Share Le podcast santé
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By BFMTV
The podcast currently has 56 episodes available.
C’est un procès ultra médiatique, qui a mis en lumière et rendu concrète la notion de soumission chimique. Celui des viols de Mazan, ou le calvaire de Gisèle Pelicot, violée par son mari et des dizaines d'hommes après avoir été droguée. Pendant 10 ans, elle a souffert d’absences, se plaint d’être épuisée et consulte des médecins pour des douleurs gynécologiques, mais personne ne mettra les mots sur l’horreur qu’elle subit. Ce sont finalement les enquêteurs qui lui ont révélé les agressions dont elle était la victime. Alors que faire en cas de doute, qu'est que la soumission chimique? Qui peut être concerné? Y a-t-il une libération de la parole? Quelles sont les aides qui existent? Pour répondre à ces questions Margaux de Frouville et Alain Ducardonnet reçoivent Sandrine Josso, députée en charge d'une mission sur ce sujet, et Johanna Rozenblum psychologue clinicienne et consultante BFMTV.
Guillaume Robic avait 42 ans et une vie trépidante lorsqu'il a été victime d'un accident cardio-vasculaire. Comme les 150.000 victimes d'AVC chaque année en France, Guillaume a dû réapprendre à marcher, à nager, à courir... Alors, qu'est-ce qu'un AVC ? Comment en reconnaître les premiers signes pour une prise en charge rapide ? Et surtout, comment réapprendre à vivre après l'accident ? Guillaume Robic, auteur de "Un AVC et devoir tout recommencer" et le docteur Philippa Lavallée, neurologue et cheffe de service du centre d'accueil et de traitement des AVC à l'hôpital Bichat.
Bien dormir pour bien récupérer pour être performant. Les sportifs se sont penchés sur la question depuis longtemps. Margaux de Frouville et Alain Ducardonnet reçoivent Mathieu Nédélec, docteur en sciences du sport à l’INSEP, ex-préparateur physique et coauteur de « Dormez mieux grâce aux secrets des grands sportifs » aux éditions Vuibert.
Quand on dit maladie, on pense souvent médicaments. Peu d’entre nous imaginent de ressortir d’une consultation sans l’ordonnance salvatrice, médicaments mais pas que car depuis une dizaine d’années des solutions complémentaires se sont imposées. La Haute Autorité de Santé leur a donné un nom depuis 2011: les INM. Activités physiques adaptées, psychothérapies, hypnothérapie, régimes ciblés, éducation thérapeutique et bien d’autres sont connues, utilisées et plébiscitées par le grand public. Mais il faut bien reconnaitre que ces INM posent encore questions: pléthores de techniques, efficacité pas clairement démontrée, professionnels formés et compétents difficile à identifier, terrain de jeu de certains charlatans… Qu’entend-on par INM? Quelle efficacité démontrée? Vers qui se tourner pour en bénéficier? Que dit la science et les doutes ont-ils stimulé la recherche? Les réponses du Porfesseur Grégory Ninot professeur à l’université de Montpellier et président de la société internationale des INM, président de la Non-pharmacological intervention society (NPIS), professeur à l’Université de Montpellier, directeur adjoint de l’Institut Desbrest d’épidémiologie et de santé publique de l’INSERM, chargé de recherche à l’Institut du cancer de Montpellier et Membre de l’Institut Universitaire de France.
Sur les 60.000 cancers du sein détectés chez les femmes en 2023, près d'un tiers ont été traités par ablation du sein, la mastectomie. Pourtant, la reconstruction mammaire reste encore méconnue, voire, peu accessible. Les spécialistes estiment à 70.000 le nombre de femmes qui souhaiteraient une reconstruction mais ne la font pas. Le docteur Isabelle Sarfati, chirurgienne-plasticienne et fondatrice de l'institut du sien à Paris, et le professeur Michaël Atlan, chef du service de chirurgie plastique reconstructive et esthétique de l'hôpital Tenon, répondent aux questions de Margaux de Frouville et Alain Ducardonnet.
Vous le connaissez depuis 7 ans, il nous informe avec ses lettres et ses couleurs placées sur certains produits alimentaires. Le Nutriscore s’est imposé comme une traduction simple de leur composition. Son but pour le consommateur: comprendre plus facilement la qualité nutritionnelle des aliments et pouvoir les comparer dans une même famille. Sauf qu’il vient de faire l’objet, en début d’année, d’un changement de son mode de calcul. Sur quoi repose le nouveau calcul du Nutriscore? Quels sont les aliments concernés? Est-il compris par les consommateurs? Pourquoi certains industriels renâclent à l’adopter ou même le quittent? Avec quelles conséquences? Le père de ce nutri-score, le Professeur Serge Hercberg, Professeur émérite à l’université Sorbonne Paris Nord et pendant 18 ans président du PNNS programme national nutrition santé, est l 'invité de Margaux de Frouville et Alain Ducardonnet.
