Cette semaine, on va parler d'amour et, plus spécifiquement, de comédies romantiques. Qu'est-ce qui constitue une bonne comédie romantique? Est-il encore possible de trouver l'amour, le vrai, à l'ère du dating?

Dans la vie, tout est une question de timing. Parfois, on tombe sur le bon film au bon moment. C'est comme une évidence, comme s'il avait été placé sur notre chemin pile au moment où on avait besoin de le voir. C'est ce qui est arrivé à Anaïs avec Materialists de Celine Song. Elle l'a trouvé tellement fascinant qu'elle a décidé de lui consacrer un épisode entier.

Comme Anaïs a de «grosses lacunes dans le domaine de la romcom», elle a tendu le micro à son amie et experte numéro un de la romance dans la pop culture: Marie Telling. Notre critique préférée a également pu discuter avec Celine Song, la réalisatrice de Materialists, qu'elle a eu le plaisir de rencontrer lors de son passage à Paris.

Comme à son habitude, Anaïs livrera ses critiques de plusieurs films actuellement en salles: Loveable de Lilja Ingolfsdottir, Rêves, issu de La Trilogie d'Oslo, de Dag Johan Haugerud, F1, le film de Joseph Kosinski, M3GAN 2.0 de Gerard Johnstone et Elio de Madeline Sharafian, Domee Shi et Adrian Molina.

Cet été, Anaïs se fait des films fait une pause. Retrouvez Anaïs dans son autre podcast, AMIES, dans lequel Marie et elle vont (re)découvrir la saga Hunger Games.

Anaïs se fait des films est un podcast d'Anaïs Bordages, produit par Slate Podcasts.
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

Hébergé par Audion. Visitez https://www.audion.fm/fr/privacy-policy pour plus d’informations.

Cette semaine, on va parler d'amour et, plus spécifiquement, de comédies romantiques. Qu'est-ce qui constitue une bonne comédie romantique? Est-il encore possible de trouver l'amour, le vrai, à l'ère du dating?

Dans la vie, tout est une question de timing. Parfois, on tombe sur le bon film au bon moment. C'est comme une évidence, comme s'il avait été placé sur notre chemin pile au moment où on avait besoin de le voir. C'est ce qui est arrivé à Anaïs avec Materialists de Celine Song. Elle l'a trouvé tellement fascinant qu'elle a décidé de lui consacrer un épisode entier.

Comme Anaïs a de «grosses lacunes dans le domaine de la romcom», elle a tendu le micro à son amie et experte numéro un de la romance dans la pop culture: Marie Telling. Notre critique préférée a également pu discuter avec Celine Song, la réalisatrice de Materialists, qu'elle a eu le plaisir de rencontrer lors de son passage à Paris.

Comme à son habitude, Anaïs livrera ses critiques de plusieurs films actuellement en salles: Loveable de Lilja Ingolfsdottir, Rêves, issu de La Trilogie d'Oslo, de Dag Johan Haugerud, F1, le film de Joseph Kosinski, M3GAN 2.0 de Gerard Johnstone et Elio de Madeline Sharafian, Domee Shi et Adrian Molina.

Cet été, Anaïs se fait des films fait une pause. Retrouvez Anaïs dans son autre podcast, AMIES, dans lequel Marie et elle vont (re)découvrir la saga Hunger Games.

Anaïs se fait des films est un podcast d'Anaïs Bordages, produit par Slate Podcasts.
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Doublage Celine Song: Marie Agassant
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

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Pourquoi les blockbusters sortent-ils l'été? Depuis quand la saison des vacances, des glaces à l’eau et des coups de soleil est-elle devenue le terrain incontestable des franchises, des films d'horreur et des productions grand public? Qui choisit à quelle date sortent les films et selon quels critères? Pour répondre à ces questions, Anaïs vous propose un retour en arrière pour parler du tout premier blockbuster de l'histoire: Les Dents de la mer, réalisé par Steven Spielberg et sorti le 20 juin 1975 aux États-Unis (en janvier 1976 en France).

Anaïs s'est entretenue avec Stéphane Huard, le président de Sony Pictures France, qui parlera de ce que représente l'été dans sa stratégie de distribution. Notre critique préférée a également pu discuter avec Charles Hembert et Patrick Sibourg, distributeurs indépendants chez Nour Films, qui ont quant à eux travaillé sur la sortie de Life of Chuck, sorti en France le 11 juin.

