Dans ce premier épisode de no bullshit, j’ai le plaisir de recevoir un habitué d’InPower : le neuroscientifique et psychologue clinicien, pour explorer des questions complexes avec nuance et clarté.

Est-ce qu’on est devenus plus bêtes avec TikTok ?

Pourquoi refuse-t-on parfois des évidences, même face à des preuves claires ?

Et comment dépasser nos préjugés sans tomber dans la naïveté ?

On parle de :

l’impact réel des réseaux sur nos capacités cognitives,

nos biais face à des sujets scientifiques sensibles,

la manière dont on juge les autres et comment apprendre à suspendre ce jugement.

Un épisode pour prendre du recul sur des sujets dont on parle tous les jours sans forcément les comprendre.

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Dans un monde saturé d’informations, d’injonctions aussi bien à la performance qu’à être “soi-même”, comment penser librement, sans se perdre ?

Dans cet épisode, le philosophe Frédéric Worms nous aide à faire un pas de côté. Pour interroger nos croyances. Pour distinguer la pensée de l’angoisse. Pour traverser nos peurs sans se noyer.

On parle d’esprit critique, de l’obsession du bonheur, de la sidération qui paralyse, de la perfection comme masque de l’angoisse, et de l’importance d’avoir sa propre question : celle qui nous aide à tracer notre propre chemin de vie.

Un épisode, pour reprendre confiance dans ce que peux nous apporter la philosophie et la réflexion, mais aussi et surtout nos relations aux autres. Car on ne se construit jamais seul.

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Livres recommandés : Simone Weil / Dialogues de Platon / Les Pensées de Pascal / Les deux sources de la morale et de la religion de Bergson / Goscinny - Astérix / Gotlib

Au micro d’InPower : des proches (une amie, ses enfants, sa femme …)

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Pour découvrir les coulisses du podcast :

https://www.instagram.com/inpowerpodcast/

Pour retrouver les podcasts de Frédéric Worms :

https://www.radiofrance.fr/personnes/frederic-worms

Et pour suivre mes aventures au quotidien :

https://www.instagram.com/louiseaubery/

Si cet épisode t’as plu, celui-ci te plaira surement :

https://shows.acast.com/inpower/episodes/andre-comte-sponville-la-philosophie-au-service-du-bonheur

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"Je pensais que la technologie nous rendait plus libres. Puis j’ai voyagé. Et j’ai changé d’avis."

Dans cet extrait inédit, Gaspard Koenig raconte comment il a radicalement revu sa vision du progrès technologique et de l’écologie. De sa sortie de Twitter à ses réflexions sur l’intelligence artificielle, les nudges et le libre arbitre, il explore ce que signifie vraiment penser par soi-même. Un moment intense, sincère et dérangeant — à ne pas manquer.

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Est-ce qu’on peut vouloir “prendre soin de soin” à un niveau pathologique?

Dans cet épisode, la docteur Émilie Steinbach revient sur les liens complexes entre alimentation, santé mentale, émotions et image de soi.

Elle nous explique pourquoi certaines pratiques, encouragées par la société (comme le contrôle absolu de son alimentation, le décompte des calories ou la recherche du corps le plus fin possible) peuvent, à terme, provoquer des troubles invisibles, mais réels.

À travers son expertise scientifique et son propre vécu Émilie met en lumière les dérives de la culture du contrôle : celle du corps parfait, de la culpabilité alimentaire, de l’hyper-discipline valorisée surtout chez les femmes.

On parle aussi :

• de grossophobie systémique
• de l’impact délétère des algorithmes sur l’image que l’on a de nos corps
• de l’importance d’éduquer plutôt que de restreindre
• et de la nécessité de consulter, même si “ce n’est pas si grave”.

Un épisode précieux, pour mieux comprendre son propre rapport à l’alimentation, et surtout, pour apprendre à prendre soin de soi de façon saine et sans danger !

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Livre recommandé : La horde du contrevent d’Alain Damasio

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Pour retrouver Emilie Steinbach sur les réseaux :

https://www.instagram.com/thebraingutscientist/?hl=fr

Son livre “Ma santé optimisée” aux éditions Marabout : 

https://www.marabout.com/livre/votre-sante-optimisee-9782501189859/

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Est-ce qu’on naît avec une passion ou est-ce qu’elle nous choisit ?

Dès l’âge de quatre ans, Eugénie Le Sommer savait qu’elle voulait jouer au foot.

À une époque où les filles n’avaient pas leur place sur un terrain, elle a dû prouver, expliquer, justifier, alors qu’elle était simplement… meilleure que les garçons.

Elle n’a pas grandi avec des modèles féminins, elle en est devenue un.

Dans cet épisode, Eugénie revient sur les moments fondateurs de sa carrière : les entraînements seule dans son jardin, son premier contrat à 600€, les coups durs, les blessures, les silences, les retours difficiles mais aussi les immenses victoires, les titres, les matchs historiques, les cris dans les stades.

Elle partage avec honnêteté ce que le haut niveau exige : la rigueur, les sacrifices invisibles, la discipline mentale. Mais aussi ce que ça donne : la force d’inspirer, la fierté de représenter son pays, l’émotion unique que seul le sport peut générer.

Un épisode qui parle de passion de résilience et de rêves accomplis.

