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Le 9 décembre 2025 à 17h, Mike Borowski confrontait les Français à la censure du livre de Pierre Jovanovic et aux mensonges économiques d’État : leurs réponses renversaient la version officielle, sur GPTV Investigation.
Le livre qui dérange l’ordre établi
Pierre Jovanovic est l’un des rares auteurs à parler sans filtre du système bancaire. Son livre 2008 revient sur la crise financière mondiale, affirmant que les mécanismes de spoliation restent inchangés. Dans un contexte de dette publique record, d’euro fragilisé et d’inflation rampante, certains s’interrogent : pourquoi ces écrits deviennent-ils difficiles à publier ? Le « système » protégerait banques centrales et fonds d’investissement. Plusieurs lecteurs, présents à Paris le 6 décembre, dénoncent des tentatives d’empêcher la diffusion de vérités dérangeantes.
Refusé par plusieurs éditeurs, puis censuré en ligne pour des « raisons de conformité », le livre aurait subi la pression de groupes bancaires. Selon Jovanovic, la finance mondiale repose sur une illusion comptable, entretenue par la complicité des médias économiques. Un lecteur résume : les banques volent littéralement les retraites, pendant que les télévisions affirment que tout va bien.
Censure et intimidation
La parution du livre aurait déclenché des pressions. L’auteur aurait subi une perquisition musclée, assimilée à une intervention du GIGN pour « sécurité nationale ». Derrière cet épisode, beaucoup voient une tentative d’intimidation. Il s’agirait de faire passer la vérité économique pour une menace à l’ordre public. D’autres auteurs critiques du système bancaire ont subi ce type de répression. L’enjeu n’est pas seulement financier, mais idéologique : empêcher la population de comprendre la monnaie comme outil de domination.
Les réactions signalent une rupture entre citoyens et institutions. Certains parlent d’« État profond », d’autres d’autocensure bancaire. Tous constatent : écrire sur l’argent réel devient risqué. Les médias, eux, gardent le silence.
Une fracture politique et morale
La controverse autour de 2008 révèle une fracture nationale. Jovanovic est vu comme un lanceur d’alerte. Sa régularité à prédire les crises depuis vingt ans renforce sa crédibilité. Le public cherche une lecture débarrassée du vernis technocratique. Le rejet de son livre illustre une censure déguisée : par silence, isolement, évitement.
Un phrase revient : « Olivier Marleix ne s’est pas suicidé ». Elle symbolise la perte de confiance envers des institutions jugées opaques. Dans ce climat, le succès de Jovanovic devient un signal politique : celui d’un peuple en quête de lucidité économique.
Support the show
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/
By Franck Pengam4.3
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Le 9 décembre 2025 à 17h, Mike Borowski confrontait les Français à la censure du livre de Pierre Jovanovic et aux mensonges économiques d’État : leurs réponses renversaient la version officielle, sur GPTV Investigation.
Le livre qui dérange l’ordre établi
Pierre Jovanovic est l’un des rares auteurs à parler sans filtre du système bancaire. Son livre 2008 revient sur la crise financière mondiale, affirmant que les mécanismes de spoliation restent inchangés. Dans un contexte de dette publique record, d’euro fragilisé et d’inflation rampante, certains s’interrogent : pourquoi ces écrits deviennent-ils difficiles à publier ? Le « système » protégerait banques centrales et fonds d’investissement. Plusieurs lecteurs, présents à Paris le 6 décembre, dénoncent des tentatives d’empêcher la diffusion de vérités dérangeantes.
Refusé par plusieurs éditeurs, puis censuré en ligne pour des « raisons de conformité », le livre aurait subi la pression de groupes bancaires. Selon Jovanovic, la finance mondiale repose sur une illusion comptable, entretenue par la complicité des médias économiques. Un lecteur résume : les banques volent littéralement les retraites, pendant que les télévisions affirment que tout va bien.
Censure et intimidation
La parution du livre aurait déclenché des pressions. L’auteur aurait subi une perquisition musclée, assimilée à une intervention du GIGN pour « sécurité nationale ». Derrière cet épisode, beaucoup voient une tentative d’intimidation. Il s’agirait de faire passer la vérité économique pour une menace à l’ordre public. D’autres auteurs critiques du système bancaire ont subi ce type de répression. L’enjeu n’est pas seulement financier, mais idéologique : empêcher la population de comprendre la monnaie comme outil de domination.
Les réactions signalent une rupture entre citoyens et institutions. Certains parlent d’« État profond », d’autres d’autocensure bancaire. Tous constatent : écrire sur l’argent réel devient risqué. Les médias, eux, gardent le silence.
Une fracture politique et morale
La controverse autour de 2008 révèle une fracture nationale. Jovanovic est vu comme un lanceur d’alerte. Sa régularité à prédire les crises depuis vingt ans renforce sa crédibilité. Le public cherche une lecture débarrassée du vernis technocratique. Le rejet de son livre illustre une censure déguisée : par silence, isolement, évitement.
Un phrase revient : « Olivier Marleix ne s’est pas suicidé ». Elle symbolise la perte de confiance envers des institutions jugées opaques. Dans ce climat, le succès de Jovanovic devient un signal politique : celui d’un peuple en quête de lucidité économique.
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