Le final de WandaVision approche, ce sera le 5 mars sur Disney+. L’occasion de se pencher sur le compositeur de la série Christophe Beck.

[Extrait Sonore « WandaVision »]

[« SérieFonia : Season III :

Opening Credits » – Jerôme Marie]

[« WandaVision – Dinner is

Served » – Christophe Beck]

La première saison de WandaVision

suit gentiment son cours, chaque vendredi sur Disney +… et ce qu’il y a

d’intéressant avec cette toute première série dérivée du MCU, le fameux Marvel

Cinematic Universe, c’est qu’en plus de revisiter, et de se réapproprier, une

décennie de savoir-faire télévisuel par épisode, c’est qu’elle offre à son

compositeur la savoureuse occasion de faire de même. 

[« WandaVision – A Child is Born » – Christophe Beck]

Passage du noir et blanc à la

couleur… Du format 4/3 au 16/9… Du mono à la stéréo… De la musique classique au

disco… jusqu’à l’électro… WandaVision sème le trouble en brassant

autant les genres que les époques… Un magnifique terrain de jeu pour le

compositeur Christophe Beck. Qui méritait bien d’avoir enfin un p’tit

SérieFonia rien qu’à lui… Et ce, depuis qu’un beau jour, j’ai entendu ceci…

[« Buffy, The Vampire Slayer – Close Your Eyes (Buffy & Angel

Love Theme) » – Christophe Beck]

« Close Your Eyes »…

Le Love Theme de Buffy et de son tourmenté de vampire Angel… Ayant marqué au

fer rouge l’esprit des fans, ce très beau morceau n’intervient pour la première

que lors du final de la saison 2 en 1999 ; lorsqu’elle n’a d’autre choix

que de planter une épée dans le cœur de son grand Amour et de le renvoyer

quelques temps en enfer. Mais s’il est toujours reconnu comme étant LE

compositeur de la série culte : Christophe Beck n’en a pourtant illustré

musicalement que les saisons 2, 3 et 4. Non, le générique n’est pas de lui… Pas

plus que les partitions des 12 premiers épisodes…  Et en dehors que quelques petites apparitions

en guest (notamment sur « Once More, With Feeling » : l’extraordinaire

comédie musicale de la saison 6), son histoire avec la tueuse s’arrête donc là.

Toutefois, il n’en a pas délaissé les guerrières pour autant… 

[« Elektra – Main Title » – Christophe Beck]

C’était en 2005 pour le

réalisateur Rob Bowman, qui dirigeait alors la très mauvaise suite du déjà très

mauvais Daredevil : Elektra, avec Jennifer

Garner (ex-Sidney Bristow de la série Alias) dans le rôle-titre.

Mais bien ou pas bien, toutes ces héroïnes bad-ass m’ont donné une idée :

survoler la carrière de cet ancien élève de Jerry Goldsmith en ne s’arrêtant

que sur des personnages féminins. A commencer par la plus célèbre auprès des

spectateurs de 7 à 77 ans… Elsa… La Reine des Neiges en

personne !  

[« La Reine des Neiges II – Dark Sea » – Christophe Beck]

Et je ne veux entendre

personne me dire « gna gna gna… Libérée, délivrée… j’en peux plus… gna gna

gna c’est cul-cul, tout ça tout ça ». D’abord parce que Christophe Beck n’a

absolument pas écrit les chansons des deux films d’animation pour Disney… Uniquement

le score. Et ensuite parce que… Bon sang de bois… Elle est géniale cette

chanson ! En VO, en tout cas… Alors, les haters… Let it Go ! Mais je

m’égare. Excusez-moi. Du haut de mes 46 ans, j’adore ces films. Et le deuxième

plus encore. J’assume. Mais bon, revenons-en aux autres œuvres musicales de

La Manita reçoit l’attaquant de Paris 13 Atlético : Anatole Ngamukol

Chaque semaine, Dimitri Blanleuil et sa team de chroniqueurs reviennent sur l’actualité sportive de la semaine. Rugby, NBA, courses hippiques… tous les sports y passent !

Cette semaine, notre invité était fit_n_eat_, coach sportif et influenceur, i: fait des programmes de perte de poids, vous aide à vous reprendre en main et il est aussi créateur du #FitNBodyChange

Cinéma de patrimoine, classique de l’histoire du cinéma, films cultes et populaires, on revient sur le cinéma qui nous fait vibrer. Aujourd’hui Les Bronzés font du ski.

Alors Les Bronzés font du ski c’est quoi ? Ce sont les retrouvailles après le Club méditerranée de la joyeuse troupe d’amis qui se retrouvent aux sports d’hiver où ils vont rencontrer encore d’autres problèmes sentimentaux, et mésaventures jusqu’à même se perdre en montagne. 

