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Le podcast présente une table ronde animée par le présentateur avec quatre intervenants lors de la deuxième journée Humaco: Ingrid Dumont, Audrey Vermeulen, Grégory Alexander et Jérôme de Cooman. Cette rencontre transdisciplinaire a permis de partager réflexions et expériences autour de l’intelligence artificielle, de l’éthique, de la législation et de la science-fiction.
Audrey Vermeulen a présenté sur l’éthique by design de l’intelligence artificielle, explorant comment l’intelligence collective et l’imagination morale peuvent servir la conception éthique des systèmes d’IA.
Un consensus s’est dégagé autour de l’idée que l’humain n’est pas le maillon faible mais bien le maillon fort du système. Les participants ont souligné l’importance de l’esprit critique et de l’intelligence collective pour maîtriser l’IA.
Audrey Vermeulen a insisté sur l’importance de cette intelligence collective pour faire émerger et orienter l’IA, tout en maintenant un contrôle éthique. L’humain reste fondamentalement celui qui “fait émerger l’intelligence artificielle” et qui doit conserver la maîtrise.
Le concept d’“éthique by design” a été largement discuté. Audrey Vermeulen a expliqué que cette approche peut intervenir à plusieurs niveaux:
Jérôme de Cooman a noté que les choix réglementaires reflètent des choix éthiques, citant les travaux du groupe d’experts de haut niveau indépendants nommés par la Commission européenne. Bien que le législateur européen ait préféré une logique de sécurité du produit plutôt qu’une éthique dès la conception, il existe une “congruence ontologique” entre les développements éthiques et la réglementation adoptée.
Grégory Alexander a démontré comment la science-fiction a souvent anticipé les enjeux technologiques actuels. Il a évoqué des œuvres comme Robby le Robot et Ex Machina pour illustrer comment ces fictions explorent l’éthique et la place de l’humain face aux avancées technologiques.
Les participants ont souligné que la science-fiction permet de:
Jérôme de Cooman a expliqué le cadre réglementaire européen sur l’IA, notamment le règlement européen récemment adopté. Il a souligné que contrairement à d’autres technologies, l’IA impose une responsabilité partagée entre tous les acteurs de la chaîne de valeur.
Les intervenants ont discuté des défis de la responsabilité dans des cas concrets comme celui des voitures autonomes, soulevant des questions comme:
Les participants ont évoqué les différentes approches culturelles concernant les données personnelles:
La criticité des données a été abordée sous deux angles:
Face à l’accélération technologique, les intervenants ont plaidé pour:
Le podcast présente une table ronde animée par le présentateur avec quatre intervenants lors de la deuxième journée Humaco: Ingrid Dumont, Audrey Vermeulen, Grégory Alexander et Jérôme de Cooman. Cette rencontre transdisciplinaire a permis de partager réflexions et expériences autour de l’intelligence artificielle, de l’éthique, de la législation et de la science-fiction.
Audrey Vermeulen a présenté sur l’éthique by design de l’intelligence artificielle, explorant comment l’intelligence collective et l’imagination morale peuvent servir la conception éthique des systèmes d’IA.
Un consensus s’est dégagé autour de l’idée que l’humain n’est pas le maillon faible mais bien le maillon fort du système. Les participants ont souligné l’importance de l’esprit critique et de l’intelligence collective pour maîtriser l’IA.
Audrey Vermeulen a insisté sur l’importance de cette intelligence collective pour faire émerger et orienter l’IA, tout en maintenant un contrôle éthique. L’humain reste fondamentalement celui qui “fait émerger l’intelligence artificielle” et qui doit conserver la maîtrise.
Le concept d’“éthique by design” a été largement discuté. Audrey Vermeulen a expliqué que cette approche peut intervenir à plusieurs niveaux:
Jérôme de Cooman a noté que les choix réglementaires reflètent des choix éthiques, citant les travaux du groupe d’experts de haut niveau indépendants nommés par la Commission européenne. Bien que le législateur européen ait préféré une logique de sécurité du produit plutôt qu’une éthique dès la conception, il existe une “congruence ontologique” entre les développements éthiques et la réglementation adoptée.
Grégory Alexander a démontré comment la science-fiction a souvent anticipé les enjeux technologiques actuels. Il a évoqué des œuvres comme Robby le Robot et Ex Machina pour illustrer comment ces fictions explorent l’éthique et la place de l’humain face aux avancées technologiques.
Les participants ont souligné que la science-fiction permet de:
Jérôme de Cooman a expliqué le cadre réglementaire européen sur l’IA, notamment le règlement européen récemment adopté. Il a souligné que contrairement à d’autres technologies, l’IA impose une responsabilité partagée entre tous les acteurs de la chaîne de valeur.
Les intervenants ont discuté des défis de la responsabilité dans des cas concrets comme celui des voitures autonomes, soulevant des questions comme:
Les participants ont évoqué les différentes approches culturelles concernant les données personnelles:
La criticité des données a été abordée sous deux angles:
Face à l’accélération technologique, les intervenants ont plaidé pour:
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