit les robes à la cheville, libère la taille, coupe ses cheveux. Elle fait littéralement changer la mode de siècle.
Dès 1918 Coco installe sa boutique et ses ateliers au 31 rue Cambon. L’adresse est aujourd’hui toujours la même.
En 1921 c’est la création de l’emblématique Chanel N°5 qui deviendra plus tard le parfum préféré de Marilyn Monroe.
Gabrielle impose le noir. Cette couleur jusqu’alors réservée au personnel de maison ou au deuil devient la couleur absolue et l’instrument du succès de Chanel avec sa fameuse petite robe noire.
En 1939 durant la Seconde Guerre mondiale, Gabrielle ferme la maison de couture seule la boutique du 31 rue Cambon reste ouverte et continue de vendre parfum et accessoires.
Chanel décide de rouvrir la rue Cambon, et sa première collection d’après guerre est présentée le 5 février 1954. Gabrielle a 71 ans.
Si l’accueil fait par la presse française est très blessant et moqueur. Elle est en revanche adulée aux États-Unis.
Life, le magazine le plus lu du pays affirme : “À 71 ans, Gabrielle Chanel apporte mieux qu’une mode : une révolution”.
À plus de 80 ans, Gabrielle travaillait toujours, elle s’éteint le 10 janvier 1971. Étant devenu une légende de son vivant. André Malraux déclarera “De ce siècle 3 noms resteront : de Gaulle, Picasso, Chanel”.
Le style Chanel demeure grâce au génie de Karl Lagerfeld et à présent de Virginie Viard.
Les mannequins cabine sont généralement des mannequins de l’ombre qui sont choisis par le directeur artistique d’une maison de couture pour essayer toutes les toiles avant que ces dernières ne deviennent les vêtements définitifs de la collection.
C’est sur ces mannequins que toutes les pièces d’une collection de haute couture ou de prêt-à-porter haut de gamme sont créées.
Mannequin cabine est un métier régulier qui offre une grande stabilité et la possibilité de passer un nombre incalculable d’heures aux côtés de créateurs célèbres.
La particularité chez Chanel est que les mannequins cabine ne restent pas dans l’ombre, ils défilent et participent aux campagnes publicitaires.
Pour en savoir plus sur le métier de mannequin cabine n’hésitez pas à consulter cet article
Née le 11 août 1957 Inès est issue de la noblesse et de la grande bourgeoisie. Sa mère d’origine argentine était mannequin.
En 1975, à 18 ans Inès fait ses premières photos pour le magazine Elle.
Elle se démarque par son allure qui contraste avec les autres mannequins de l’époque et par sa personnalité empreinte de fraîcheur. Elle sera d’ailleurs très vite surnommée “le mannequin qui parle”.
Très vite elle défile pour Kenzo, Thierry Mugler, Gaultier… Puis signe un contrat mondial pour les cosmétiques Dior ce qui en fait l’un des premiers top models des années 80.
Karl Lagerfeld qui vient d’arriver chez Chanel en 1983, apprécie sa ressemblance avec Gabrielle Chanel et lui fait signer un contrat d’exclusivité avec la maison.
Pour l’anecdote la maman d’Inès avait failli devenir mannequin pour Coco Chanel mais avait refusé de se couper les cheveux et avait donc préféré travailler pour Guy Laroche.
Son rôle en tant que mannequin cabine chez Chanel ne se limite pas aux essayages : Inès défile et participe aux campagnes de publicitaires de la maison.
Et la maison de couture lui fait aussi confiance dans d’autres domaines comme elle le confie dans une interview pour Paris Match en 1989 :
“J’assiste maintenant à des réunions marketing, je donne mon avis sur des maquillages, je m’occupe des nouveaux produits, je les présente aux hommes d’affaires. « « Je suis en campagne électorale pour Chanel ! «
Tout se passe à merveille jusqu’au jour où on propose à Inès de devenir le buste Marianne.
Karl s’oppose à cette idée avec sa célèbre phrase “Je refuse d’habiller un monument, c’est vulgaire!”, mais Inès accepte malgré tout et son contrat est rompu après une longue bataille judiciaire.