On a tendance à l’oublier le

temps aidant mais le box-office des premiers films de la troupe du Splendid, si

ils ne furent absolument pas déshonorants ne présageaient pas un instant du

culte grandissant et constant qu’ils finiraient par générer. En 1978, les

quelques 2 millions trois cent mille entrées des Bronzés permirent au groupe de comédiens qui

s’étaient faits la main sur la scène parisienne de devenir des vedettes de

cinéma qui allaient modifier en profondeur le paysage de la comédie française. Patrice Leconte,

le metteur qu’ils s’étaient eux même choisi pour éviter de se retrouver sous la

coupe d’un Coluche,

trouvait lui aussi le déclic que son premier long métrage, Les Vécés étaient fermés de

l’intérieur ne lui avait pas permis d’obtenir. Pourtant tout n’est

pas aussi rose qu’on veuille bien le croire vu de l’extérieur, les premières

velléités personnelles commençant à se faire sentir et le groupe de se fissurer

quelque peu de l’intérieur. Michel Blanc notamment, ne participe pas à

l’écriture des Bronzés

font du Ski, qu’Yves Rousset-Rouard, en bon producteur (et oncle

de Christian

Clavier) ne pouvait pas ne pas envisager. Toute la troupe, Patrice Leconte

y compris, est pourtant bien de retour, un an à peine après le Club

Méditerranée en Côte d’Ivoire, pour un séjour au ski à Val-d’Isère où Gigi (Marie-Anne Chazel) désormais en couple avec Jérôme (Christian Clavier), Popeye (Thierry Lhermitte), Jean-Claude Dusse

(Michel

Blanc), Bernard (Gérard Jugnot)

et Nathalie (Josiane Balasko) et Christiane

l’esthéticienne (Dominique Lavanant)

se retrouvent pour une semaine de vacances.

Si le film ne s’en ressent pas un instant, le tournage ne fut pourtant pas idyllique car outre le fait que Michel Blanc s’acquitte de son travail sans réelle envie, les relations entre Dominique Lavanant et le reste de l’équipe tournent au vinaigre, cette dernière étant logée à l’écart des autres et ne se sentant absolument pas intégrée. Dépourvu du sujet sociétal qu’était le Club Med sur le premier film, ce second volet est davantage centré sur les personnages et le fait de les connaître et d’observer leur évolution est assez jubilatoire. Le couple Bernard et Nathalie est devenu un couple de parvenu néo riche absolument détestable avec les autres, les relations entre Jérôme et Gigi sont de plus en plus délétères, Jean-Claude n’a pas changé d’un iota et est toujours le même loser sans gêne, Christiane vient présenter son nouvel amoureux à la bande tandis que Popeye est passé du GO tombeur de ces dames au larbin servile pour sa femme et l’amant de celle-ci (interprété par Guy Laporte, le chef de village des Bronzés).

Pour finir de lire cette critique, rendez-vous ici

Pour écouter nos émissions sur Deezer, ça se passe iciDispos aussi sur Apple Podcast et Podcast AddictPour rejoindre le Twitter de La loi des séries, ça se passe iciPour rejoindre la page...

L’After School, c’est le rendez-vous du jeudi soir 20h-22h en direct avec Sarah sur VL. C’est une émission de détente, pleine de bonne humeur, avec des jeux, des chroniques, du Live et des invités issus du milieu artistique.

Jeudi 18 février, l’équipe de l’After School recevait le rappeur Allebou, l’écrivain Sabrina Missègue et le chanteur Antoine Délie. Nous étions pour cette émission entourés des chroniqueurs Mathilde et Charles ainsi que de Chloé et Julien à la réalisation.

Nous commençons cette émission avec le rappeur Allebou, originaire du Mans qui a fait une apparition remarqué il y a quelques temps dans l’émission “Planet Rap” sur Skyrock en présence de Maes.

En février 2020, Allebou sort une Mixtape intitulée “Synthèse Additive” et signe dans le label PN2X. Au travers la thématique des couleurs, il y aborde des sujets variés tels que l’écologie, le harcèlement scolaire ou encore les bavures policières. La qualité de ses textes à la fois matures et engagés le conduise à se perfectionner dans cette voie et c’est tout naturellement qu’est sorti le 13 décembre 2020 un clip du titre “Lumière Bleue”. Pour finir, le jeune rappeur de 20 ans nous présente en Live un Freestyle inédit !

C’est ensuite au tour du meilleur des looseurs, Charles, de nous faire connaître “les records de la loose” !

Nous faisons à présent la connaissance de Sabrina Missègue. Cette Suisse venue tout droit de Fribourg, maintenant parisienne épanouie, nous présente son livre “Le goût de vivre– L’anorexie n’est pas un combat sans faim”. Après une année passée aux Etats-Unis lors de ses 16 ans, Sabrina revient en France en ne pesant que 25 kilos. C’est alors que, pendant son processus de guérison, Sabrina décide d’adresser une lettre à Patrick Poivre d’Arvor, lui-même meurtri par la disparition de sa fille anorexique.

La jeune femme, soutenu alors par le journaliste, se met à écrire son histoire et ses espoirs. “Le goût de vivre” sort ainsi aux éditions Favre en septembre 2020. Depuis la jeune écrivaine poursuit dans cette voie et est devenue auteure dans différents projets de scénarios ou encore de nouvelles littéraires, à paraître très prochainement !

Mathilde fait son grand retour parmi nous et nous ravit des dernières actualités avec les excuses de Justin Timberlake à Britney Spears.

