Alors que les États-Unis affirment que le nucléaire iranien n'est plus qu'un souvenir, ces 408,6 kilos d'uranium enrichi à 60% continuent de faire peser un lourd doute sur la scène internationale. Ce sont ces stocks que les États-Unis et Israël ont voulu neutraliser lors des récents bombardements. Mais leur efficacité reste difficile à évaluer: Téhéran reconnait des dégâts importants sur des infrastructures, tout en assurant avoir mis ses stocks à l'abri avant les attaques.

Invitée du Titre à la une: Emmanuelle Maître, maître de recherche à la Fondation pour la Recherche Stratégique.