Le 16 novembre à 17h, Mike Borowski vous proposait de découvrir un nouveau reportage GPTV Investigation lors d'une soirée organisée par Hubert Marty-Vrayance, pour traiter du sujet de l’État profond.

Le pouvoir invisible derrière les institutions
De nombreux citoyens affirment qu’un pouvoir échappe aux urnes, mêlant réseaux administratifs, militaires et financiers qui perdurent au‑delà des alternances. Dans « Face à l’État profond », Hubert Marty-Vrayance décrit un “pouvoir parallèle enraciné dans les appareils d’État”, capable d’agir sans contrôle démocratique. Pour beaucoup, cette mécanique confirme une intuition ancienne : un système organise les décisions loin du regard public.
Certains voient une véritable mafia infiltrant tous les niveaux, manipulant crises et politiques selon ses intérêts. Les élus apparaissent comme des figurants dans un scénario fixé ailleurs, nourrissant un sentiment de souveraineté confisquée.

Cette vision s’appuie sur l’idée d’une dépendance aux cercles financiers américains, où se croisent hauts fonctionnaires, services secrets et multinationales. Le peuple resterait spectateur d’un jeu politique écrit pour servir toujours les mêmes forces.

Le système de l’ombre

Les témoignages évoquent un climat de peur : parler expose. L’idée que l’État profond élimine ses opposants revient souvent, perçue comme une conclusion logique. La transparence devient un danger, la vérité un risque.
 Certains relient ce pouvoir à des événements majeurs comme le 11 septembre, l’assassinat de Kennedy ou les guerres du Moyen‑Orient, interprétés comme des signes d’une main invisible. Sans preuve systématique, les coïncidences répétées renforcent la défiance.

Une fracture entre deux mondes

Ce fossé alimente une crise de légitimité : l’État officiel, soumis au court terme, paraît impuissant face à une machine stratégique qui ne change jamais. Beaucoup dénoncent une République dépendante de forces non élues.
 Mais cette prise de conscience ouvre un espace de reconquête intellectuelle : comprendre l’État profond, c’est interroger l’architecture du pouvoir mondial. La foule venue écouter Hubert Marty-Vrayance semble l’avoir compris : la lumière finit toujours par révéler ce qui vit dans l’ombre.

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