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Pour des raisons de santé, John doit aller passer quelques mois à la campagne. Sa sœur et lui trouvent une maison qui leur convient, mais qui a la réputation d’être hantée.
1 – Charles Dickens : Les Mortels dans la maison
« – C’est inutile, dit-elle, regardez !
Elle saisit un coupe-papier sur la table de chevet, dégagea sa gorge, pâle sous le clair de lune, puis soudainement, enfonça le coupe-papier jusqu’à la garde dans sa poitrine !
Scott frémit d’horreur tandis qu’elle la retirait. Il n’y avait qu’une petite trace de sang sur sa peau. Elle l’essuya, et sa peau était pâle, belle, sans la moindre cicatrice. »
Adaptation Ultime (The Adaptative Ultimate) fut publiée en 1935 dans Astounding Magazine par Stanley G. Weinbaum (1902-1935), jeune prodige de la science-fiction malheureusement trop tôt disparu, mais reconnu pour avoir contribué à un formidable courant rénovateur de ce genre littéraire.
Comme l’écrivit Lester del Rey : « Weinbaum, plus que tout autre écrivain, a contribué à nous sortir du marasme du début des années trente et aux débuts de la science-fiction moderne. »
La nouvelle a fait l’objet d’une adaptation cinématographique (She-Devil, Kurt Neumann, 1957) et les connaisseurs reconnaîtront qu’elle aurait très bien pu trouver sa place dans un épisode de The Twilight Zone…
« Impossible de voir quelque chose de plus parfait que le corps de cette Vénus ; rien de plus suave, de plus voluptueux que ses contours ; rien de plus élégant et de plus noble que sa draperie. [...]
Quant à la figure, jamais je ne parviendrai à exprimer son caractère étrange, et dont le type ne se rapprochait de celui d’aucune statue antique dont il me souvienne. Ce n’était point cette beauté calme et sévère des sculpteurs grecs, qui, par système, donnaient à tous les traits une majestueuse immobilité. Ici, au contraire, j’observais avec surprise l’intention marquée de l’artiste de rendre la malice arrivant jusqu’à la méchanceté. [...] Dédain, ironie, cruauté, se lisaient sur ce visage d’une incroyable beauté cependant. En vérité, plus on regardait cette admirable statue, et plus on éprouvait le sentiment pénible qu’une si merveilleuse beauté pût s’allier à l’absence de toute sensibilité. »
Winston Smith, londonien, 39 ans, teint blafard, souffrant d’un ulcère variqueux, est un modeste fonctionnaire du Ministère de la Vérité, dont le travail consiste à « rectifier » sans cesse les archives du Times pour la plus grande gloire du Parti qui dirige l’Océanie. Son quotidien, entre la pénurie de lames de rasoir, les soirées obligatoires au Centre Communautaire, et la vie de quartier dans un logement vétuste, où il est surveillé nuit et jour par un écrantel, lui devient peu à peu insupportable…
Winston Smith, londonien, 39 ans, teint blafard, souffrant d’un ulcère variqueux, est un modeste fonctionnaire du Ministère de la Vérité, dont le travail consiste à « rectifier » sans cesse les archives du Times pour la plus grande gloire du Parti qui dirige l’Océanie. Son quotidien, entre la pénurie de lames de rasoir, les soirées obligatoires au Centre Communautaire, et la vie de quartier dans un logement vétuste, où il est surveillé nuit et jour par un écrantel, lui devient peu à peu insupportable…
Winston Smith, londonien, 39 ans, teint blafard, souffrant d’un ulcère variqueux, est un modeste fonctionnaire du Ministère de la Vérité, dont le travail consiste à « rectifier » sans cesse les archives du Times pour la plus grande gloire du Parti qui dirige l’Océanie. Son quotidien, entre la pénurie de lames de rasoir, les soirées obligatoires au Centre Communautaire, et la vie de quartier dans un logement vétuste, où il est surveillé nuit et jour par un écrantel, lui devient peu à peu insupportable…
La Peste écarlate, court roman d'anticipation, est traduit en feuilleton dans le Journal des débats au mois d'avril 1924. Jack London y imagine un futur où l'humanité retourne à la barbarie après avoir été presque détruite par une épidémie meurtrière.
« Mrs. Mothersole, comme le rapporta un témoin de l’époque, fit une telle impression sur toute l’assistance, oui, même sur le bourreau, que tous ceux qui l’ont vue ont toujours affirmé qu’elle semblait l’incarnation d’un démon fou.
Et pourtant, la sorcière n’offrit aucune résistance aux officiers de la loi ; seulement elle jeta sur tous ceux qui posaient la main sur elle un regard si terrible et si venimeux qu’il vous hantait l’esprit pour les six mois à venir rien que d’y penser.
« La part que John Strobbins prit à la dramatique aventure qu’on va lire n’est pas connue en Amérique. Le détective cambrioleur trouva devant lui des Germano-Américains, autrement dit des boches d’Amérique. À cela, rien d’étonnant. Ainsi que chacun le sait, l’activité des boches aux États-Unis pendant toute la grande guerre a été extraordinaire, tumultueuse, désordonnée, kolossale, pour ainsi dire. Pour le besoin de leur propagande, les Teutons se sont faits banquiers, négociants, prédicateurs, télégraphistes, journalistes, espions – surtout espions, – certains ont été jusqu’à l’assassinat. »
Cette affaire ne rapporta à John Strobbins que 1.653.000 dollars !
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