Inès lance sa propre marque qui sera un vrai succès, mais n’ayant que des parts minoritaires dans sa société elle est mise à la porte et n’a même plus en mesure d’utiliser son propre nom!
Dès 2002 elle entre chez Roger Vivier où elle deviendra très vite directrice artistique puis PDG de la marque. Puis elle se lance dans l’écriture et publie une autobiographie et plusieurs livres sur l’élégance parisienne.
En 2009, elle défile à nouveau pour Gaultier et pour Chanel en 2011, symbole de la paix retrouvée avec Karl Lagerfeld. 2011 est également l’année où elle devient égérie L’Oréal.
Amanda est mannequin cabine pour Chanel depuis 2001. Un record de longévité! Elle a passé un nombre infini d’heures aux côtés de Karl. Voici son parcours :
Née au Brésil (São Paulo), Amanda a 16 ans lorsqu’elle quitte le Brésil pour aller étudier un an à Barcelone.
C’est dans cette ville qu’elle débute sa carrière de mannequin. De retour au Brésil elle fait rapidement le choix vivre de ce métier à plein temps. Elle voyage ainsi dans le monde entier durant deux ans (Tokyo, Milan, New York, Sydney, Paris).
Puis elle s’installe à Paris et devient la mannequin cabine au sein du studio de création Chanel aux côtés de Karl Lagerfeld et Virginie Viard. Elle ne quittera plus cette ville qu’elle a appris à aimer malgré l’hiver qui lui semble interminable.
“Il faut du temps pour aimer Paris, mais une fois qu’on commence c’est pour toujours”.
Chose rarissime pour un mannequin cabine, Amanda a l’honneur de participer à tous les défilés sans compter qu’elle devient la source d’inspiration de la collection printemps-été 2021 et pose également pour la campagne publicitaire.
Certes, Amanda a des mensurations en or qui lui permettent d’occuper cette place de choix depuis autant d’années.
Mais comme vous vous en doutez, le physique ne suffit pas pour réussir une carrière de mannequin. Le mental et l’attitude sont ce qui fait toute la différence.
Voici les 10 secrets d’Amanda Sanchez dévoilé dans l’excellente interview de Loïc Prigent:
Connaissiez-vous Amanda Sanchez? Aviez-vous déjà entendu parler du métier de mannequin cabine?
N’hésitez pas à me le dire en commentaire!
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Si vous vous intéressez à la mode, vous connaissez sans doute Annabel, plus connue avec son compte Instagram @deshabillonslamode. Sur Instagram, Annabel nous raconte l’histoire passionnante des vêtements que nous portons. Pour Secrets de Mannequin, Annabel à accepté de nous décrypter l’histoire des pièces indispensables qu’on soit mannequin ou non. Aujourd’hui nous allons parler du débardeur.
Cette interview est disponible en format texte, audio et vidéo pour vous laisser le choix de choisir le support qui vous parle le plus!
Nathalie Rey : Bonjour Annabel
Annabel Laso : Bonjour
Nathalie Rey: Merci d’avoir accepté cette interview
Annabel Laso: Merci à toi
Nathalie Rey: Est-ce que tu pourrais te présenter?
Annabel Laso : Bien sûr. Je m’appelle Annabel LASO, j’ai 27 ans, je vis en banlieue parisienne. Depuis 10 ans au moins, je suis une grande fan de mode. J’ai donc décidé de faire des études dans le marketing et la communication de mode à Paris. En parallèle de mes études, j’ai eu l’occasion de faire de nombreux stages, notamment dans la presse féminine et pour des émissions tv de mode. J’ai pu donc côtoyer à de nombreuses reprises des mannequins lors de défilés ou shootings.
Je travaille actuellement en tant que chargée de communication dans l’innovation et la recherche et particulièrement pour un programme qui s’appelle CARATS. Il vise à accroitre la compétitivité des entreprises de la mode et du luxe grâce à la recherche française.
Nathalie Rey : Comment t’es venue l’envie de créer déshabillons la mode ?
