Share L'envers des corps
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By Morgane Le Tiec
The podcast currently has 27 episodes available.
Dans cet épisode, je rencontre Diana Leon une artiste mexicaine très polyvalente arrivée au Québec il y a presque 10 ans.
Diana commence la danse dans l’école de danse de sa mère pour ensuite aller à l’âge de 16 ans à l’école national de Cuba. Elle part ensuite en Hollande, où elle découvre une nouvelle technique et façon de danser, ce langage qui mélange la base classique avec la danse contemporaine.
En mal de son pays, elle décide de rentrer au Mexique où elle fait des va-et-vient avec le Canada, pour finalement accepter un contrat aux Grands-ballets canadiens de Montréal, où elle danse pendant 5 ans.
Diana nous raconte toute cette période de sa vie, une période d’interrogations et de choix importants pour sa carrière.
Diana nous parle de son expérience aux Grands Ballets et des raisons de son départ puis de son choix de rester à Montréal en tant que travailleuse autonome.
On aborde les difficultés de ce qu’Implique ce changement de carrière et des impacts de la pandémie. Elle doit beaucoup enseigner pour survivre et trouve cela difficile de se créer un réseau. J’essaye de comprendre avec elle pourquoi une danseuse de son calibre peine à trouver du travail à Montréal.
Diana nous parle ensuite de sa compagnie Vîas qu’elle dirige avec son conjoint et de sa démarche artistique, inspirée entre autres par ses origines mexicaines.
Initialement ballerine, Diana a toujours eu cette curiosité pour le contemporain et pour toute forme d’art. Elle oscille facilement entre les deux et avec passion. Diana aime sortir de sa zone de confort et souhaite vivre plusieurs expériences. Elle intègre déjà le chant à ses créations et ouvre ses compétences artistiques en se lançant dans le jeu. On pourra la voir dans le nouveau film de Laetitia Demescence où elle incarnera le personnage principale.
En fin d’épisode, nous abordons un sujet qui est important pour Diana, celui de l’effort. Elle nous en parle avec beaucoup de sagesse et d’intelligence et voit cela comme une offrande pour remercier la vie.
« J’ai découvert la satisfaction de m’améliorer et je n’ai jamais arrêté. »
« L’effort est un des moyens d’atteindre la transcendance, de sortir du banal, de te connaître dans un autre contexte et d’accéder à de la sagesse ou à des réalisations qu’on n’aurait pas dans le confort. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Dans cet épisode je rencontre Béatrice Larrivée, jeune danseuse-interprète qui me livre son parcours et son expérience avec Ohad Naharin, chorégraphe de la Batsheva dance company.
Après m’avoir parlé de ses débuts en danse, elle me raconte comment elle a auditionné pour Ohad. Elle me partage son expérience sur ce qu’elle a vécu dans le Young ensemble de la Batsheva où elle a dansé pendant 2 années. Devenue professeur de gaga en parallèle de sa carrière d’interprète, elle m’explique ce qu’est cette technique et comment cela a changé sa vie autant physiquement que mentalement.
Béatrice s’exprime sur ce qui l’a attirée dans le travail de Ohad, notamment la place donnée aux femmes et le fait qu’elles soient mises en valeur et considérées au même niveau physique que les hommes. Elle se reconnaissait dans cette figure de danseuse musclée, forte, puissante. Béatrice nous parle aussi de la personnalité de Ohad, de ce qu’il aime, recherche, et nous explique qu’il est en fin de compte très accessible.
Béatrice vient démentir l’image que j’avais des danseurs de la Batsheva que je pensais dotés de capacités physiques extrêmes et m’explique que c’est plutôt le travail et la façon d’aborder le mouvement qui amène à une certaine liberté du corps.
Béatrice est maintenant freelance entre Montréal et Tel Aviv et nous avoue que même sans recevoir le soutien financier qu’elle espérait, elle continue de créer et de monter ses projets personnels. On évoque en fin d’épisode les différences de culture, de rythme et de conditions de vie entre Israël et le Canada. Une belle façon de mettre les choses en perspectives.
Cet épisode est parfait pour toutes celles et ceux qui veulent en savoir plus sur le gaga, sur Ohad Naharin, et sur le milieu de la danse en Israël.
"Le gaga c’est quelque chose de tellement ouvert qui donne des outils pour te trouver toi , de trouver où tu veux amener ta recherche."