Comme à son habitude, Anaïs livrera ses critiques de plusieurs films actuellement en salles: 28 ans plus tard de Danny Boyle et Le Rendez-vous de l'été de Valentine Cadic.

Bienvenue dans Anaïs se fait des films. Anaïs Bordages est journaliste, critique cinéma et séries depuis une quinzaine d'années. Dans la vie, il y a deux choses dont elle ne se lasse jamais: le cinéma et parler. Après avoir posé ses micros sur la Croisette lors du Festival de Cannes, Anaïs poursuit l'aventure en format hebdomadaire.

Anaïs se fait des films est un podcast d'Anaïs Bordages, produit par Slate Podcasts.
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

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À quoi servent les bandes-annonces? Qui les fabrique? Dans quelles conditions? Est-ce que tous les monteurs de bandes-annonces ressemblent au personnage de Jack Black dans The Holiday? Comment faire une bon trailer sans spoiler le film dont on parle? Est-ce que l'on apprécie plus un film quand on sait à quoi s'attendre, ou au contraire quand on ignore absolument tout de son intrigue? Dans ce nouvel épisode d'Anaïs se fait des films, notre critique ciné préférée va tenter de répondre à toutes ces questions.

Anaïs s'est entretenue avec Philippe Grellat, le patron de Filmanoïd, une agence de communication spécialisée, qui réalise depuis vingt ans une grosse partie des bandes-annonces que vous voyez au cinéma. Evil Dead, De battre mon cœur s'est arrêté, Le Petit Nicolas ou encore The Substance… Tout ça, c'était eux.

Comme à son habitude, Anaïs livrera ses critiques de plusieurs films actuellement en salles: Life of Chuck de Mike Flanagan, Destination finale: Bloodlines de Zach Lipovsky et Adam B. Stein, Crasse de Luna Carmoon et Indomptables de Thomas Ngijol.

Liens bandes-annonces:
– Queens de Lorene Scafaria
– Brooklyn de John Crowley
– Bellflower de Evan Glodell
– Destination finale: Bloodlines de Zach Lipovsky et Adam Stein
– Crasse de Luna Carmoon
– Indomptables de Thomas Ngijol

Anaïs se fait des films est un podcast d'Anaïs Bordages, produit par Slate Podcasts.
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Voix bande-annonce: Clément Poursain
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

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Si le Festival de Cannes est le point culminant de la vie de critique, le cinéma, en fait, c'est toute l'année. Anaïs Bordages a donc décidé de continuer l'aventure et de vous faire suivre son quotidien. Pour ce nouvel épisode d'Anaïs se fait des films, elle veut tenter de répondre à une question qui la hante et la tourmente à chaque fois qu'elle met les pieds dans une salle obscure: qui sont les gens qui parlent et qui utilisent leur téléphone au cinéma?

Notre critique ciné préférée vous a aussi tendu le micro pour connaître les comportements que vous haïssez le plus dans les salles de cinéma, mais aussi les habitudes (presque) inavouables que certains d'entre vous adoptent.

Comme à son habitude, Anaïs livrera ses critiques de plusieurs films actuellement en salles: Sinners de Ryan Coogler, Tu ne mentiras point de Tim Mielants, Jeunes mères de Jean-Pierre et Luc Dardenne et The Phoenician Scheme de Wes Anderson.

Bienvenue dans Anaïs se fait des films. Anaïs Bordages est journaliste, critique cinéma et séries depuis une quinzaine d'années. Dans la vie, il y a deux choses dont elle ne se lasse jamais: le cinéma et parler. Après avoir posé ses micros sur la Croisette lors du Festival de Cannes, Anaïs poursuit l'aventure en format hebdomadaire.

Anaïs se fait des films est un podcast d'Anaïs Bordages, produit par Slate Podcasts.
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

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Après dix jours de compétition, quarante films et une quantité indécente de cafés gratuits, l'aventure cannoise d'Anaïs s'est achevé dans le chaos avec une panne de courant touchant toute la ville de Cannes et sa région. «Plus de feux de signalisation pour réguler le trafic, plus de distributeurs, plus de lumière, plus de coups de fil, plus rien. J'ai l'impression d'être dans le roman Ravage de Barjavel. Les commerçants ferment leurs boutiques», confie-t-elle.