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Un match à revoir : Finale France 98

Invité recommandé : Zinédine Zidane

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Pour découvrir les coulisses du podcast :

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Pour retrouver Eugénie Le Sommer sur les réseaux :

https://www.instagram.com/els_9_france/?hl=fr

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https://podcast.ausha.co/inpower-par-louise-aubery/marinette-pichon-le-destin-hors-du-commun-de-la-meilleure-joueuse-de-football-du-monde

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À l’occasion du Festival de Cannes, je vous propose une série spéciale dédiée au cinéma. Des entretiens inédits avec des acteurs, actrices, réalisateurs et réalisatrices, venus du monde entier. Mais aussi des rediffusions de conversations marquantes avec des personnalités emblématiques du 7e art, pour découvrir leurs parcours, leur vision et leurs anecdotes exclusives.

Aujourd’hui, je reçois l’actrice Aja Naomi King, connue pour ses rôles engagés et son charisme à l’écran, comme Michaela Pratt dans la série culte How to Get away with murder.

Dans cet épisode, elle se confie sur ses débuts dans l’industrie du cinéma, l’importance de la représentation, le pouvoir de la sororité et les obstacles qu’elle a dû surmonter pour croire en sa place et en sa valeur. Elle évoque aussi des figures clés de son parcours, comme Viola Davis, et partage des conseils précieux pour celles et ceux qui rêvent de se lancer dans une carrière artistique.

Une conversation intime, inspirante et pleine de lumière.

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Aujourd'hui je reçois l'iconique Jane Fonda. Actrice, productrice, activiste, elle a marqué autant le grand écran que notre société. Dans cet épisode intime et puissant, Jane revient sur ses débuts marqués par le doute et le manque de confiance, son engagement politique, sa transformation féministe, et son combat contre les injonctions à la perfection. Elle partage aussi des réflexions profondes sur le vieillissement, le célibat heureux, l’importance d’avoir des modèles féminins, et son engagement actuel pour la cause climatique.

Un échange fort, sincère, et inspirant avec une femme qui a appris à dire « non », à s’écouter, et à incarner pleinement la phrase : « Because I'm worth it. »

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Aujourd'hui je vous propose de découvrir ma conversation avec la talentueuse Andie Madowell. Icône du cinéma indépendant révélée dans Sexe, Mensonges et Vidéo, elle revient sur ce film fondateur qui a bouleversé sa vie après sa consécration à Cannes en 1989. Elle évoque avec sincérité l'évolution de son rapport à la beauté, les injonctions liées à l’âge, le regard qu’elle porte sur le vieillissement, et la puissance du mantra "Parce que je le vaux bien".

On parle aussi de sororité, de liberté, de honte à déconstruire, et du rôle essentiel des amitiés féminines dans la quête du bonheur. Avec beaucoup de lucidité et d’humour, elle partage des anecdotes émouvantes du Festival de Cannes, des conseils aux jeunes réalisatrices, et son envie de faire partie d’une révolution qui redonne aux femmes mûres la place et le pouvoir qu’elles méritent.

Un échange éclairant, et résolument féministe.

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À l’occasion du Festival de Cannes, je vous propose une série spéciale dédiée au cinéma.

Des entretiens inédits avec des acteurs, actrices, réalisateurs et réalisatrices, venus du monde entier.

Mais aussi des rediffusions de conversations marquantes avec des personnalités emblématiques du 7e art, pour découvrir leurs parcours, leur vision et leurs anecdotes exclusives.

Aujourd'hui je vous (re)fais découvrir la rencontre particulièrement marquante que j'ai eue avec la seule et l'unique Viola Davis l'année dernière !

Dans cet échange, Viola revient avec beaucoup d'honnêteté sur son chemin vers l’estime de soi, ses débuts dans l’industrie, et cette petite fille en elle qui avait "besoin de se sentir aimée", malgré les humiliations, et les doutes. Elle partage aussi la beauté de la sororité, de la transmission, de ces "femmes qui nous passent d’une rive à l’autre" dans les moments de tourmente.

"On ne naît pas célèbre, on devient visible… quand quelqu’un nous tend la lumière." Viola Davis nous parle aussi de son rapport à la représentation, à la guérison, à la vulnérabilité dans le métier d’acteur, et du moment où elle est devenue ambassadrice L’Oréal à 54 ans : "Ce n’était pas juste moi. C’était toutes les femmes noires que je représentais, surtout celles à la peau foncée. C’est pour la petite Viola."

Une leçon de vie, de courage, et de sincérité.

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À l’occasion du Festival de Cannes, je vous propose une série spéciale dédiée au cinéma.

Des entretiens inédits avec des acteurs, actrices, réalisateurs et réalisatrices, venus du monde entier.

Mais aussi des rediffusions de conversations marquantes avec des personnalités emblématiques du 7e art, pour découvrir leurs parcours, leur vision et leurs anecdotes exclusives.

Aujourd'hui, Vassili Schneider revient sur son parcours d’acteur, commencé très jeune, et partage avec beaucoup de sincérité les défis identitaires qu’il a traversés en parallèle de sa carrière.

Il parle de ses doutes, de sa relation au regard des autres, de la pression du “toujours plus”, mais aussi de ce qui l’aide à garder les pieds sur terre : l’humilité, les échecs, l’écriture, la musique, les routines simples, et la nécessité de rester en mouvement.

Comment se construire quand on joue des rôles depuis l’enfance ?

Comment rester fidèle à soi-même dans un métier où l’on passe son temps à incarner d’autres ?

On découvre quelqu'un de lucide, curieux, qui refuse le perfectionnisme figé et revendique le droit de chercher, d’essayer, de se tromper pour mieux grandir.

Découvrez La Venue de L'Avenir de Cédric Klapisch à partir du 23 mai au cinéma !

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