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By LA CROIX - Bayard
The podcast currently has 16 episodes available.
Le 11 février 2013, alors qu’il couvre l’actualité du Vatican pour La Croix, Frédéric Mounier est l’un des rares journalistes à suivre en direct l’annonce de la renonciation du pape Benoît XVI. Il revient sur ce moment historique. Dans ce podcast, les grandes signatures de La Croix qui ont croisé la route du cardinal Joseph Ratzinger dressent le portrait d’un pape méconnu.
► Episode 1 sur 5 : Le pape qui a renoncé
Le 11 février 2013, un coup de tonnerre parcourt le monde en quelques minutes : à Rome, le pape Benoît XVI, 85 ans, vient d’annoncer sa démission, effective à la fin du mois. Conformément à cette déclaration, le Siège apostolique est vacant à compter du 28 février 2013, à 20 heures précises. Jamais dans l’histoire contemporaine, un pape n’avait mis un terme à son pontificat, possibilité qu’il semblait alors inimaginable.
Alors correspondant de La Croix à Rome, Frédéric Mounier est l’un des rares journalistes à avoir entendu en direct la déclaration de Benoît XVI. Avec quelques collègues seulement, il écoute la déclaration inopinée qui a surpris le monde entier, à commencer par les cardinaux réunis en consistoire et devant lesquels le pape s’exprimait en latin.
Éclairé du dénouement du pontificat, Frédéric Mounier relit également certains événements, comme autant de signes de la volonté de Benoît XVI de laisser les affaires en ordre pour son successeur. Mais il a aussi été témoin des mois précédant cette renonciation historique et des difficultés vécues par le pape allemand, allant jusqu’à la trahison d’un proche parmi les proches dans l’affaire Vatileaks.
Malgré ces épreuves, le départ historique du trône de Pierre n’a pas été contraint, mais bien une "renonciation préméditée, en toute liberté et en pleine connaissance de cause", comme l’exige d’ailleurs le droit canonique. Voyant ses forces physiques diminuer et sa capacité à diriger l’Église s’estomper, Benoît XVI a estimé qu’il était temps de laisser la charge à un autre.
► Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : [email protected]
CRÉDITS :
Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Xavier Le Normand. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage, doublage et création musicale : Emmanuel Viau. Responsable marketing : Laurence Szabason. Illustration : Isaline Moulin. Extrait : Benoit XVI, discours aux cardinaux réunis en consistoire, le 11 février 2013.
Place Saint Pierre est un podcast original de LA CROIX – Décembre 2022
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Alors qu’elle couvre l’actualité du Vatican pour La Croix, le 12 septembre 2006, Isabelle de Gaulmyn assiste au discours que Benoît XVI prononce à Ratisbonne, en Allemagne, sur les liens entre foi et raison. Ce jour-là, malgré lui, le pape suscite la colère de nombreux musulmans et déclenche une polémique mondiale. Isabelle de Gaulmyn revient sur cet épisode qui illustre les difficultés du Saint-Siège face au fonctionnement médiatique moderne. Dans ce podcast, les grandes signatures de La Croix qui ont croisé la route du cardinal Joseph Ratzinger dressent le portrait d’un pape méconnu.
► Episode 2 sur 5 : L’homme du discours de Ratisbonne
Le dialogue interreligieux est un travail délicat, dans lequel les pas sont précautionneusement posés les uns après les autres. Mais cette tâche pleine de patience peut être renversée en quelques instants à peine. C’est ce qui est arrivé le 12 septembre 2006 aux relations entre l’islam et l’Église catholique, après un discours prononcé par Benoît XVI à Ratisbonne, en Allemagne.
Suivant le voyage à bord de l’avion papal pour La Croix, Isabelle de Gaulmyn se souvient de cette polémique particulièrement vive et grave, née d’une malencontreuse phrase du pape allemand. Phrase qui n’était pas même de ses propres mots, mais une citation antique. Des journalistes américains croient voir dans les propos du pape une critique de l’islam, cinq ans après les attentats du 11 septembre mettra le feu aux poudres. Dans le monde, les violences anticatholiques se propagent, des églises sont incendiées et une religieuse assassinée.
