Tout le monde se gratte, se perce les boutons, les points noirs, les points blancs… Se triturer la peau permet de la nettoyer ; mais qu’en est-il lorsqu’on ne peut pas s’en empêcher ? Qu’en est-il lorsque les imperfections de la peau deviennent une obsession, et que, une fois le rituel de triturage commencé, il devient impossible de s’arrêter, comme pris dans une transe durant laquelle le temps est suspendu ?