Tu sais, on entend souvent parler de “l’enfant intérieur” comme si c’était une espèce de petit personnage fragile à dorloter avec des huiles essentielles et des affirmations positives dans le miroir.
Mais c’est pas ça, en vrai.
L’enfant intérieur, c’est toi.
Toi à 6 ans, à 9, à 13.
Toi qui comprenais rien à ce bordel, mais qui ressentais tout.
Toi qui voyais les choses, mais à qui on disait souvent : “t’inquiète, c’est rien.”
Alors que si. C’était quelque chose.
Mais personne t’a vraiment expliqué quoi.
Et attention, c’est pas pour faire le procès des parents, hein.
Franchement ? La plupart ont fait avec ce qu’ils avaient.
Des fois c’était de l’amour maladroit.
Des fois c’était du silence parce qu’ils savaient pas quoi dire.
Des fois c’était juste… la survie.
Mais ce qu’on a pas reçu, on le porte encore.
Pas pour s’en plaindre. Pas pour faire genre “j’ai eu une enfance nulle”.
Juste pour poser un peu de lumière dessus.
Parce que tant qu’on ne met pas de mots, ça continue de gratter à l’intérieur.
Dans les relations. Dans les colères. Dans les blessures invisibles.
Et aujourd’hui, j’ai envie de te dire 5 phrases.
Celles que t’aurais mérité d’entendre quand t’étais petit·e.
Des phrases simples. Mais essentielles.
Des phrases que t’aurais pas dû attendre d’entendre 30 ans.
Alors installe-toi. Respire un coup.
Et laisse-les rentrer doucement.
Comme une caresse que t’aurais attendue bien trop longtemps.
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Belle écoute. ❦
À très vite ! ❀