Pendant le voyage et même une fois de retour à Rome, Isabelle de Gaulmyn constate que les services du Vatican ne prennent pas la mesure de la polémique, avant d’être complètement dépassés tandis que les excuses publiques du pape Benoît XVI ne suffisent pas. Malgré les années, jamais il ne parviendra à rétablir un lien de confiance avec l’islam.
Pour Isabelle de Gaulmyn, la polémique a été révélatrice de l’inadéquation entre un pape professeur, dont tous les mots sont soigneusement posés pour s’inscrire dans une pensée, et l’accélération d’une information désormais mondialisée. Au XXIe siècle, souligne-t-elle, le magistère du pape ne passe plus tellement par les écrits traditionnels, mais par les phrases au débotté qui seront reprises par toute la presse. Et Benoît XVI, brillant homme à l’intelligence fine, "n’était pas fait pour ce monde médiatique global".
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CREDITS :
Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Xavier Le Normand. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Clémence Maret. Mixage, doublage et création musicale : Emmanuel Viau. Responsable marketing : Laurence Szabason. Illustration : Isaline Moulin. Extrait : Benoit XVI, discours à l’université de Ratisbonne, le 12 septembre 2006.
Place Saint Pierre est un podcast original de LA CROIX – Décembre 2022
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Lorsque Guillaume Goubert arrive à Rome en 1997 pour suivre l’actualité du Vatican pour La Croix, le cardinal Joseph Ratzinger, alors préfet pour la Congrégation pour la doctrine de la foi est affublé du surnom de "panzer-cardinal". À rebours de cette image peu flatteuse, il découvre un homme fin, à l’intelligence rare et ouvert au débat, mais qui se laisse déborder par le poids de l’institution qu’il dirige. Dans ce podcast, les grandes signatures de La Croix qui ont croisé la route du cardinal Joseph Ratzinger dressent le portrait d’un pape méconnu.
► Episode 3 sur 5 : Panzerkardinal, vraiment ?
Qui était vraiment Benoît XVI ? En avril 2005, lorsque le cardinal Joseph Ratzinger apparaît à la loggia de la basilique Saint-Pierre comme successeur au pape Jean-Paul II, certains s’épouvantent déjà : c’est le "Panzerkardinal", l’inflexible gardien du dogme à la Congrégation pour la doctrine de la foi ! Mais pour Guillaume Goubert, correspondant du journal La Croix à Rome au tournant des années 2000, le surnom sonne faux.
De son poste de journaliste, il peut souvent observer le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi. Un homme, se souvient-il, à la voix "très douce", à l’inverse de l’inverse de l’image de char d’assaut que voudrait lui donner son surnom désobligeant. Tout au contraire, c’est un autre surnom, attribué à Joseph Ratzinger par ses étudiants en théologie dogmatique dans les années 1960, qui lui vient à l’esprit : Doctor mellifluus, c’est-à-dire "qui coule comme le miel".
Pour celui qui suit alors l’actualité du Saint-Siège pour La Croix, plutôt qu’un "panzer-cardinal" , Joseph Ratzinger se révèle être un homme à l’intelligence fine, non dénué d’une vraie liberté de parole, ni même d’un certain sens de l’humour. Surtout, Guillaume Goubert apprend de ceux qui travaillent avec Joseph Ratzinger que celui-ci, tout préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi qu’il est, aime le débat et veille à ce que des points de vue minoritaires puissent s’exprimer.
Mais alors d’où vient ce surnom aussi critique ? De la Congrégation pour la doctrine de la foi, estime Guillaume Gouvert qui "se conduisait, elle, comme un panzer écrasant les théologiens aventureux sans grande précaution". Procédures longues, lourdes et extrêmement sévères s’appliquent implacablement à ceux dont la pensée semble trop s’éloigner de l’orthodoxie romaine. Et si Joseph Ratzinger tente parfois de faire évoluer les pratiques, ces initiatives resteront sans suite. Malgré toute la finesse d’esprit du cardinal allemand, se manifestait déjà une "difficulté à gouverner" qui le poursuivra au long de son pontificat, jusqu’à son geste de renonciation.