"Je peux travailler de 8h à 20h, des journées. Physiquement."
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Dans cet épisode, je rencontre Kim Gingras, danseuse, chorégraphe, éducatrice, conférencière et personnalité de télévision. Kim est un modèle de réussite et a dansé avec les plus grandes stars comme Byoncé, Madonna ou Jennifer Lopez. Elle a mené une carrière impressionnante qui est un magnifique exemple pour tous ceux et celles qui veulent se lancer dans la danse commerciale.
On évoque rapidement ses débuts en danse et son passage à So you Think you can Dance qui a été un tremplin pour se rendre à Los Angeles. Kim nous partage toutes les étapes qui l’ont menée à danser pour Byoncé et nous prouve que la volonté et la persévérance sont importantes pour réussir malgré le talent.
Kim nous livre également quelques conseils pour percer ou se lancer à Los Angeles.
On aborde plein de sujets profonds comme l’estime de soi, et de l’importance que cela a eu dans sa carrière ou de l’image et du corps de la femme en danse commerciale.
On plonge également un peu plus dans l’intime en sondant la personnalité de Kim et de ce qu’elle appelle son alter ego.
Kim a aussi l’âme d’entrepreneure et a créé le programme L’expérience Kim Gingras qui donne des outils aux jeunes pour réaliser leurs rêves et mieux réussir dans cette industrie. En nous expliquant son programme et pourquoi elle a voulu le créer, on sent son désir de partager aux autres son expérience et tout ce qu’elle a vécu.
À travers son parcours et sa carrière qui a l’air très glamour en apparence, on réalise qu’il y a énormément de travail, de volonté et de persévérance pour arriver à ses rêves.
Kim Gingras a réussi et nous partage tout cela avec beaucoup de générosité et de lucidité.
« C’est important de s’approprier son look pour avoir confiance en soi. »
« Mon grand rêve c’était de partir en tournée mondiale avec Beyoncé »
« Se découvrir et comprendre sur quoi on peut miser, puis d’accepter et d’aimer le reste, c’est un travail de chaque jour. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Karine Lévesque
Dans cet épisode, je rencontre Elise LEGRAND, artiste multidisciplinaire installée en Estrie.
Avant tout interprète en danse contemporaine, elle est aussi musicienne, chanteuse et circassienne, des attributs qu’elle a développés en parallèle de sa carrière de danseuse.
Elise me raconte son arrivée en Estrie, ses projets avec Labocrakboom, la compagnie qu’elle a fondée avec Simon Durocher et Cyril Assathiany qui a rapidement pris de l’ampleur et avec laquelle elle a beaucoup tourné.
Juste avant la pandémie, une blessure importante au genou est venue bouleverser son quotidien et l’a beaucoup confrontée mais cela ne l’a pas empêchée de continuer à danser.
On parle ensuite de ses projets de chorégraphe et d’interprète , de la création de sa compagnie Elise Legrand Créations et des thématiques qui l’inspirent beaucoup comme l'in situ, la métamorphose du corps et la multidisciplinarité.
La difficulté de tout gérer soi-même lorsqu’on crée sa compagnie est un enjeu mais Elise ne se laisse jamais emporter par le côté administratif et donne la priorité à son entraînement et à sa recherche.
Elle sent néanmoins un grand besoin d’assistance dans le travail colossal de gestion d’une compagnie.
Aux côtés de pionnières comme Francine Châteauvert de la compagnie de danse Sursaut ou Liliane St-Arnaud de chez Axile, Elise a travaillé très fort pour développer le milieu de la danse en Estrie et son témoignage nous montre qu’il y a encore beaucoup de choses à faire pour que les régions soient encore plus reconnues.
Elle me fait part d’un grand enjeu qui est celui de la visibilité des régions par rapport à Montréal et aimerait qu’il y ait plus d’échanges de ressources.
Elise m’a beaucoup inspirée par son engagement dans son art, sa motivation sans bornes et sa modestie.
À vous de découvrir Elise Legrand.
« De plonger dans la création c’est ce qui me définit le mieux. »
« J’aime jouer avec ce que mon corps est capable de faire. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Dans cet épisode, je rencontre Mathilde Gilhet, danseuse contemporaine d’origine française devenue très populaire sur Instagram depuis la pandémie. Ce qui la démarque, ce sont ses courtes vidéos proposant des combinaisons chorégraphiques toujours au sol.
