Le 04 décembre 2025 à 17h, Mike Borowski donnait la parole aux Français sur la guerre annoncée par Macron : leurs réponses brisaient le récit officiel et faisaient trembler le pouvoir, sur GPTV Investigation.

L’armée prépare la guerre

Le chef d’État-major a affirmé que la France devait se préparer à un conflit majeur d’ici quatre ans. Beaucoup y voient un aveu : le pays se dirige vers une confrontation avec la Russie, dans la continuité d’une politique alignée sur l’OTAN. L’idée que leurs enfants puissent être envoyés mourir à l’Est provoque une colère profonde. Certains parlent de “sacrifice programmé” et d’une préparation mentale à la guerre totale. La question devient concrète : faut-il accepter de mourir pour une guerre qui n’est pas la nôtre ?
 La défiance envers le pouvoir atteint un niveau critique. Pour certains, cette stratégie s’inscrit dans l’Agenda 2030 où l’État administre la peur. Le sentiment d’un pouvoir déconnecté domine, décrit comme une caste prête à envoyer les enfants des autres au front. Une fracture nationale se forme.

Un refus populaire massif de l’escalade guerrière

Les réactions sont nettes : personne ne veut d’une guerre avec la Russie, perçue comme dépourvue de justification. L’idée d’un pouvoir adorateur de ses propres symboles revient souvent. Pour beaucoup, ces dirigeants ne servent plus la France mais un ordre supérieur. La foi dans l’État s’est effondrée, ne laissant place qu’à la contrainte.
 La colère se radicalise dans le langage. Certains parlent d’humiliation, d’autres d’un pouvoir qui “nous urine dans la bouche”. Le rejet devient existentiel : ce système est perçu comme hostile à la vie. Les Français refusent de devenir des pions dans une guerre décidée ailleurs. La peur ne suffit plus à les faire taire.

Une fracture politique et morale

Ce moment marque un tournant : le consentement implicite au pouvoir disparaît, remplacé par une conscience de la manipulation. Les Français constatent que ceux qui décident ne subiront pas les conséquences. “La bande à Gabriel Attal sans enfant” devient symbole d’un pouvoir sans avenir. La révolte s’accompagne d’un désir de justice radicale ; la guillotine apparaît comme image d’un retour à la responsabilité.
 La fracture morale oppose un pouvoir technocratique arrimé à l’OTAN et un peuple qui refuse de mourir pour Washington ou Bruxelles. Ce fossé exige une refondation du rapport politique-citoyen, fondée sur la souveraineté et la protection du vivant. Un peuple qui refuse la guerre redevient maître de son destin.

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