Le Joboscope

Vers la formation :

Le monde de l'entreprise évolue à toute vitesse depuis quelques années ; entre la révolution numérique qui bouscule les métiers, l'avènement du télétravail, l'ère des indépendants ou encore des "slasheurs", ces professionnels aux multiples casquettes... Il y a de quoi donner le tournis aux représentants des RH, mais aussi aux actifs !

Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). 

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vers la formation : https://openclassrooms.com/fr/paths/143-conseiller-en-evolution-professionnelle

Dans le contexte où 1 milliard de professionnels devront changer de métier ou se re-former d'ici à 2030, le rôle du Conseiller en évolution Professionnelle est de plus en plus important pour aider les actifs à naviguer dans l'océan de nouvelles fonctions disponibles.

Qui est-il donc pour aider chacun à trouver son Ikigaï, c'est-à-dire l'équilibre entre ce qu'il aime faire, ce qu'il veut faire, ce qu'il sait déjà et ce dont le monde a besoin ? Comment arrive-t-on à ce rôle et quelle est sa place sur le marché du travail actuel ?

Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Production : Make Some Noise.

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Vers la formation :

La crise sanitaire à partir de mars 2020 a encore accéléré les recrutements sur ce métier... En parallèle, selon une étude Dell pour l'Institut du futur, 85% des métiers de 2030 n'existent pas encore... De quoi donner le vertige, quand on pense au nombre d'actifs à (re)-former, et ce, à l'échelle !

L'ingénieur pédagogique n'est ni vraiment un professeur ni un expert métier. Il coordonne toutes les parties prenantes sur la conception d'une formation donnée, pour garantir sa qualité. Du diagnostic des besoins du public-cible à la conception du plan de formation, à la fédération des experts et la gestion du projet pédagogique... C'est un couteau suisse !

En fonction des structures, ce professionnel peut travailler sur des dispositifs de formation hors-ligne, en "blended learning" ou 100% digitalisés. Ces derniers rendent l'éducation d'autant plus accessible qu'ils sont facilement diffusables à un grand nombre et qu'ils peuvent être suivis depuis partout.

À quoi ressemble ce "nouveau métier" du paysage éducatif ?

Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). 

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Bonjour, et bienvenue dans cet épisode hors-série du Joboscope par OpenClassrooms, consacré au développement frontend

Si vous avez fait quelques recherches sur le sujet, vous avez sûrement déjà entendu parler de la distinction entre le frontend et le backend. Revenons tout au début pour éclairer les auditeurs qui ne connaissent pas encore la différence.

Très schématiquement, les éléments frontend, encore dits “côté client”, correspondent à ce qu’on voit à l’écran et  avec quoi on peut interagir. Une page Web avec sa structure UX et UI design, son texte, ses images, vidéos, ses boutons et liens… Ces éléments sont le plus souvent constitués de HTML, CSS et JavaScript, et contrôlés par le navigateur Web de l’utilisateur.

Le backend, encore appelé “le côté serveur” lui, est en quelque sorte la partie immergée de l’iceberg. On peut le décomposer en trois éléments essentiels : un serveur (ou hébergement Web), une application (un site Internet ou une app), et une base de données. Le développeur backend gère tous ces aspects cachés mais sans lesquels une page resterait une coquille vide. Les langages de programmations appelés “dynamiques” qu’il utilisent sont en majorité le PHP, Python, Ruby, SQL, et parfois du Node.js, un dérivé de JavaScript utilisé côté “serveur”.

Bon, maintenant vous savez de quoi on parle… Mais alors, comment s’orienter ? Il y a tant de langages à apprendre : il faut bien commencer quelque part. Les développeurs front et back étant tous deux très recherchés, les offres n’aident pas tellement pour trancher. Le mieux, c’est encore de se renseigner sur le quotidien en tant que développeur front ou back, sur la philosophie derrière ces spécialités et d’écouter des pros en parler.

Dans cet épisode, nous nous consacrons au frontend. Pour le compléter, écoutez aussi celui sur le back-end !

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Vers la formation : https://openclassrooms.com/fr/paths/97-ux-designer

Son pendant, l'UI designer, intervient plus sur l'aspect graphique (UI = user interface). Il rend les interfaces dynamiques, à l'aide de tout un panel d'outils : les couleurs, polices, logos, typographies, animations... il peut intervenir sur une infinité de "produits" numériques, des sites Web aux objets connectés, en passant par les jeux vidéo.

À ces deux grandes ramifications du design s'ajoutent de nombreuses spécialisations : notamment l'UX writer, le gardien du temple des mots au service d'une UX efficace, ou encore l'UX researcher, qui sonde les utilisateurs pour infléchir les orientations stratégiques du design de sa marque... Tous ces métiers sont au croisement entre la Tech, la psychologie, les sciences cognitives, le graphisme et le product management. Et ils recrutent, car trop peu de professionnels sont formés pour occuper tous les postes... 

Alors, est-ce la bonne voie pour vous et quelle spécialité choisir ? Pour faire le point, nous avons invité Simon Vandereecken, UX researcher chez Bankin, Léa Gaudron, UI designer chez Ubisoft, Romain Bigache, UX Writer chez Leroy Lerlin. Bonne écoute !

