Que faire pour aider dans un monde en constante mutation ? La coopération internationale est un domaine en changement permanent, qui évolue au fur et à mesure des besoins et des apprentissages qu’entraînent les crises traversées.  

C’est à travers la recherche que Matilde Pozzi, Hanul Park et Sahar Bazaz ont tenté de répondre à la question du futur de la coopération internationale. En collaboration avec la DDC, ces trois étudiantes ont exploré différentes réflexions qui traversent aujourd’hui ce domaine. Matilde Pozzi nous en parle et nous donne ainsi un aperçu du regard de la relève sur l’aide internationale. 

1960: Der Dienst für technische Zusammenarbeit, Vorläufer der Direktion für Entwicklung und Zusammenarbeit, wird gegründet. Heute, 65 Jahre später, haben sich die Aufgabenbereiche der DEZA stark weiterentwickelt, um den Bedürfnissen einer sich ebenfalls ständig wandelnden Welt gerecht zu werden.

Um besser zu verstehen, wie die Schweiz ihre internationale Zusammenarbeit im Laufe der Jahre aufgebaut hat, erzählt uns Professor Sacha Zala von den Anfängen der DEZA: Wie hat die internationale Zusammenarbeit die Schweizer Aussenpolitik geprägt? Wie ist die damals noch junge internationale Zusammenarbeit zu einem festen Bestandteil der Schweizer DNA geworden, ähnlich wie die Neutralität?

Quand on pense à l’aide humanitaire, on imagine souvent l’urgence, le chaos, l’adrénaline. Mais pour le Dr. Olivier Hagon, médecin anesthésiste et directeur médical du Corps suisse d’aide humanitaire, l’essentiel se joue ailleurs : dans le temps long, dans l’écoute, la présence et les relations humaines.

Dans cet épisode, il nous parle avec humilité de ses expériences sur le terrain - de ce qu’on apprend quand on soigne, loin de chez soi, au plus près des autres. Un échange sincère sur ce que signifie « aider » et sur la manière de transmettre cette approche aux générations futures.

«Wenn es kein Geld mehr für Ernährungsprogramme gibt, dann sterben Kinder.» 

Wenn wir an die Vereinten Nationen denken, sind die ersten Bilder oft die der Generalversammlung in New York oder des Palais des Nations in Genf. Doch die Realität der UNO umfasst auch ihre zahlreichen Agenturen, die vor Ort in verschiedenen Bereichen wie Gesundheit, Landwirtschaft und Kinderrechten tätig sind. Victoria Martinez, Chief Field Operations bei UNICEF Kamerun, gewährt uns einen Einblick in die Realität der Feldarbeit für eine grossen multilateralen Organisation. Sie erinnert uns zudem an die Bedeutung dieser Agenturen für die betroffenen Menschen in den Ländern, in denen sie aktiv sind, und warum wir uns darum kümmern sollten. 

« Dans plusieurs pays, il y a des personnes qui bénéficiaient d’assistance humanitaire essentielle à la vie et qui n’y ont plus accès. » 

Récemment, l'aide humanitaire a fait face à des réductions budgétaires importantes dans plusieurs parties du monde : aux Etats-Unis, en Allemagne, en France, au Pays-Bas et même en Suisse. Ces réductions inquiètent et questionnent : quelles conséquences pour les projets et les personnes affectés par les coupures ? Comment faire, alors que le monde est secoué de multiples crises humanitaires ?  

Dans ce nouvel épisode de WHY CARE?, Margot Fortin, coordinatrice des programmes globaux à Impact Initiatives, nous donne des pistes de réponses sur comment le travail de coopération peut s’adapter et quel impact concret ces réductions risquent d’avoir sur les communautés.

«Leider trifft es im Krieg oft die verwundbarsten Menschen der Gesellschaft.» 

In den letzten drei Jahren hat sich das humanitäre Programm in der Ukraine erheblich weiterentwickelt, um der Kriegssituation gerecht zu werden. Es ist dadurch eines der grössten in der Geschichte der Schweizer humanitären Hilfe geworden. 

