C'est une histoire complètement dingue. Ca se passe à Toulouse. Deux SDF ont réussi à volé une carte bancaire et ensuite ils l'ont utilisé pour acheter un ticket de Lotto.

Et la, grosse surprise puisqu'ils gagnent 500 000 euros. Le propriétaire de la carte de banque volée découvre le détail des achats dont ce ticket de lotto. Il décide donc de porter plainte.

Et la une question se pose ! A qui appartient le gain de 500 euros? Le propriétaire de la carte ou alors les 2 sdf qui ont fait l'achat ?

Selon la Police, la somme sera saisie MAIS le propriétaire de la carte a décidé de faire un appel. Le ticket n'a toujours pas été validé et il leur propose de partager la somme. Il a donc lancé un appel nationale pour qu'ils se manifestent.

Mais le temps presse. Si le ticket n'est pas réclamé rapidement, le gain pourrait être perdu à jamais.

Direction la Chine ce matin.

C’est la chaîne TF1 qui nous y emmène.

Alors, là-bas, il faut le savoir :

la pression sociale est importante, notamment pour les chômeurs.

Ne pas avoir de boulot en Chine peut être très, très mal vu.

Jusqu’ici, les chômeurs chinois se réfugiaient dans les cafés, et dans des bibliothèques aussi.

Ça donnait l’impression qu’ils étaient occupés pendant la journée,

tout ça pour rassurer leurs proches.

Mais voilà, depuis quelques semaines, il existe une autre astuce…

Selon vous, laquelle ?

Je vous donne un indice : il s’agit d’un concept d’entreprise.

Pink Martini - Sympathique

Alors, l’entreprise en question s’appelle en français :

"Faites semblant de travailler".

Elle emploie de faux salariés, tous ayant des postes fictifs.

Les faux salariés, ce sont les chômeurs, vous m’avez compris.

Petit privilège : les chômeurs peuvent choisir leurs postes.

Si vous voulez être directeur, vous pouvez l’être.

Évidemment, c’est possible puisqu'il n’y a aucune mission à remplir.

Alors, les chômeurs, pour ça, paient 4 euros par jour.

Et grâce à ce forfait, ils viennent "travailler" dans les bureaux de l’entreprise.

C’est ça le gros avantage, la vraie valeur ajoutée.

En fait, l’idée est que les chômeurs puissent appeler leurs parents en visio et montrer qu’ils sont actifs.Direction la Chine ce matin.

C’est la chaîne TF1 qui nous y emmène.

Alors, là-bas, il faut le savoir :

la pression sociale est importante, notamment pour les chômeurs.

Ne pas avoir de boulot en Chine peut être très, très mal vu.

Jusqu’ici, les chômeurs chinois se réfugiaient dans les cafés, et dans des bibliothèques aussi.

Ça donnait l’impression qu’ils étaient occupés pendant la journée,

tout ça pour rassurer leurs proches.

Mais voilà, depuis quelques semaines, il existe une autre astuce…

Selon vous, laquelle ?

Je vous donne un indice : il s’agit d’un concept d’entreprise.

Alors, l’entreprise en question s’appelle en français :

"Faites semblant de travailler".

Elle emploie de faux salariés, tous ayant des postes fictifs.

Les faux salariés, ce sont les chômeurs, vous m’avez compris.

Petit privilège : les chômeurs peuvent choisir leurs postes.

Si vous voulez être directeur, vous pouvez l’être.

Évidemment, c’est possible puisqu'il n’y a aucune mission à remplir.

Alors, les chômeurs, pour ça, paient 4 euros par jour.

Et grâce à ce forfait, ils viennent "travailler" dans les bureaux de l’entreprise.

C’est ça le gros avantage, la vraie valeur ajoutée.

En fait, l’idée est que les chômeurs puissent appeler leurs parents en visio et montrer qu’ils sont actifs.

On part au Pays de Galles ce matin.

C’est le site 7/7 qui nous raconte une histoire folle.

Cette histoire, c’est celle de James Howells.

À 39 ans, il est informaticien, et virtuellement, il est richissime.

On parle d’une fortune en bitcoins, évaluée à plus de 700 millions d’euros.

Petit problème…

Pour profiter de cet argent, il lui faut une clé numérique.

Une clé qui se trouve dans un disque dur, lequel a été jeté à la poubelle par erreur en 2013.

Alors James, il garde toujours l’espoir de retrouver son disque dur.

Tiens, selon vous, de quelle manière ?

Ça va même plus loin, je vais vous expliquer la suite.

Vianney - Pas là

Depuis plus de 10 ans, James veut fouiller la décharge.