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Après quelques années de bouteille dans les métiers du marketing et de la communication, les professionnels  du secteur prennent du galon et en arrivent au stade de la recommandation. Lorsqu'on en est à ce niveau d'expertise, quelques pistes possibles de carrière sont de devenir CMO (Chief Marketing Officer) ou CCO (Chief communication officer ou Dircom). On peut aussi être freelance et conseiller des entreprises, ou encore travailler en agence de communication avec un portefeuille clients.

Nous voulions donc réunir des professionnels qui occupent ces responsabilités pour se projeter dans leur quotidien. Quelles missions remplit-on lorsqu'on est expérimenté dans ces domaines ? Comment manage-t-on une équipe marketing ? Comment formule-t-on des recommandations sur la marque, l'acquisition, la communication, pour un client ou pour son entreprise ?  Comment manage-t-on et fait-on grandir son équipe à ce niveau de poste ?

Pour répondre à ces questions, nous sommes en compagnie de Selma Chauvin, VP International Marketing chez Ultimate Software, Thibaut Chaussy, ancien responsable communication et marque chez Innocent Smoothies qui est aujourd'hui freelance en communication stratégique, et  Daniel Saltzman, expert en stratégies médias. 

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Gestionnaire de paie ! Ce métier fait partie de ceux qu'on retrouve dans toutes les entreprises, quelle que soit leur taille. Cependant, en fonction des types, des tailles d'entreprises et des secteurs, le périmètre de ce métier peut changer. Parfois, la paie est même... externalisée ! Alors, de la paie pure à la gestion administrative du personnel, à des missions plus axées RH ou même encore de la formation, nous retrouvons aujourd'hui trois professionnels pour nous dépeindre leur quotidien dans ce domaine.

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Les entreprises produisent une quantité astronomique de données. Être capable de les analyser et les valoriser représente un enjeu crucial et un avantage compétitif indéniable. Et justement, quand on exerce le métier de Data scientist, on est au cœur de l'analyse et des prédictions apportées par la donnée, pour prendre des décisions business. 

De la collecte de la donnée à la mise en place des algorithmes, ou encore la communication des résultats (parfois, à des néophytes !), nous avons invité trois professionnels pour parler de leur métier.

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Les administrateurs systèmes ont pour mission de concevoir des infrastructures systèmes et réseaux sur site ou en cloud en respectant les contraintes imposées par le système d’information dans lequel ils évoluent. 

Les missions sont très variées : entre la configuration, l’administration et la supervision de l’infrastructure ;  la gestion des incidents techniques ; la mise en place de sauvegardes et la sécurisation des systèmes d’information ; la réalisation d’audits systèmes ou encore la programmation d’automatisations de tâches en Python... 

Dans les dernières années et sous l’effet de la transformation digitale, le métier a évolué, avec de nouvelles responsabilités et de nouvelles méthodologies comme le DevOps. 

Comment savoir si c’est le métier qu’il vous faut ? Si vous allez vous épanouir dans ce genre de postes, et dans quel type d’entreprises ? 

Pour faire le point, nous sommes accompagnés de Pauline Blanc, consultante et ex-administratrice spécialisée en cloud chez D2SI, Étienne Lavanant, ingénieur systèmes indépendant et Sébastien Ermacore, directeur technique chez Netecise.

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Si vous avez fait quelques recherches sur le développement web, vous avez sûrement déjà entendu parler de la distinction entre le frontend et le backend. Revenons tout au début pour éclairer celles et ceux qui ne connaissent pas encore la différence.  

Très schématiquement, les éléments frontend, encore dits “côté client”, correspondent à ce qu’on voit à l’écran et  avec quoi on peut interagir. Une page Web avec sa structure UX et UI design, son texte, ses images, vidéos, ses boutons et liens… Ces éléments sont le plus souvent constitués de HTML, CSS et JavaScript, et contrôlés par le navigateur Web de l’utilisateur.  

Le backend, encore appelé “le côté serveur” lui, est en quelque sorte la partie immergée de l’iceberg. On peut le décomposer en trois éléments essentiels : un serveur (ou hébergement Web), une application (un site Internet ou une app), et une base de données. Le développeur backend gère tous ces aspects cachés mais sans lesquels une page resterait une coquille vide. Les langages de programmations appelés “dynamiques” qu’il utilisent sont en majorité le PHP, Python, Ruby, SQL, et parfois du Node.js, un dérivé de JavaScript utilisé côté “serveur”.  

Bon, maintenant vous savez de quoi on parle… Mais alors, comment s’orienter ? Il y a tant de langages à apprendre : il faut bien commencer quelque part. Les développeurs front et back étant tous deux très recherchés, les offres n’aident pas tellement pour trancher. Le mieux, c’est encore de se renseigner sur le quotidien en tant que développeur front ou back, sur la philosophie derrière ces spécialités et d’écouter des pros en parler.  

Dans cet épisode, nous nous consacrons au backend. Pour le compléter, écoutez aussi celui sur le front-end !  

Conception et réalisation : Nora Leon. Modération : Marion Armengod (Studio de production Make Some Noise). Prises de son : Guillaume Girault. Montage et mixage : Romain Debrie. 

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