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CREDITS :
Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Xavier Le Normand. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage, doublage et création musicale : Emmanuel Viau. Responsable marketing : Laurence Szabason. Illustration : Isaline Moulin. Extraits : Benoit XVI aux Bernardins, KTO, le 12 septembre 2008 ; Message de Benoit XVI au Parvis des gentils, KTO, le 25 mars 2011.
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Avant de devenir pape, Joseph Ratzinger était réputé pour ses qualités de théologien. Le père Michel Kubler se souvient de ses rencontres avec le futur Benoît XVI, y compris ce jour où le cardinal prend la plume pour écrire au courrier des lecteurs de La Croix ! S’engage alors un débat, dans la pure tradition de la disputatio. Dans ce podcast, les grandes signatures de La Croix qui ont croisé la route du cardinal Joseph Ratzinger dressent le portrait d’un pape méconnu.
► Episode 4 sur 5 : Un théologien avant tout
"Le piéton de la place Saint-Pierre." Tel est le souvenir que le père Michel Kubler, assomptionniste et ancien rédacteur-en-chef religieux de La Croix, gardera du défunt pape émérite Benoît XVI. Un souvenir qui date d’avant sa renonciation en 2013, avant même son élection au pontificat. C’est une image qui date de la période ou Joseph Ratzinger était préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, de 1981 à 2005.
Par cette image, le père Kubler veut traduire la simplicité de celui qui, derrière sa fonction de soucieux gardien de la doctrine catholique, était d’une grande accessibilité. Ainsi, explique-t-il, on pouvait être "d’accord ou pas" avec le cardinal allemand, "scandalisé ou rassuré » par ses décisions, mais quiconque le rencontrait "devait renoncer aussitôt à tous les clichés dont on a pu l’affubler" - à commencer par le trop répété sobriquet de panzer-cardinal.
Autre gage de cette simplicité de Joseph Ratzinger ? Cette missive parvenue fin 1999 au bureau du père Kubler La Croix, avec cette simple mention en objet : leserbrief, courrier de lecteur. Le préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, explique le religieux assomptionniste, était lecteur de La Croix et souhaitait réagir à un article, comme tout autre lecteur. En l’occurrence, il s’agissait d’une réponse à un texte du cardinal Eyt, alors archevêque de Bordeaux, et engageant ainsi un débat théologique, sur le modèle de la disputatio. "Entre les lignes on pouvait lire une jubilation de vieux renard universitaire", s’amuse le père Kubler.
Mais le théologien n’était pas toujours aussi ouvert au dialogue, notamment lorsqu’il parlait avec une "dureté assez pénible", incarnant pour l’assomptionniste une certaine "suffisance théologique de l’Église catholique", affirmée du haut de son autorité de préfet de la doctrine de la foi. Pour autant, c’est plutôt la "grande délicatesse" du pape allemand qui aura durablement marqué le père Kubler, qui regrette que "que le grand public n’ait pas pu prendre la mesure de l’humanité" de celui qui sera ensuite pape de 2005 à 2013.
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Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Xavier Le Normand. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage, doublage et création musicale : Emmanuel Viau. Responsable marketing : Laurence Szabason. Illustration : Isaline Moulin. Extraits : Benoît XVI, visite à la communauté juive de Rome, le 17 janvier 2010 ; Benoît XVI, colloque sur le sacerdoce, le 10 juin 2010.
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En annonçant le 11 février 2013 au monde sa renonciation au pontificat, Benoît XVI a ouvert une période inédite pour l’Église catholique. Pour le journaliste Nicolas Senèze, ancien correspondant à Rome de La Croix, les modalités concrètes de vie d’un pape émérite doivent encore être trouvées pour éviter tout soupçon d’interférence dans l’action de son successeur.