Seulement voilà, la ville de Newport, où il habite, lui refuse l’accès.

Alors il a porté l’affaire devant les tribunaux, James.

Mauvaise nouvelle pour lui, il a perdu son procès.

Pas de fouilles possibles.

Mais pire, la ville vient d’annoncer la fermeture de la décharge.

Ça, c’est prévu pour l’an prochain.

Le site va être transformé en parc solaire.

Mais alors James ne se laisse pas abattre.

Aujourd’hui, il voudrait… racheter la décharge !

Il a monté un projet avec des investisseurs.

On prend la mer ce matin.

C’est le journal français Midi Libre qui nous embarque sur les flots.

À la barre de notre bateau, un Américain, le dénommé Tommy Thompson.

Lui, c’est un chasseur de trésors sous-marins.

En 1988, c’est son jour de chance : il localise l’épave du Central America,

un navire naufragé en 1857, rempli d’or.

C’est le plus grand trésor jamais découvert aux États-Unis.

Aujourd’hui, Tommy Thompson est censé être un homme riche.

Mais à 83 ans, il va bientôt être libéré de prison.

Ma question est simple : pourquoi Tommy a-t-il passé 10 ans derrière les barreaux ?

Tommy Thompson a purgé une peine de prison pour avoir refusé de révéler l’emplacement du Central America.

Alors pourquoi avoir agi ainsi ? Je vous explique…

Retour en 1988 : Tommy localise l’épave du navire,

mais il lui faut des fonds pour mener à bien l’expédition.

Il convainc alors des investisseurs de lui prêter 13 millions d’euros.

Tommy leur promet de rembourser le plus possible avec le trésor.

Sauf qu’en 2005, certains investisseurs commencent à douter :

Tommy aurait-il gardé une partie de l’or pour lui ?

La justice veut savoir, mais Tommy prend aussitôt la fuite.

L'Asie du Sud-Est, ça vous parle ?

Allez, je vous emmène en Malaisie ce matin.

Et ouais, j'ai déniché cette petite info dans le journal Ouest-France,

une info qui nous présente un… concept d'entreprise.

L'entreprise en question propose un service,

un service qui aide les hommes en couple, mais de manière très, très originale.

Un peu trop, d'ailleurs, sans doute.

Alors, dites-vous que ce service va faire passer l'homme pour un héros auprès de sa femme.

De quoi peut-il s'agir, selon vous ?

Je vous explique : il s'appelle Shazali Sulaiman,

et il a lancé un service baptisé "méchant à louer".

Le "méchant à louer", c'est lui,

le fameux Shazali.

Et alors, c'est vraiment très, très limite au niveau du concept,

Shazali est en fait engagé pour embêter la compagne de l'homme, du client, qui fait appel à lui.

L'idée est qu'ensuite, le client, le conjoint, intervienne devant sa femme pour faire fuir Shazali.

Shazali n'insistera pas, évidemment.

On est sur une mise en scène.

Seule la femme n'est pas au courant du stratagème.

Tout ça, pourquoi ?

Je vous emmène au Canada ce matin,

C’est la RTBF qui nous rapporte cette tendance plutôt inhabituelle.

Dans la ville de Churchill, personne ne verrouille sa voiture.

Alors pourquoi laisse-t-on ses portes ouvertes, selon vous ?

Indice : "capitale mondiale des ours polaires".

Alors, je vous explique. À Churchill, il y a environ 900 habitants,

mais dans les environs de la ville, on compte 935 ours polaires.

Cela représente un ours par habitant.

Évidemment, cela comporte des risques.

C’est un vrai danger.

Les attaques d’ours sont réellement possibles, et il y en a eu par le passé dans la ville de Churchill au Canada.

Résultat : les habitants laissent leurs portes de voitures ouvertes.

Cela sert de potentiel refuge pour les locaux, effectivement.

Alors, ce n’est pas imposé par la loi.

C’est juste une question de bon sens.

Une question de solidarité.

Pour vous dire à quel point c’est dangereux :

À Churchill, une ancienne base militaire est même devenue une prison à ours.

Elle comporte 28 cellules.

Je vous emmène ce matin en Espagne.

C’est là-bas que le média Cadena Ser a raconté l’histoire de Vanessa.

Vanessa, c’est en fait un prénom d’emprunt, pour cette femme au parcours un peu particulier.

Il y a quelques mois, Vanessa tombe sur une story Instagram de sa sœur.

Et elle découvre, stupéfaite, que toute sa famille est en vacances à l’autre bout du monde.

Sa sœur est là, son frère aussi, ses parents bien sûr… mais pas elle.

On ne lui a rien dit. Elle est déçue, mais pas vraiment surprise finalement.

