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Bookmakers #3 - L’écrivaine du mois : Delphine de Vigan
Elle a vendu plus d’un million d’exemplaires de « Rien ne s’oppose à la nuit », son « No et moi » est déjà un classique, Delphine de Vigan est la troisième invitée du podcast Bookmakers sur les écrivain.e.s au travail. Comment s’autoriser soi-même à écrire puis à rendre public des secrets familiaux ? Où se situe la frontière entre la vérité et la fiction ? Loin d’une banale causerie-promo en plateau, une émission fouillée, alerte et précise sur les livres et le métier d’écrire.
En partenariat avec Babelio
(2/3) Rien qu’une humble vérité
« Si j’ai écrit ce livre, c’est aussi parce que durant toute mon enfance, j’ai entendu des gens dirent : il faudra écrire sur cette famille. » En 2010, Delphine de Vigan s’engage toute entière dans l’écriture – qui ne dura que neuf mois – d’un roman prenant pour cadre et personnages sa tribu « joyeuse et dévastée ». Le temps d’offrir, plus précisément, un « cercueil de papier » à sa mère bipolaire, qu’elle rebaptise Lucile. « Rien ne s’oppose à la nuit » s’ouvre sur la découverte du corps de celle-ci, quelques jours après son suicide, par Delphine elle-même. La romancière interroge longuement ses oncles et ses tantes, enclenche le processus mais très vite, « l’élan » se brise. Quelle énergie faut-il pour faire naître un roman de deuil ? Comment s’autoriser soi-même à écrire puis à rendre public des secrets familiaux ? Comment « rapiécer les trous » de la mémoire ? Où se situe la frontière entre la vérité et la fiction ? Est-ce un soulagement d’écrire tout ça, vraiment ? Les réponses se trouvent dans cette deuxième partie de Bookmakers, pour laquelle Delphine de Vigan a, pour la première fois, relu à voix haute certains passages parmi les plus durs de son livre.
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Bookmakers #3 - L’écrivaine du mois : Delphine de Vigan
Elle a vendu plus d’un million d’exemplaires de « Rien ne s’oppose à la nuit », son « No et moi » est déjà un classique, Delphine de Vigan est la troisième invitée du podcast Bookmakers sur les écrivain.e.s au travail. Comment s’autoriser soi-même à écrire puis à rendre public des secrets familiaux ? Où se situe la frontière entre la vérité et la fiction ? Loin d’une banale causerie-promo en plateau, une émission fouillée, alerte et précise sur les livres et le métier d’écrire.
En partenariat avec Babelio
(2/3) Rien qu’une humble vérité
« Si j’ai écrit ce livre, c’est aussi parce que durant toute mon enfance, j’ai entendu des gens dirent : il faudra écrire sur cette famille. » En 2010, Delphine de Vigan s’engage toute entière dans l’écriture – qui ne dura que neuf mois – d’un roman prenant pour cadre et personnages sa tribu « joyeuse et dévastée ». Le temps d’offrir, plus précisément, un « cercueil de papier » à sa mère bipolaire, qu’elle rebaptise Lucile. « Rien ne s’oppose à la nuit » s’ouvre sur la découverte du corps de celle-ci, quelques jours après son suicide, par Delphine elle-même. La romancière interroge longuement ses oncles et ses tantes, enclenche le processus mais très vite, « l’élan » se brise. Quelle énergie faut-il pour faire naître un roman de deuil ? Comment s’autoriser soi-même à écrire puis à rendre public des secrets familiaux ? Comment « rapiécer les trous » de la mémoire ? Où se situe la frontière entre la vérité et la fiction ? Est-ce un soulagement d’écrire tout ça, vraiment ? Les réponses se trouvent dans cette deuxième partie de Bookmakers, pour laquelle Delphine de Vigan a, pour la première fois, relu à voix haute certains passages parmi les plus durs de son livre.
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