Mario Trutmann, Gast in dieser neuen Episode von WHY CARE?, teilt seine Erfahrungen nach sechs Jahren humanitärer Arbeit in der Ukraine als Mitglied des Schweizerischen Korps für humanitäre Hilfe (SKH) und stellvertretender Leiter der humanitären Hilfe in der Ukraine. Er berichtet von seinen Eindrücken während der russischen Aggression und gibt einen Einblick in das, was es bedeutet, «vor Ort» zu sein. 

« Avec des instruments comme les financements mixtes, le rôle de la DDC, c’est de pouvoir dé-risquer certaines transactions et attirer ainsi davantage d’investisseurs dans des projets à fort impact social ou environnemental. »  

La question du financement de la coopération au développement est centrale pour atteindre les objectifs de développement durable de l'Agenda 2030. Mais comment pallier le manque de ressources qui s'élève à plus de 5 000 milliards de dollars par an pour y arriver ?

Dans ce nouvel épisode de WHY CARE?, notre invité, Thierry Buchs, conseiller senior sur l’engagement dans le secteur privé à la DDC, nous explique comment celle-ci mobilise des capitaux privés afin de réduire le déficit de financement de la coopération au développement. Les financements mixtes, ou blended finance, permettent de financer des projets à fort impact en passant par divers types de capitaux, privés comme publics : comment ces financements fonctionnent-ils, de quoi sont-ils faits ? Et quelles sont les limites et les dangers de cette approche pour le moins innovante ?

«Die Leidtragenden von humanitären Krisen wissen am besten, was sie wann und in welcher Form sie es benötigen.» 

Naturkatastrophen, Konflikte, Krisensituationen: Wie hilft man den betroffenen Personen am besten? 

In dieser neuen Episode von WHY CARE? erklärt unser Gast, Stefan Bumbacher, Spezialist für die Cash & Voucher Assistance der DEZA, warum dieser Ansatz eine direkte Lösung für Herausforderungen sein kann, mit denen betroffene Bevölkerungen konfrontiert sind. Finanzielle Hilfe in Form von Bargeld ermöglicht eine schnelle, effiziente und kostengünstige Unterstützung. Sie stellt auch die Bedürfnisse der betroffenen Personen in den Mittelpunkt und gibt ihnen einen Teil ihrer Würde zurück. So ergänzt sie eine Reihe von Instrumenten der humanitären Hilfe, die an die lokalen Gegebenheiten angepasst ist. 

« Sans sécurité, pas de développement. »  

Conflits armés multiples, dépenses militaires en constante augmentation, réarmements généralisés : dans un monde en crise, la question de la sécurité est essentielle. Mais comment dépasser la simple notion de force pour comprendre la sécurité dans toute sa complexité ? 

Dans ce nouvel épisode de WHY CARE?, notre invitée, Nathalie Chuard, directrice du Centre de Genève pour la gouvernance du secteur de la sécurité (DCAF), nous parle de  sécurité. Elle met notamment l'accent sur la sécurité humaine, une approche qui place le bien-être des individus au cœur des priorités, dépassant ainsi la simple notion de sécurité des États. Elle souligne également l’importance d’intervenir pendant les conflits, et de les prévenir en apportant des solutions durables qui s’attaquent aux causes profondes. Ainsi, elle rappelle que la stabilité mondiale est essentielle – un enjeu crucial pour le monde mais aussi pour la Suisse. 

«Die Menschlichkeit, die ist da. Der Krieg bringt das Beste und das Schlechteste der Menschen hervor.»

Die Welt sieht sich grossen Herausforderungen gegenüber, geprägt von zahlreichen Krisen und bewaffneten Konflikten, die Millionen von Menschen in Not bringen. In der ersten Folge von WHY CARE? teilt Patricia Danzi ihre persönlichen Eindrücke und Erfahrungen aus ihrem Arbeitsalltag. Sie berichtet von den prägenden Begegnungen und erklärt, warum die Schweiz in Krisen- und Konfliktgebieten aktiv humanitäre Hilfe leistet und sich für nachhaltige Entwicklungszusammenarbeit einsetzt.