Entre ses mains sont passés des bouts de crâne, des dents, des lambeaux de peau ou encore des cheveux d'Hitler, Henri IV, de Diane de Poitiers... « Je suis là pour leur sortir les vers du nez », déclare le médiatique médecin légiste et anthropologue Philippe Charlier. Un squelette qui tombe en poussière, c'est comme une bibliothèque qui brûle. En récupérant cette masse d'informations, il rend un dossier médical et un livret de famille aux morts.

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