► Episode 5 sur 5 : Pape émérite, un rôle encore à définir
Un pape rendant visite à son prédécesseur, voilà une image qui semblait inimaginable il y a encore quelques années. Et pourtant, après sa renonciation historique en février 2013, le pape émérite Benoît XVI a reçu celui élu pour lui succéder, le pape François. Les images de leur accolade fraternelle font le tour du monde et quelques semaines plus tard, comme prévu, Benoît XVI revient vivre au Vatican, à quelques pas de son successeur.
Pour la papauté et plus largement pour le monde entier, c’est une période absolument sans précédent qui s’ouvre. Entre les deux hommes, les louanges ne cessent pas. De son côté, François loue une présence qui lui rappelle celle d’un "grand-père sage à la maison". Pour sa part, Benoît XVI, à chaque fois qu’il s’exprime sur son successeur, le remercie pour ses intentions à son égard et rappelle qu’il est le seul pape de l’Église catholique.
Un rappel qui peu à peu s’avère en effet nécessaire, estime dans ce podcast Nicolas Senèze, correspondant de La Croix à Rome de 2016 à 2020. Car avec les années, le pape émérite s’exprimait de plus en plus souvent, avec des positions qui pouvaient paraître s’éloigner de celles de son successeur. Mais, s’interroge le journaliste, sont-ce les paroles du pape émérite, ou plutôt les interprétations, voire les surinterprétations, de ceux qui voulaient jouer la division entre Benoît XVI et François ? Et dans ce jeu, quel rôle ont pu jouer les entourages des deux hommes ? Car dès que le pape émérite se prononcait, certains voulaient y voir une lecture politique - et donc une critique de son successeur, malgré les démentis répétés.
Malgré l’affection, l’estime et le respect réciproques, la situation inédite de deux papes à Rome - même si l’un n’était "que" émérite - n’a pas été sans soulever de nombreuses interrogations sur la papauté. Et si d’autres papes venaient à renoncer au pontificat à l’image de Benoît XVI, considère Nicolas Senèze, il serait alors nécessaire de revoir les conditions concrètes de leur vie post-pontificat pour éviter toute tentative interférence ou de manipulation, et de souligner clairement qu’il n’y a qu’un homme au sommet de la hiérarchie catholique : le pape en exercice.
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Rédaction en chef : Jérôme Chapuis. Responsable éditorial : Xavier Le Normand. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne. Mixage, doublage et création musicale : Emmanuel Viau. Responsable marketing : Laurence Szabason. Illustration : Isaline Moulin. Extrait : Conférence de presse de François au retour de Rio, le 28 juillet 2013 ; 65e anniversaire de l’ordination du pape émérite Benoît XVI, Vatican News, le 28 juin 2016.
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Dans cette cinquième saison du podcast Place des religions, des théologiens, historiens, philosophes ou militants de terrain nous éclairent sur le rôle que peuvent jouer les traditions religieuses dans la compréhension des défis écologiques auxquels nous sommes confrontés.
► Place des religions, saison 5 :
Dérèglement climatique, destruction de la biodiversité, pollution des sols et de l’air : l’ampleur de la crise écologique que nous traversons est sans précédent. Elle nous oblige à reconsidérer nos modes de vie, nos manières de consommer, de produire, d’aménager le territoire…
Face à l’urgence, il nous faut faire preuve d’imagination pour inventer notre avenir : celui de notre planète, celui de l’humanité. Les réponses sont à l’évidence politiques, elles sont économiques… Mais puisqu’il s’agit de l’homme dans son rapport à la Terre et à ses semblables, l’enjeu est aussi de nature spirituelle.
En cela, les religions ont quelque chose à nous dire sur les questions environnementales. Et leurs textes fondateurs, leurs traditions, leurs spiritualités, ou encore leurs théologies peuvent nous inspirer. Ce sont toutes ces ressources que nous avons choisies d’explorer dans cette cinquième saison de Place des religions.
Dans l’encyclique Laudato si’, publiée en 2015, le pape François invitait chaque tradition à se pencher sur ses propres ressources, pour enrichir la réflexion commune sur l’écologie. De cette encyclique, nous avons tiré plusieurs questions fondamentales, que nous avons soumises à des spécialistes de différentes confessions, afin de les faire entrer en résonance.