En effet, c’est à terre qu’elle aime chercher, créer et concocter toutes sortes de mouvements originaux. Elle leur donne d’ailleurs des noms assez insolites comme le burning paper, le moon jump ou encore le scoubidou. Elle s’inspire beaucoup d’éléments extérieurs comme des histoires, des gens ou autres aspects de la vie quotidienne.
Mathilde a eu un parcours artistique atypique puisqu’elle a alterné entre interprète et professeur à temps plein. Mais son parcours demeure très riche et très enrichissant tant humainement qu’artistiquement. Elle en parle avec beaucoup d’humilité et de sensibilité. On sent chez elle un réel désir de solidarité envers le milieu de la danse ce qui l’a poussé à créer le We program offrant aux artistes des classes à faible coût et en les aidant à développer leurs projets.
A la fin de l’épisode, nous abordons le sujet d’Instagram et de son utilisation chez les artistes. Mathilde nous parle de son rapport avec ce media et nous prouve que l’on peut y l'utiliser sainement et avec intelligence. On parle aussi de la question du droit d'auteur et de la culture hip-hop qui comme Mathilde travaille beaucoup avec des mouvements au sol.
Une entrevue tout en ouverture et en simplicité.
Mathilde est une personne à découvrir sans aucun doute!
« Au début [Instagram] ce n’était pas du tout pour m'exposer, mais pour donner un challenge à mes jeunes élèves sur les réseaux sociaux pendant la pandémie. »
« Instagram ça a permis d’être légitime dans ce que je fais. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Dans cet épisode je rencontre Mathieu Leroux, artiste aux multiples talents, devenu ces dernières années le dramaturge fétiche des chorégraphes montréalais.es. D’abord, comédien, auteur et metteur en scène, il devient ensuite, par la force des choses et des rencontres, performer en danse puis dramaturge.
Mathieu me partage tout d’abord son parcours, comment il a intégré le monde de la danse, ses débuts dans le milieu. Mathieu explique ce qu’est un dramaturge en danse, rôle très différent d’un dramaturge en théâtre et développe sur ce métier qui requiert beaucoup de culture et de connaissance du milieu des arts en général.
On apprend à travers cette entrevue pourquoi il est essentiel d’avoir l'accompagnement d’un dramaturge lorsqu’on est créateur.trice et ce que cela apporte à une oeuvre. Mathieu nous livre ensuite quelques outils, quelques astuces pour l’élaboration d’un bon spectacle et nous explique ce qu’il faut pour qu’une pièce soit réussie. Puis Mathieu nous parle de son spectacle Bones and Wires qui ouvre la question de l'hyper-connectivité.
Enfin, Mathieu nous offre un regard éclairé sur des sujets très actuels comme le virtuel versus l’art vivant, et les modèles de diffusion et de production après la pandémie.
Une entrevue passionnante pour aider tous.tes les créateur.trices dans leur démarche.
« Le dramaturge sert à questionner la forme, à bien t’accompagner et à trouver les solutions aux problèmes. »
« C’est sûr que nos milieux vont se transformer dans les prochaines années. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Photo: Arthur Gauthier
Dans cet épisode, je vous propose un exemple de réussite, celui d’une artiste immigrante Uruguayenne, Bettina Szabo, arrivée à Montréal en 2007 et qui n’a cessé de se développer, et de se faire une place et un nom dans le milieu de la danse Montréalaise.
Bettina nous raconte son arrivée au Canada et nous livre ses difficultés d’intégration à la société québécoise mais aussi au monde de la danse. On parle de dépression, de parcours en dents de scie; de misogynie intériorisée explorée dans son travail; de colonialisme intériorisé, de croyances limitantes et de son solo Habitat, métaphore de son processus d’immigration. À travers ce parcours riche et plein de rebondissements, on découvre une personnalité qui doute mais qui fonce en même temps et qui ne baisse pas les bras.
Bettina nous explique aussi sa démarche très spécifique qui s’appuie sur une pratique créative somatique basée sur des méditations guidées ancrées sur la mémoire. Elle me décrit ce processus en me parlant de ces pièces chorégraphiques.
Pour finir on évoque ses influences et les artistes qui l'inspirent.
