Depuis le 9 juin dernier, c’est le casse tête. Comment faire pour former un gouvernement dans une Région bruxelloise ultra morcelée au niveau des votes et où, en plus, l’architecture institutionnelle impose des règles comme des majorités dans chaque groupe linguistique ? Avec la N-VA, sans la N-VA, avec le PS, sans le PS : les exclusives sont nombreuses et portent chaque couleur politique. La dernière option sur la table, portée par Georges Louis Bouchez, consiste en un gouvernement minoritaire qui ne séduit pas grand monde. On fait le point avec Julien Thomas et Bernard Demonty du pôle Pouvoirs.