Shodo est un ovni dans un secteur d’activité complexe dans lequel les entreprises, les ESN (Ex-SSII), ont créé des modèles assez similaires et qui, souvent, font face à des problématiques proches. Dans un modèle qui repose sur la mise à disposition de talents et d’expertises à des clients souvent exigeants et pas toujours modernes dans leur management opérationnel, comment recruter, engager et fidéliser ses collaborateurs ?
Shodo a été fondé il y a plus de 5 ans par des anciens salariés d’entreprises de services technologiques qui avaient bien identifiés les principales faiblesses de leurs modèles et de leurs cultures, et qui ont décidé d’emblée de faire radicalement différents.
Leur vision : le turn-over et l’implication sont directement liés à l’engagement, et cette dernière dynamique s’obtient notamment via la justice sociale, l’implication dans la gouvernance et le respect de l’équilibre Vie pro / Vie perso. Dans un business dont le nerf de la guerre et le recrutement et la fidélisation, Shodo a posé un principe simple : quand les salariés sont bien dans leur vie et leur travail, et quand les salariés sont fiers de leur entreprise, il y a moins d’absentéisme, de turn-over, et tu dépenses moins pour recruter les meilleurs !
En forte croissance, ils sont déjà une centaine de salariés via une logique de développement en filiales géographiques ou verticales. Fervent croyant d’une culture et d’un cadre de travail organiques et vivants qui s’améliorent en continue, Shodo est en construction d’un modèle d’organisation et de management déjà bien avancé mais en perpétuel évolution.
Jonathan Salmona, co-fondateur nous explique avec verve leur démarche et leurs convictions dans cet échange enregistré à la fin de l’année 2023. Cette précision est importante car il est probable (voire certain) qu’au moment où vous écouterez ce podcast, leur modèle ait déjà beaucoup évolué !
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