« A Roscoff aujourd’hui se souvient-on de Liane,
De Liane au Clos Marie, équivoque beauté,
A Roscoff où venait la belle courtisane
Chercher le reposoir après la volupté ?
Adieu baisers impurs des amants, des amantes !
Dans le vent, les embruns, s’apaisaient tes désirs
Et tu priais Sainte Anne à l’heure des tourmentes
D’effacer de ton corps la marque des plaisirs. (…) » (Per Mari Mevel, écrivain et poète, 1915/1983)