► Parmi les spécialistes rencontrés :
Cécile Renouard, religieuse de l’Assomption et enseignante en philosophie ; Michel Maxime Egger, sociologue et éco-théologien de tradition orthodoxe ; Omero Marongiu-Perria, docteur en sociologie et auteur du livre L’Islam et les animaux ; Marianne Durano, essayiste, philosophe, membre de la rédaction de la revue Limites ; Yeshaya Dalsace, rabbin du mouvement Massorti, auteur d’une thèse sur l’écologie et le judaïsme.
► Découvrez un nouvel épisode de la cinquième saison de Place des religions chaque dernier mercredi du mois, à partir du 25 mai. Un podcast à écouter sur toutes les plateformes, sur le site et l’appli du journal La Croix.
► Vos contributions :
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CRÉDITS :
Rédaction en chef : Fabienne Lemahieu et Dominique Greiner. Journalistes : Malo Tresca et Clémence Maret. Réalisation : Flavien Edenne et Clémence Maret. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Musique et mixage : Théo Boulenger. Responsable marketing : Laurence Szabason. Visuel : Yasmine Gateau.
Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Mai 2022
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dans cette quatrième saison du podcast Place des religions, La Croix vous invite à la table de grands chefs et de restaurateurs, afin d’échanger avec eux sur le poids des croyances dans la cuisine.
Quels liens peut-on faire entre nourriture et spiritualité ? Les traditions religieuses sont-elles une source d’inspiration pour certains cuisiniers ? Quel regard porter sur les règles alimentaires propres à chaque confession ?
La Croix vous emmène à la rencontre de grands chefs et de restaurateurs, pour évoquer avec eux les liens entre la cuisine et leur foi. Au fil de la discussion, ces as du tablier se confieront sur leur rapport intime à la religion, mais aussi sur les valeurs qu’ils aiment partager, le temps d’un bon repas.
► Parmi les personnalités invitées :
Thierry Marx, chef cuisinier qui dirige aujourd’hui plusieurs restaurants prestigieux en France et en Asie ; Florence Kahn, propriétaire d’une boutique de spécialités yiddish ; Djamel Bouhadda, chef du restaurant gastronomique halal Le Médaillon ; Stéphane Esclef, recteur de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre et ancien cuisinier dans de grands palaces parisiens…
► La quatrième saison du podcast Place des religions est à écouter chaque mercredi à partir du 29 septembre 2021 sur le site et l'application du journal La Croix">La Croix et sur toutes les plateformes de podcasts.
► Retrouvez également tous les épisodes des saisons précédentes :
Place des religions, saison 1 : Ainsi soient-elles">Place des religions, saison 1 : Ainsi soient-elles
Place des religions, saison 2 : Paroles de politiques">Place des religions, saison 2 : Paroles de politiques
Place des religions, saison 3 : Le choix du risque">Place des religions, saison 3 : Le choix du risque
► Vos contributions :
Vous avez une question ou une remarque ? Écrivez-nous à cette adresse : [email protected]
CRÉDITS :
Rédaction en chef : Jérôme Chapuis et Fabienne Lemahieu. Responsable éditorial : Clémence Maret. Journaliste au service Religion : Malo Tresca. Chargée de production : Célestine Albert-Steward. Réalisation : Flavien Edenne et Clémence Maret. Responsable marketing : Laurence Szabason. Identité graphique : Kimi Kimoki et Mathieu Ughetti. Création musicale : Arnaud Forest.
Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Septembre 2021
Navigateurs, médecins humanitaires, astronautes, écrivains voyageurs… Dans cette troisième saison du podcast Place des Religions, La Croix vous emmène à la rencontre de personnalités qui ont choisi de s’exposer au danger.
Ces hommes et ces femmes nous raconterons ce qui les pousse à dépasser leurs limites. Leurs exploits ou périples sont-ils guidés par le simple goût du risque ? Ou relèvent-ils, aussi, d’une quête intérieure plus profonde ? Quels sont encore leurs grands questionnements spirituels devant l’inconnu, la crainte de se blesser ou de mourir ?
