La révision programmée des lois « bioéthique » suscite de nouvelles interrogations éthiques et juridiques. Si l’ouverture de l’assistance médicale à la procréation aux couples de femmes semble actée, qu’en est-il de la gestation pour autrui ? Où en est-on de l’interdiction de la gestation pour autrui en France ? Quelles sont les perspectives d’avenir d’une pratique si controversée ?
La révision programmée des lois « bioéthique » suscite de nouvelles interrogations éthiques et juridiques. Si l’ouverture de l’assistance médicale à la procréation aux couples de femmes semble actée, qu’en est-il de la gestation pour autrui ? Où en est-on de l’interdiction de la gestation pour autrui en France ? Quelles sont les perspectives d’avenir d’une pratique si controversée ?