Annabel Laso : J’ai eu l’idée lors du premier confinement. J’ai toujours été attirée par l’histoire et la sociologie de la mode. J’adore déambuler des heures dans les musées. Nous portons des vêtements tous les jours, mais connaissez-nous vraiment l’histoire ou les anecdotes derrière chacun d’entre eux ?
Je propose donc des vidéos courtes de 2min30 à 5min environ qui présente une pièce iconique de notre garde-robe comme le trench, le cardigan ou encore la marinière.
Nathalie Rey : Ton but est aussi de mettre en avant de jeunes marques. Comment est-ce que tu les sélectionnes ?
Annabel Laso : Exactement. Il est important pour moi de mettre en avant de jeunes marques françaises, qui produisent en France ou en Europe. Ce sont des petites marques qui méritent d’être plus connues.
Je les sélectionne en grande partie sur Instagram. Cela peut être grâce à la visibilité d’influenceuses, mais également grâce à la publicité.
Des amis m’envoient également des idées de marques dont je pourrais parler. Parfois, je regarde aussi des hashtags comme made in France ou Créateurs français.
Je les sélectionne selon les produits qu’elles proposent, par rapport à leurs valeurs, à leurs engagements éthiques, à leur originalité.
Nathalie Rey : Pour secrets de mannequin, tu as accepté de décrypter la tenue des mannequins qu’on porte souvent en casting. Et aujourd’hui, tu vas nous parler du débardeur. Est-ce que tu veux nous en dire plus, sur son histoire?
Annabel Laso : Bien sûr.
Le débardeur est un vêtement fin, sans manche.
Il a été inventé dans les années 1860 par un manutentionnaire des Halles de Paris qui était à l’époque un marché de vente de gros de produits alimentaires.
Un jour, le fameux manutentionnaire arrive avec un pull en laine dont il a découpé les manches. En effet, le fait de porter un pull épais entrave les mouvements comme les manutentionnaires étaient de gros gaillards.
Ses collègues manutentionnaires sont séduits et décident également de porter le même vêtement.
Le mot « débardeur » vient d’ailleurs du verbe « débarder », qui consiste à décharger des marchandises à quai.
Séduit par cette idée, Marcel Eisenberg, propriétaire de la bonneterie Marcel à Roanne, s’est ensuite mis à produire ce maillot de corps, à qui il a donné son nom.
Ce qui est drôle dans cette histoire est qu’elle est très ressemblante à l’invention du cardigan. En effet, James Thomas Brudenell, le comte de Cardigan découpa en 1854 son pull d’un coup de sabre comme il avait trop chaud et se sentait trop à l’étroit. Un soldat ramassa le pull et rajoutera des boutons.
Le débardeur est alors un vêtement de dessous. Son élasticité épouse les formes du corps, il absorbe l’humidité donc il est idéal à porter à même la peau.
Traditionnellement, le débardeur est 100% en coton, mais il l’est également de nos jours de différentes matières comme en laine, en soie…
Le débardeur quitte son statut de sous-vêtement pour devenir un vêtement porté par les soldats, agriculteurs et ouvriers notamment sur le port de Marseille. On se souvient par exemple du film « Les Temps modernes » de Charlie Chaplin où les ouvriers portent des débardeurs. Il est également porté lors de la pratique de sports étant donné qu’il est absorbant et adapté à l’effort.
Dans le cinéma, il fut popularisé chez les hommes comme Marlon Brando dans le film « Un Tramway nommé désir », ou plus récemment Bruce Willis dans « Die Hard » pour mettre en avant leur virilité et leurs muscles saillants.
On se souvient également de Freddie Mercury qui n’hésita pas à performer en débardeur blanc lors de concerts de son groupe Queen.
Concernant le débardeur, chez les femmes. En 1912, lors de l’introduction de la natation pour les femmes aux Jeux olympiques, les nageuses portaient des costumes très similaires aux débardeurs modernes, mais avec une pièce supplémentaire qui ressemblait à un short pour couvrir la moitié supérieure des cuisses. C’était donc une sorte de combinaison avec la partie du débardeur en haut.
