Le 26 novembre 2025 à 12h30, Nicolas Stoquer dévoilait comment les médias français fabriquaient le candidat Bardella pour succéder à Macron et neutraliser Marine Le Pen, en direct sur Géopolitique Profonde. 

Bardella candidat de l’oligarchie 

Jordan Bardella, désormais présenté par les médias du système comme le favori de 2027, est le produit parfait de l’ingénierie politique mondialiste. L’institut Odoxa le consacre dans un sondage qui efface Marine Le Pen du paysage. Ce sondage participe à une opération de repositionnement stratégique du RN, visant à neutraliser son ADN souverainiste au profit d’une figure « compatible » avec l’UE, l’OTAN et la BCE. L’objectif est clair : remplacer la résistance populaire par une opposition de façade, calibrée pour rassurer Bruxelles et Washington. 

Le système, conscient du rejet de Macron et du discrédit du bloc atlantiste, prépare sa relève. Bardella coche toutes les cases du politicien malléable : jeune, lisse, sans ancrage historique, sans expérience gouvernementale. Sous un vernis national, sa présidence prolongerait la logique de tutelle étrangère. 

La stratégie médiatique de l’effacement 

La disparition de Marine Le Pen des études d’opinion n’est pas une erreur statistique mais une décision politique. Les médias alignés savent qu’elle reste imprévisible, parfois rétive aux injonctions mondialistes. Son procès devient l’arme pour la neutraliser juridiquement, pendant que les sondages la neutralisent symboliquement. L’opération vise à invisibiliser la femme politique la plus populaire de France pour installer un clone sous contrôle. 

Ce processus reflète une guerre interne menée par l’État profond contre toute indépendance nationale. Les élites veulent un « Trump français » sans populisme, un « chef patriote » sans patriotisme. Bardella offre cette illusion d’alternative tout en consolidant le verrou bruxellois. L’élection de 2027 se prépare dans les rédactions, pas dans les urnes. 

Le candidat idéal du mondialisme 

Bardella incarne la synthèse rêvée des banquiers et technocrates : soutien à l’Ukraine, alignement sur Israël, foi dans la BCE, défense d’une « Europe puissance ». Aucun mot sur la corruption de Bruxelles, ni sur la souveraineté monétaire. Lisse et prévisible, il plaît à ceux qui tirent les ficelles. 

Il promet de canaliser la colère populaire pour mieux la neutraliser. L’opération Bardella, c’est un changement de visage sans changement de cap. 

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