« L’objectif était d’aller à l’école de danse contemporaine pour m’intégrer dans le système et comprendre comment ça marchait parce que je ne savais juste pas par où commencer. »
« La misogynie intériorisée est le discourt interne, les croyances qu'on a et qui perpétuent la misogynie. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Photo: Arthur Gauthier
Dans cet épisode, je rencontre Eve-Marie Dalcourt, une artiste-interprète pigiste d’origine montréalaise qui travaille aux Pays-Bas depuis plusieurs années. Après avoir dansé 3 ans au Nederlands Dance Theater II, Eve-Marie s’est lancée dans le free-lance, parcourant l’Europe pour ses différents projets, laissant de côté les grosses compagnies.
Elle me raconte son passage au NDT II et tout ce que cela lui a apporté mais elle me confie aussi de façon très transparente les difficultés qu’elle y a traversées. On parle de confiance en soi, des mirage des grosses compagnies de danse, de communication, de rapport avec les chorégraphes.
Elle évoque ensuite sa transition en tant qu’artiste free-lance et toutes les magnifiques opportunités qu’elle a eu, notamment celle de remonter une pièce du célèbre chorégraphe Alexander Ekman pour le Royal Swedish Ballet.
Derrière son 1m79, Eve-Marie en impose mais reste une artiste très ouverte et soucieuse des artistes autour d’elle. Elle s’interroge sur le fait d’améliorer la communication et la transparence entre les différentes sphères artistiques avec beaucoup d’humilité.
« Une des plus grandes beautés du travail en free-lance est que je ne suis pas seulement choisie pour mon talent de danseuse ou artiste interprète mais que je suis choisie pour qui je suis en tant que personne. »
« L’idée de pouvoir faciliter l’entreprise d’un rêve pour un de ces chorégraphes , d’être un outil pour arriver à faire leur art m’interpellait énormément. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Photo: Fanni Tutek-Hajnal
Dans cet épisode, je rencontre Martin Faucher, directeur artistique et codirecteur général du Festival TransAmériques qui y travaille depuis 15 ans.
Alors que l'édition 2021 sera sa dernière, nous évoquons son expérience au sein du FTA, les élans qui l’ont guidé, la confiance toujours plus présente d’un public qui l’a suivi toutes ces années. Il me parle de sa vision de programmateur, de son attachement au travail des artistes et leurs aspirations. On évoque évidemment la pandémie qui a changé sa manière de concevoir la programmation 2021.
On parle de diversité culturelle, des artistes locaux, de la diffusion et de la création. Enfin, il me livre ses envies futures après toutes ces années au sein du FTA.
Des sujets passionnants abordés par un artiste au regard éclairé sur le monde de l’art vivant depuis 40 ans.
« J’ai tout le temps aimé communiquer l’enthousiasme que les oeuvres me procurent. »
« Je vois bien que notre monde est en révolution, en effervescence. Comment refléter ça sur les scènes, c’est un grand défi. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Photo: Maude Chauvin
Dans cet épisode, je rencontre Kimberley de Jong, une artiste-interprète qui est maman de deux enfants. Ayant vécu sa première maternité encore jeune, à 25 ans, et alors danseuse pour la compagnie Marie Chouinard, elle me raconte comment cela a influencé sa carrière. Elle évoque ses grossesses, ses accouchements, son rapport au corps. Elle raconte comment elle s’est organisée pour partir en tournée, comment elle a rendu cela possible avec ses enfants.
On parle aussi de sa transition en tant que travailleuse autonome et des nouvelles possibilités qui se sont offertes à elle.
Kimberley est aussi chorégraphe et son dernier projet (M)other est une recherche sur la ré-appropriation de la maternité et paternité. Et enfin Kimberley est doula, elle accompagne les femmes pendant et après leur accouchement et elle me raconte cet autre métier qui l’enrichit tout autant.
Un témoignage passionnant qui pourra j’en sûre inspirer plus d’une femme et leur donner le goût de plonger dans une maternité tout en restant artiste.
« Je me sentais forte, je n’avais pas vraiment dansé pendant un an. J’étais en forme, je marchais beaucoup avec le bébé. Avoir l’enfant me gardait très active. C’était une force intérieure qui me donnait l’énergie pour continuer à vouloir danser. »
« Etre maman m’a tellement nourrie dans mon interprétation, j’avais tellement de choses à dire sur scène. »
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Thème musical : Pierre Alexandre (Barrdo)
Animation: Morgane Le Tiec
Illustration de Ruth Gwily
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