Enfin, nous accueillons le chanteur Antoine Delie, finaliste de l’émission “The Voice 9” ! Coaché par Marc Lavoine durant l’émission, cet artiste belge a sorti le 29 janvier dernier un single intitulé “Dis-moi“.

Anatole Ngamukol est l’invité de La Manita avec son frère et représentant Alain Ngamukol. Il nous parle de son procès pour harcèlement moral contre le Stade de Reims, qui fera peut-être jurisprudence dans la gestion des lofteurs. En seconde partie, Julian Palmieri nous raconte son expérience du loft à Lille, sous l’ère Bielsa.

Ce soir on reçoit 2 candidats de télé-réalité ! QueenGrk plus connu sous le nom de Grâce que vous avez sans doute vue dans les princes de l’amour et qui est également chanteuse, ainsi que Vincent Piliego candidat emblématique de l’émission 10 couple parfait. Tous les 2 sont amis et vont nous parler de leurs expériences télévisuelles sans langue de bois

Sommaire :

• La Saint Valentin des chroniqueurs

• Présentation de Marion

• Grace en live & interview

• 1mot pour définir

• Vincent Piliego en interview

• Le TAC O TAC de clément

• La chronique ta mère d’Alexis Tramoni (suicides étudiants)

• Le Challenge Actu

• Les Victoires de la musique : le clash Barak vs Aya

• Le message d’Ahmed Sylla pour la Friendzone

• 1 Nuit / 1 Vie

• Le Top 3 des filles

Dans cette seconde partie d’émission consacrée à Bernard Deyriès, nous allons évoquer cette période qui a conduit la DIC à partir aux Etats-Unis.

Après avoir évoqué avec nous ses débuts et notamment les deux gros projets Ulysse 31 et Les cités d’or, nous poursuivons en compagnie de Bernard Deyriès qui évoque la manière dont il a dû dealer avec le merchandising et surtout la période américaine durant laquelle la DIC a créé des séries comme Les Popples ou Mask.

TF1

Une émission en partenariat avec Génération Souvenirs,“le site qui vous fait retomber en enfance“

Une émission en partenariat avec Planète Jeunesse“Le site qui vous renvoie en enfance“

Découvrez la fiche de Bernard Deyriès iciDécouvrez la fiche de Les mystérieuses cités d’or iciDécouvrez la fiche de Ulysse 31 iciDécouvrez la fiche de Les Popples iciDécouvrez la fiche de Lisa ou le rêve olympique iciDécouvrez la fiche de Conan l’Aventurier iciDécouvrez la fiche de Sophie et Virginie ici

Réseaux sociaux

Pour retrouver la page Facebook de Génération Souvenirs, ça se passe ici

Pour écouter nos émissions sur Deezer, ça se passe iciDispos aussi sur Apple Podcast et Podcast AddictPour rejoindre le Twitter de La loi des séries, ça se passe iciPour rejoindre la page Facebook de La loi des séries, ça se passe iciVoix Off : Pauline Tessadri ici

Nouvelle histoire que l’on vous raconte aujourd’hui, celle d’un héros qui a traversé les générations : l’Inspecteur Gadget.

C’est quoi Inspecteur Gadget ? “Gogo gadget au chapeau !” Armé d’une multitude de gadgets et de membres télescopiques, cet Inspecteur Gadget est maladroit et un peu idiot. Le chef Gontier apparaît toujours dans des situations incongrues (un frigo, une poubelle, etc) pour remettre à Gadget un message d’Interpol qui s’autodétruit une fois lu et que Gadget ne manque jamais de lui redonner avant de refermer la porte ou le couvercle ! Gadget se lance alors aussitôt dans l’aventure, toujours dans la mauvaise direction, en prenant les méchants pour des amis et les gentils pour des méchants… Mais sa nièce Sophie, armée de son livre-ordinateur et avec son chien Finot (capable de se déguiser, de marcher, de jouer la comédie !), surveille l’organisation MAD dirigée par l’insaisissable et énigmatique Docteur Gang accompagné de Madchat qui a juré de dominer le monde.Gadget finit toujours par être félicité par le chef Gontier pour le succès de sa mission, tandis que Sophie et Finot pouffent de rire.

Inspecteur Gadget

Retrouvez sa fiche sur Planète Jeunesse ici

Une émission en partenariat avec Génération Souvenirs,“le site qui vous fait retomber en enfance“

Réseaux sociaux

Pour retrouver la page Facebook de Génération Souvenirs, ça se passe ici

Pour écouter nos émissions sur Deezer, ça se passe iciDispos aussi sur Apple Podcast et Podcast AddictPour rejoindre le Twitter de La loi des séries, ça se passe iciPour rejoindre la page Facebook de La loi des séries, ça se passe iciVoix Off : Pauline Tessadri ici

Chaque Mercredi à 20h00, Cédric Cizaire vous ouvre les portes de son CIZAIRE PALACE !

Ses chroniqueurs s’affrontent dans des jeux ou des débats sur toute l’actualité de la semaine! People, sport, cinéma, musique, politique… Dans le Cizaire Palace, tout le monde y passe..!

Au programme du @Cizaire_Palace :