durée : 00:04:13 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller

durée : 00:03:41 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller

durée : 00:04:46 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller

durée : 00:03:57 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller - Et si nous étions tous des Pinocchio ? Et si le mensonge en un sens nous structurait ? Et si toute notre vie sociale n’était qu’un gigantesque bobard ? Ce matin, Christophe Bourseiller nous parle, en toute franchise, du mensonge ! Les yeux dans les yeux.

durée : 00:04:04 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller - Vous l’avez noté, le mot anglais qui désigne un rendez-vous galant c’est « rendez-vous ». De même, le mot anglais qui désigne une aventure amoureuse, c’est « affair ». Affaire, c’est du Français ! Christophe Bourseiller nous révèle la vérité sur la langue anglaise : elle n'existe pas...

durée : 00:03:39 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller - Il faut parfois savoir démarrer une grève sauvage. Christophe Bourseiller nous incite à la paresse, ce matin.

durée : 00:04:08 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller - Dans le film de science-fiction "Dune", qui s’inspire des merveilleux romans de Frank Herbert, il est question d’un messie interstellaire. Or, ça fait tilt, car nous autres humains, nous sommes justement dans l’attente d’un messie qui va nous sortir de la mouise. On écoute Christophe Bourseiller.

durée : 00:04:04 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller - Aujourd'hui, Christophe Bourseiller nous parle de la distraction.

durée : 00:03:32 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller - Comme disait Voltaire, le copain de Zadig : « Le monde avec lenteur marche vers la sagesse ». Christophe Bourseiller nous parle ce matin du rythme effréné du monde, qui le rend fou.

durée : 00:04:02 - Ce monde me rend fou - par : Christophe Bourseiller - Christophe Bourseiller ne sait pas si la France fut un jour le pays de la gauloiserie et de la gaudriole, mais selon lui, c’est bien fini, tout ça, car l’époque exhale un épais fumet de morale. Or, nul ne fut plus immoral en son temps que l’antihéros Serge Gainsbourg.