Le 24 novembre 2025 à 19h, Amélie Paul, Patrick Pasin et Christian Cotten étaient les invités de La Grande Émission animée par Mike Borowski, en direct sur Géopolitique Profonde.

Amélie Paul est une artiste aux multiples talents. Chanteuse, comédienne, animatrice, peintre, écrivaine et naturopathe, elle est passionnée par la santé et le développement personnel. Elle est l’auteure du livre Le secret de la licorne.

Patrick Pasin est un auteur, conférencier et entrepreneur français, connu pour ses critiques de la géopolitique, de la santé publique et de la souveraineté individuelle. Son dernier ouvrage s’intitule Livre jaune n°3 – Déconstruction de mythes.

Christian Cotten est un psychosociologue français. Il a fondé une entreprise de formation et le parti « Politique de Vie ». En décembre 2024, il dépose une plainte contre Brigitte Macron pour usurpation d’identité.

La dissidence francophone face à l’empire numérique

La dissidence francophone est devenue une contre-société. Des figures comme Amélie Paul, Salim Laïbi, Chloé Frammery ou Patrick Pasin ont affronté la censure numérique et bâti des communautés hors des plateformes dominantes. Leur combat : une parole libre face au conglomérat médiatique mondial.

Ces résistants culturels défendent vérité, souveraineté et refus du mensonge institutionnel. YouTube a fini par rendre la chaîne d’Amélie Paul : la cohérence paie. La répression numérique les a poussés à se structurer, coder, créer. Tandis que les médias dominants sombrent dans la propagande, la dissidence s’enracine dans la rigueur et la vérité vécue.

Les convergences nécessaires de la dissidence francophone

L’éclatement des voix dissidentes est une faiblesse. Il faut fédérer : plateforme commune, algorithme souverain, ligne éditoriale partagée. Face à la centralisation narrative mondiale, la réponse doit être collective.

Amélie Paul incarne cette nouvelle étape, en liant culture, spiritualité et géopolitique. La dissidence ne doit plus seulement « réagir » mais « bâtir » : médias, festivals, économies parallèles.

Pour une stratégie médiatique souveraine et offensive

La dissidence francophone accuse un retard sur l’anglo-saxonne. Il faut créer une véritable industrie culturelle alternative : formats longs, premières émotionnelles, plateaux structurés. L’objectif : transformer la colère en force politique. La dissidence n’a plus à s’excuser : elle doit gouverner les consciences.

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