Dans ce septième épisode, notre critique préférée analyse le palmarès et livre ses dernières opinions sur les films projetés, notamment la Palme d'or, Un simple accident de Jafar Panahi. Vous pourrez entendre ses interviews avec Anaïs Duchet, traductrice et interprète, et N.T. Binh, critique pour la revue Positif, pour qu'ils lui racontent leur point de vue sur le festival.

Si vous voulez découvrir la playlist d'Anaïs dédiée au Festival de Cannes, c'est ici.

Anaïs Bordages vous propose de vous emmener avec elle au Festival de Cannes! Dans Anaïs se fait des films, elle vous racontera les coulisses de l'événement, son quotidien sur place et vous partagera ses coups de cœur, en donnant la parole à des invités présents au festival. Au programme: des palmiers, mais surtout beaucoup de cinéma.

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Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

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Le Festival de Cannes touche presque à sa fin. Les derniers jours sont toujours un peu à part: les salles de projection se vident, tout le monde fait des prédictions sur le palmarès et les gens sont tous un peu à bout. «Cette année, à cause du vent, du stress et de la surexposition aux grands écrans, une épidémie d'orgelets touche la Croisette, à tel point que les pharmacies sont en rupture de stock de médicaments… Ne me demandez pas comment je le sais», révèle-t-elle.

Dans ce sixième épisode d'Anaïs se fait des films, Anaïs vous parle d'un film qui l'a tout simplement bouleversée: Valeur sentimentale de Joachim Trier, en compétition pour la Palme d'or. Notre cinéphile préférée vous propose aussi de découvrir ce qui se trouve dans son carnet de critique ciné. Ensuite, elle livrera, aux côtés de ses acolytes de festival, ses meilleures anecdotes de soirées cannoises.

Dans un second temps, vous pourrez entendre son interview avec Vicky Krieps et Anna Cazenave Cambet pour parler d'un de ses plus gros coups de cœur du festival: Love Me Tender. Présenté dans la section Un certain regard, le film raconte l'histoire de Clémence, une mère célibataire qui perd la garde de son enfant lorsqu'elle annonce à son mari qu'elle a des relations avec des femmes. Vous entendrez aussi un extrait de son entretien avec Nadav Lapid, le réalisateur israélien de Yes, que vous pouvez aussi retrouver dans un article sur Slate.fr.

Et comme le veut la tradition de ce podcast, Anaïs livrera ses critiques de deux films en compétition pour la Palme d'or: Résurrection de Bi Gan et The History of Sound d'Oliver Hermanus, l'histoire d'une romance entre deux hommes sur fond de Première Guerre mondiale (avec Paul Mescal et Josh O'Connor).

Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues

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Dans ce cinquième épisode d'Anaïs se fait des films, notre critique ciné vous propose de traîner avec elle pendant qu'elle tente de survivre à une de ses folles journées cannoises. Suivez la journée type d'Anaïs: du réveil au coucher, en passant par ses galères d'enregistrement, les nombreuses projections de films, les innombrables cafés ingérés et autres péripéties –tout ça, en essayant de trouver le temps de manger. «Ici, mes “nuits” ne sont pas vraiment des nuits, plutôt des TikTok en matière de longueur. J'aime bien dire qu'à Cannes on ne dort pas, on ferme les yeux», confie-t-elle.

Dans un second temps, vous pourrez entendre son interview doublée en français de Richard Linklater, un de ses réalisateurs préférés. Cette année, le cinéaste texan est en compétition à Cannes pour son film Nouvelle Vague.

Et comme le veut la tradition de ce podcast, Anaïs livrera, en fin d'épisode, ses critiques de plusieurs films projetés pendant le festival: Alpha de Julia Ducournau (Palme d'or 2021 pour Titane), le film d'horreur Dangerous Animals de Sean Byrne (présenté à la Quinzaine des cinéastes), Les Aigles de la République de Tarik Saleh (en compétition), le documentaire Nuit obscure de Sylvain George (sélectionné à l'ACID) et Love Me Tender d'Anna Cazenave Cambet (section Un certain regard).

Pour lire la grille critique d'Anaïs, c'est ici.

Anaïs se fait des films est un podcast d'Anaïs Bordages, produit par Slate Podcasts.
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Doublage Richard Linklater: François Pottier
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

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Ça y est, on attaque la deuxième moitié du Festival de Cannes, et pour Anaïs, niveau énergie, ça commence à piquer. Mais heureusement, selon elle, la sélection est d'un excellent niveau cette année, «ce qui la maintient en vie. Ça et le café gratuit, évidemment.»