Le temps d’une conversation, ils nous confieront comment ces expériences extrêmes ont bousculé leur vision du monde, mais aussi leurs rapports à eux-mêmes et aux autres.
► Épisode 1 : Jean-Christophe Rufin : "J’ai choisi l’aventure pour être seul face à moi-même"
Jean-Christophe Rufin, écrivain, ambassadeur et médecin humanitaire, s’est notamment rendu en Érythrée et aux Philippines pour des missions parfois périlleuses. En 2012, il a décidé d’ouvrir une parenthèse et de partir seul, sur les chemins de Compostelle. Imprégné de culture chrétienne, mais non pratiquant, il a vécu ce pèlerinage comme un "dépouillement de l’esprit".
À écouter mercredi 10 février.
Parmi les autres personnalités invitées : Le médecin et explorateur Jean-Louis Étienne ; l’aéronaute suisse Bertrand Piccard ; l’écrivaine voyageuse et spécialise de la transe Corine Sombrun ; la navigatrice Isabelle Autissier ; l’aventurier Matthieu Tordeur ; l’ancien sous-marinier et diacre Christophe Bail...
Tous les mercredis à partir du 10 février, 13 épisodes de Place des religions, saison 3, à écouter sur le site et l’appli du journal La Croix et sur toutes les plateformes de podcast.
► Retrouvez également tous les épisodes des saisons précédentes :
Place des religions, saison 1 : Ainsi soient-elles
Place des religions, saison 2 : Paroles de politiques
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Place des religions est un podcast original de LA CROIX – Février 2021
Le lundi 13 mars 2023, le pape François a fêté le dixième anniversaire de son pontificat. Dans le podcast "Les 7 travaux du pape François", Nicolas Senèze, ancien correspondant permanent du quotidien "La Croix" à Rome, raconte comment François a bousculé l’Église.
Dans ce premier épisode, Nicolas Senèze nous raconte la première apparition du pape Place Saint-Pierre le 13 mars 2013 et sa manière d’imposer une nouvelle façon de gouverner.
Auteur : Nicolas Senèze – Responsable éditorial : Christophe de Galzain – Prise de son : Flavien Edenne – Montage et mixage : Gabriel Fadavi – Production : Laurence Szabason – Suivi de production : Célestine Albert – Édition : Clémence Maret – Voix : Paula Pinto Gomes – Création musicale et doublage : Emmanuel Viau – Illustration : Isabel Espanol – Graphisme : Christèle Larpin. Archives sonores : Habemus papam, Fransiscus - 2013 - The Vatican Archive YouTube • Rencontre du pape avec les journalistes après son élection - 2013 - The Vatican Archive YouTube
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Le lundi 13 mars 2023, le pape François a fêté le dixième anniversaire de son pontificat. Dans le podcast "Les 7 travaux du pape François", Nicolas Senèze, ancien correspondant permanent du quotidien "La Croix" à Rome, raconte comment François a bousculé l’Église.
Dans ce deuxième épisode, Nicolas Senèze nous introduit dans les arcanes de la finance au Vatican. Il nous raconte comment le pape a entrepris une réforme qui met fin à des années d’opacité et de scandales.
Auteur : Nicolas Senèze – Responsable éditorial : Christophe de Galzain – Prise de son : Flavien Edenne – Montage et mixage : Gabriel Fadavi – Production : Laurence Szabason – Suivi de production : Célestine Albert – Édition : Clémence Maret – Voix : Paula Pinto Gomes – Création musicale et doublage : Emmanuel Viau – Illustration : Isabel Espanol – Graphisme : Christèle Larpin. Archives sonores : L’etica dà fastidio ! - 2013 - The Vatican Archive YouTube
• La Chiesa deve camminare con cuore di povertà. Homélie du pape - 2013 - The Vatican Archive YouTube
Les sept travaux du pape François est un podcast original de LA CROIX – Mars 2020
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