Où est ce que j’ai mis clés? Et d’ailleurs ai-je bien fermé la porte? C’est qui déjà lui? Quel était le menu de notre dîner hier? Si vous vous êtes déjà posé l’une de ces questions ou si vous vous les posez régulièrement, pas de panique, vous n’êtes pas seul. L’oubli serait un phénomène souhaitable pour notre mémoire, une fonction essentielle, mais complexe de notre cerveau. Elle nous permet en effet d’intégrer, de stocker et de restituer des informations pour interagir avec notre environnement. Quand on dit mémoire, on pense d’abord souvenirs, mais ce sont aussi les connaissances et les savoir-faire. Comment fonctionne la mémoire? Peut-on la stimuler? Quels sont ses amis et ses ennemis? A partir de quand faut-il se préoccuper des oublis? Pour répondre à ces questions Margaux de Frouvillet et Alain Ducardonnet reçoivent Bruno Dubois, professeur de neurologie, directeur du centre des Maladies Cognitives et Comportementales à l’Hôpital de la Salpêtrière et Florian Manicardi, vice-champion de France de mémoire 2022, auteur du livre Une mémoire de champion aux Editions Alisio.
Le nez qui coule, une toux fréquente, une respiration parfois sifflante, des repas moins bien pris… La bronchiolite représente un stress pour les parents de jeunes enfants. Un stress lié dans l’écrasante majorité des cas au VRS, le Virus Respiratoire Syncytial. Avant deux ans, un bébé sur trois y a été confronté et 2 à 3% doivent être hospitalisés. L’hiver dernier, l’épidémie a été marquée par sa précocité, et sa durée: 3 mois. Mais un impact hospitalier moindre, l’Institut Pasteur a estimé dans une modélisation qu’environ 5 800 hospitalisations ont été évitées grâce au nirsevimab, connu sous le nom commercial de Beyfortus. 250 000 bébés ont bénéficié de cette injection d’anticorps monoclonal. Avec une adhésion des parents inattendue. Cette année, 600 000 doses ont été commandées. Et une nouvelle arme est à disposition des parents puisqu’un vaccin anti VRS, est administrable au huitième mois de grossesse. Quelle différence entre ces deux moyens de prévention? L’un est-il plus efficace que l’autre? Quand et comment y recourir? Peut-on envisager un automne plus serein dans les services hospitaliers pédiatriques? Le professeur Christèle Gras-le Guen, Cheffe de service des Urgences Pédiatriques et Pédiatrie Générale du CHU de Nantes, est l'invitée de Margaux de Frouville et Alain Ducardonnet.
La seule évocation de leur nom peut entrainer des réactions, comme l’envie de se gratter: les poux sont la phobie de nombreux adultes, soit parce qu’ils y sont confrontés en tant que parents, vive la rentrée scolaire, soit parce qu’ils ravivent un désagréable souvenir d’enfance. Seuls ceux qui l’ont vécu connaissent l’enfer qu’ils représentent. Il existe trois types de poux, ceux de la tête, ceux du corps et ceux du pubis ou morpions. Nous avons choisi de nous intéresser plus spécifiquement à la pédiculose de la tête. C'est le nom scientifique donné à l’infestation parasitaire du cuir chevelu. A quoi ressemble un pou? Comment se transmettent-ils? Est-ce que cela démange toujours? Y a-t-il des têtes à poux? Et surtout comment s’en débarrasser? Nous posons toutes ces questions au Professeur Olivier Chosidow, membre de la Société Française de Dermatologie dont il est l’ancien président et Président du centre de preuves en dermatologie.
C’est l’alerte sanitaire qui a animé la période estivale, la circulation du MPox, ou variole du singe est suivi de près par les autorités mondiales mais aussi françaises. L’épidémie a été déclarée "urgence de santé publique de portée internationale" par l’OMS. En moins d’une semaine, la Haute autorité de Santé a actualisé ses recommandations vaccinales. La Direction générale de la santé a précisé la stratégie de lutte contre l’épidémie. Et l’agence de recherche sur les maladies infectieuses, l’ANRS, a présenté toute l’actualité du Mpox, avec des spécialistes africain, français et suisse. Bref, tout le monde affiche sa mobilisation mais quel est le risque réel d’un rebond épidémique en France? Comment le Mpox se transmet il? Quels sont les traitements disponibles? Avec quelle efficacité? Pourquoi n’est-il pas recommandé aux voyageurs se rendant dans un pays à risque de se vacciner? Nous posons toutes ces questions au Professeur Jean Daniel Lelièvre, immunologiste, chef de service Maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital Henri Mondor à Créteil, spécialiste de la vaccination auprès de la HAS et de l’Agence européenne des médicaments et Caroline Dieudonné, journaliste santé BFMTV, nous racontera comment se passent le dépistage et la vaccination.
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