Vanessa le dit elle-même : « Je suis le mouton noir de la famille », celle qu’on oublie toujours.

Mais voilà, un jour, tout bascule.

Un événement incroyable change sa vie.

Vanessa retrouve la grâce aux yeux de ses proches.

Selon vous, qu’est-il arrivé à Vanessa ?

Vanessa est devenue riche.

Vanessa a remporté plus de 2 millions d’euros au loto.

Alors, d’abord, elle voulait garder le secret pour elle.

Mais la nouvelle s’est propagée rapidement.

Depuis, sa famille la regarde différemment, évidemment.

Récemment, sa sœur lui a demandé de financer ses études.

Son frère lui réclame une nouvelle maison.

Ce matin, direction Coventry, en Angleterre.

Nous sommes en 1998.

C’est là-bas que vit un certain Donovan Shears.

La BBC nous raconte qu’il a 18 ans cette année-là.

Mais surtout, à cette époque, Donovan découvre les SMS.

Et il envoie comme ça des "Hello" à des numéros au hasard.

Dans un premier temps, personne ne lui répond.

Donovan persiste.

Et un jour, bingo… il reçoit une réponse !

Une réponse qui va bouleverser sa vie.

Selon vous, à qui envoie-t-il ce SMS sans le savoir ?

Une certaine Kirsty va lui répondre.

Elle lui répond en pensant qu’ils se connaissent.

Il n’en est rien.

Mais très vite, le feeling passe.

Et ça va loin, plutôt très loin même.

À un moment, les SMS commencent à être beaucoup plus coquins.

L’excitation est à son comble.

Et quand c’est comme ça, qu’est-ce qu’on fait ?

On s’appelle !

Leur appel téléphonique dure longtemps.

Un peu trop longtemps.

Après l’appel, Donovan reçoit une facture de presque 300 euros.

Et alors, évidemment, à un moment, il faut se voir aussi.

C’est chose faite quelques jours plus tard.

Ils se voient notamment dans une boîte de nuit.

Je vous emmène aux États-Unis.

On the road again !

C’est là-bas que l’entreprise Whoop a fait le buzz, et c’est le journal Ouest-France qui nous raconte ça.

Son initiative est plutôt surprenante : Whoop offre une prime mensuelle à ses employés, mais à une seule condition…

Une condition très particulière.

Selon vous, que faut-il faire pour recevoir cette prime ?

Je vous aide un peu :

C’est axé sur le bien-être. Et Whoop, c’est un gros indice, c’est une entreprise de bracelets connectés.

Alors je vous explique.

D’abord, chaque employé reçoit un bracelet connecté, c’est cadeau, c’est offert.

Un bracelet qui mesure leurs phases de sommeil.

Cela se mesure en fonction du temps et de la qualité du repos.

Et alors, si les salariés atteignent au moins 85 % de leurs besoins en sommeil… Jackpot ! Ils obtiennent la fameuse prime : une prime de 100 dollars par mois.

Ce n’est pas rien, non ?

(Je ne veux pas travailler…)

Alors évidemment, vous vous en doutez, il y a un objectif derrière tout ça.

Pour le PDG de Whoop, l’idée est d’avoir des salariés productifs.

Plus on est en bonne santé, en forme, plus on est efficace au boulot.

Cette initiative a été saluée, mais elle ne fait pas l’unanimité.

Car cela pose une question : celle du caractère volontaire ou non de l’expérience.

Les salariés sont-ils libres d’y participer ?

On nous dit que oui, mais cela pose tout de même des questions sur la vie privée.

C’est quand même intrusif.

Direction les États-Unis ce matin -> Born in USA.

Aujourd'hui, on va parler d'un agent : l'« agent Ratliff ».

L'agent Ratliff, c’est en fait un pseudonyme, celui de Calimar White.

C'est le journal luxembourgeois L’essentiel qui nous le présente.

Cet homme a créé un business incroyable, lié au monde de l’entreprise.

L’agent Ratliff, vous le contactez, et aussitôt, il débarque sur votre lieu de travail.

Pour y faire quoi ? C’est la question que je vous pose ce matin.

Je vous explique.

L’agent Ratliff reçoit des plaintes anonymes, puis il s’invite dans les entreprises concernées.

L’idée ? Rencontrer le patron et lui faire part des plaintes de ses salariés. Le travail, c’est la santé, comme on dit.

Parfois, les critiques sont légères. Par exemple, il va dire au patron qu’il part un peu trop tôt du travail.

Mais parfois, c’est beaucoup plus direct. Il y a ce patron à qui il a dit d'arrêter de mettre le même t-shirt parce qu’il sentait un peu trop la transpiration.