Dans ce quatrième épisode d'Anaïs se fait des films, notre critique ciné vous livrera sa définition d'un genre cinématographique très spécifique: les «films de vibes». Anaïs s'est de nouveau livrée à un de ses exercices préférés: interroger ses confrères et consoeurs critiques. Le sujet? Leur meilleure (ou pire) anecdote de sieste devant un film à Cannes.

Dans un second temps, vous pourrez entendre ses entretiens avec l'actrice Aïssa Maïga, à l'affiche du film Promis le ciel, et Julia Kowalski, la réalisatrice du film Que ma volonté soit faite.

Et comme le veut la tradition de ce podcast, Anaïs livrera, en fin d'épisode, ses critiques de plsuieurs films projetés pendant le festival: Eddington, d'Ari Aster, The Chronology of Water, premier long-métrage réalisé par Kristen Stewart, Sirat d'Óliver Laxe, Dossier 137 de Dominik Moll, La petite dernière de Hafsia Herzi (en compétition pour la Palme), Des preuves d’amour d’Alice Douard, et enfin, Die my love de Lynne Ramsay, Et spoiler: un de ces films l'a beaucoup déçu.

Intervenants micro-trottoir: Alex Masson de Nova, Renaud Baronian du Parisien, Michael Ghennam des Fiches du Cinéma, Thibaut van de Werve de CINECAST, Léa Petel, réalisatrice et monteuse, Alexis Roux de Réalisé Sans Trucage et Marc-Aurèle Garraud de CinéSérie.

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Anaïs Bordages vous propose de vous emmener avec elle au Festival de Cannes! Dans Anaïs se fait des films, elle vous racontera les coulisses de l'événement, son quotidien sur place et vous partagera ses coups de cœur, en donnant la parole à des invités présents au festival. Au programme: des palmiers, mais surtout beaucoup de cinéma.

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Dans ce troisième épisode, Anaïs vous explique comment parler la langue cannoise. À Cannes, il y a tout un ensemble de règles tacites. On prononce rarement le titre des films, mais on privilégiera le nom du ou de la cinéaste. Les soirées sur la plage sont moins stylées que les soirées sur les yachts. On ne croise les vendeurs de parapluies sur la Croisette que quand il risque de pleuvoir, mais jamais quand il pleut.

L'une des traditions les plus importantes du festival, c'est celle qui concerne les applaudissements et les huées. Il est de coutume d'applaudir au début des films pour signaler son enthousiasme, mais aussi par simple marque de respect. Ensuite, une fois que le film se termine, il est possible de «donner son avis», de manière assez bruyante: ceux qui ont adoré applaudissent très fort et ceux qui ont détesté se mettent à huer.

Mais la tradition préférée d'Anaïs et de loin la plus chelou, c'est celle qui se produit dans la salle Debussy, réservée aux projections de presse. Juste avant que le film ne démarre, alors que la salle est plongée dans le noir, on peut parfois entendre quelqu'un crier «Raoul!». Mais qui est Raoul? Notre critique ciné a mené l'enquête.

Anaïs a aussi eu l'occasion de discuter avec deux attachées de presse, Karine Durance et Claire Viroulaud. Et comme le veut la tradition de ce podcast, Anaïs livrera, en fin d'épisode, ses critiques de quatre films projetés pendant le festival: Mission: Impossible - The Final Reckoning de Christopher McQuarrie (hors compétition), L'Intérêt d'Adam de Laura Wandel (Semaine de la critique), Put Your Soul on Your Hand and Walk, le documentaire de Sepideh Farsi (sélection ACID), Sound of Falling de Mascha Schilinski (en compétition). Et spoiler: elle a déjà un premier coup de cœur.

Intervenants micro-trottoir: Alex Masson, Renaud Baronian, Chloé Valmary, Ariane Allard, Michael Ghennam, Nicolas Marcadé, Matteu Maestracci et Yannick Vely de Paris Match.

Anaïs se fait des films est un podcast d'Anaïs Bordages, produit par Slate Podcasts.
Production éditoriale, montage et réalisation: Aurélie Rodrigues
Musique: «Cooking In Here» – Henrik Lars Wikström, Anders Johan Greger Lewen et Louise Marshall

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