Le débardeur fut porté par les femmes à partir des années 20. C’est même devenu un vêtement clé dans le combat féministe de l’époque. Lors des années folles, certaines femmes à l’allure garçonne n’hésitaient pas à porter le débardeur sans soutien-gorge et avec un pantalon moulant pour revendiquer leur féminité tout en adoptant le look masculin de l’époque.
Le débardeur est à l’origine blanc, non teint comme c’est un vêtement de dessous. C’est à partir des années 70 que les marques s’emparent notamment de couleurs pastels avec du rose, du bleu. Le débardeur prend alors pour la première fois de la couleur.
Dans les années 80, suivant la mode de l’époque, le débardeur est teint dans des couleurs vives, flashy.
Dans les années 90, il est minimaliste, et dans les années 2000 il est très moulant et plus court. Il peut dévoiler le nombril et devient même un crop top.
Depuis le débardeur est porté à la fois par les femmes comme un vêtement de dessus, en été comme c’est une pièce facile à associer et également par les hommes notamment sportifs.
C’est devenu depuis un basique dans la garde-robe.
Nathalie Rey : Quelles sont les jeunes marques qui ont retenu ton attention pour cette pièce ?
Annabel Laso : Il y a bien sûr les Tricots Marcel, la marque qui a donc popularisé le débardeur. En coton Pima, considéré comme le meilleur coton au monde, le débardeur est 100% fabriqué en France. Il est au prix de 39,90€ pour les femmes et les hommes. Il existe aussi une version enfant.
La marque allemande Armed Angels, pionnière de la mode éthique propose sinon un modèle en coton bio GOTS.
Pour ceux qui ne connaissent pas, GOTS est la norme la plus élevée en ce qui concerne le coton. Elle assure que le coton est biologique, cultivé sans pesticide et que les conditions de travail sont régulées. Le coton bio, c’est environ 25 fois moins d’eau utilisée que le coton classique donc ce n’est pas négligeable. Le débardeur est 19,90€.
J’attends aussi avec impatience le débardeur de la marque Réuni qui sortira normalement en mars.
C’est une petite marque française que j’apprécie énormément, car elle propose des pièces co-créées avec nous. Des questionnaires sont disponibles sur leur site tout au long de l’année pour qu’ils puisent proposer des pièces nobles et durables conçues en Europe.
Nathalie Rey : Quels sont tes projets à venir?
Annabel Laso : C’est une très bonne question. Je n’en ai pas particulièrement, mais je dirais continuer à proposer du contenu instructif et ludique pour Déshabillons la Mode et continuer à travailler en rapport avec la mode, car c’est ma passion donc autant allier l’utile et l’agréable.
Nathalie Rey: Tu as côtoyé pas mal de mannequins dans ton métier. Aurais-tu un conseil à donner à un jeune mannequin qui débute ?
Annabel Laso : Effectivement. Il faut croire en soi, ne jamais baisser les bras. Tout le monde a ses hauts et ses bas, c’est vrai, mais il faut y croire, être optimiste et curieux. Je crois vraiment dans La Loi de l’Attraction qui est donc le principe qui consiste à dire que les pensées positives attirent les expériences positives.
Nathalie Rey : Qu’est-ce qui selon toi permet à un mannequin de se démarquer et de faire la différence ?
Annabel Laso : Pour moi ce serait la prestance, l’aura qu’il dégage. Kate Moss par exemple n’était pas à l’époque un canon de beauté. Elle était très mince, petite également comparé aux top models des années 90, mais elle avait quelque chose en plus que d’autres n’avaient pas. C’est assez difficile à définir, mais pour moi c’est vraiment quelque chose qui se dégage de la personne, sa personnalité, son aura…
Nathalie Rey : Merci beaucoup Annabel je crois savoir qu’il y a d’autres pièces de la garde-robe des mannequins que tu as prévus de nous décrypter prochainement ? Aurais-tu un indice à nous donner?
Annabel Laso : Oui bien sûr. Justement mon premier indice est dans ma précédente réponse. Kate Moss est l’indice.
Nathalie Rey: Pour tout savoir sur l’histoire et les anecdotes de vos vêtements préférés, je vous invite à suivre @deshabillonslamode sur Instagram.
Si cet interview vous a plu, n’hésitez pas à laisser un commentaire!
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