Prendre soin. Prendre soin des autres. Prendre soin de soi :
L’un des leitmotivs du Village de l’eau.
Prendre soin, c’est aussi s’informer, apprendre, s’ouvrir…
Etre conscient.e.s que les autres sont parfois différent.e.s de nous !

Prendre soin, c’est notamment éradiquer les VHSS :
Violences Harcèlements Sexuels et Sexistes.
C’est aussi ne pas reproduire de comportements de dominations :
Machisme, Racisme. Homophobie. Transphobie. Classisme…
qui perdurent, même dans des milieux militants « de gauche ».
Inacceptable. Et comment correctement mener une lutte,
si militant.e.s se comportent mal, entre eux et elles ?

Constat partagé par les 6000 à 15000 habitant.e.s du Village de l’eau. Des milliers de militant.e.s très divers, appartenant à d’innombrables partis, mouvements, syndicats, collectifs, groupes affinitaires, tribus… qui d’ordinaire ne se fréquentent pas forcément, mais qui se sent retrouvés à vivre et à militer ensemble.

Loin de décapiter le mouvement anti-bassines, la répression l’a renforcé ; Rendu plus cohérent, plus intelligent, plus conscient, plus efficace… et encore plus joyeux !

Site de Bassines Non Merci !

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Samedi 14 Décembre 2024 : Auchan de Tours Nord – Indre et Loire.
Opération de communication de la Confédération Paysanne 37.

L’action : Sortir des caddies de produits alimentaires de première nécessité qui seront donnés à des assos d’aide contre la faim.

Objectifs : Communiquer sur les rackets dont sont victimes les paysan.nes qui ne s’en sortent plus. On ne compte plus les suicides d’agriculteurs…
Dénoncer le capitalisme et le libéralisme.
Pratiquer et promouvoir une agriculture respectueuse du vivant.
Au delà des questions agricoles, appeler à une convergence des luttes de tous les travailleur.euses…

En Février 2024, ces mêmes militant.e.s avait symboliquement muré l’entrée de Montenay, un cabinet de courtage qui spécule sur les matières premières agricoles.
Voir Reportage.

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La ferme de la Génellerie se situe pas loin derrière la mairie de Saint-Martin-lès-Melle.
Et surplombe la magnifique vallée de l’Argentière.

Ce bel ensemble de bâtiments appartient à la municipalité.
Il a accueilli l’organisation du village de l’eau de juillet 2024.

Visite des lieux, avec Mathieu le maraîcher qui travaille là.
Et nous expose ce projet municipal de lieu de vie : Préservation de la vallée. Expérimentations d’une agriculture respectueuse du milieu, et notamment de la zone de captation d’eau potable…

Bassines Non Merci.
Les Soulèvements de la Terre.

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Juillet 2024 : Saint-Martin-Lès-Melle : Le Village de l’eau :
Formidable et joyeuse aventure humaine.

Courageusement accueilli par la municipalité de Melle, l’événement s’étalait sur 10 hectares de la commune.

Village de l’eau officiellement porté par le syndicat Sud-Solidaire et par l’association ATTAC. Et organisé par Bassines Non Merci et une multitude de collectifs, dont des gens des Soulèvements de la terre…

Jusqu’à 15 000 personnes ont vécu sur ce village éphémère pendant une semaine : Des dizaines de conférences, rencontres, sessions de formation militante, projections… et des concerts tous les soirs…

Enthousiasmant et galvanisant creuset de rencontres, de cohésion, de formation, d’information…

Toutes nos émissions bassine sont ici.

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Samedi 16 novembre 2024 : Saint Sauvant, pas très loin de Sainte Soline.
Un millier de personnes ont répondu à l’appel de Bassines Non Merci, ici contre le projet de bassine de Saint Sauvant.
Et contre toutes les bassines. Manifestation champêtre, pacifique et joyeuse. Joyeuse, mais grave aussi :
Hommage au jeune naturaliste Rémi Fraisse assassiné par la police en 2014…

Bassines Non Merci.
Les Soulèvements de la Terre.

Toutes nos émissions bassine sont ici.

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Suite de la rencontre autour du livre Premières secousses,
signé Les Soulèvements de la terre,
Éditions La Fabrique.

Échange entre le public et deux des auteurices du livre.

Evénement organisé au Bateau Ivre (Tours), par la librairie Les Temps Sauvages.

Toutes nos émissions bassines en écoute ici.

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Présentation de Premières secousses,
livre conçu en collectif par des membres des Soulèvements de la terre.

Bouquin important. Passionnant. Facile à lire, car très bien écrit. Avec intelligence et humilité.

Ni manifeste. Ni livre de recettes révolutionnaires.
Mais un ensemble d’analyses, historiques, économiques, sociologiques, politiques, philosophiques… Accessible. Brillant. Cohérent. Pas de dogmatisme, mais une invitation à la réflexion.
C’est aussi un récit de l’aventure en cours des Soulèvements… par des gens des Soulèvements.

Rencontre avec deux des auteurices,
organisée en Juillet 2024 par la librairie Les Temps Sauvages, au Bateau Ivre à Tours.
Peu de temps avant la tenue du Village de l’Eau qu’on va tenter de vous raconter dans une série d’émissions à venir…

Toutes nos émissions bassines en écoute ici.

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Le poète et pianiste Denis Péan fonde Lo’Jo en 1982…

La puissance poétique de Lo’Jo, cette émission l’évoque pour la première fois en 1993, avec l’époustouflant album Fils de Zamal.
Pas tant de la musique du monde.
Mais de la musique avec le monde, pour tout le monde.
Aux poèmes délicatement ciselés en un savant sabir poétique de mots glanés aux quatre vents du monde…
Magique ? Mystique ? Pourquoi pas. Universel. Cosmique. Assurément.
Mais aussi les pieds sur cette planète où le merveilleux côtoie le drame.
Lo’Jo célèbre la beauté. Et lutte aussi. Notamment contre des injustices coloniales d’hier et d’aujourd’hui : Fermement. Toujours poétiquement…

On croise nos anges angevins, à l’occasion de la sortie de Feuilles Fauves.

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Tous les ans, aux alentours du 11 Novembre,
on vous propose une évocation de la Grande Boucherie de 14-18.

Balade dans l’Aisne, Picardie, sur le chemin des dames, de triste mémoire.
Visite de l’imposant cimetière allemand de la Malmaison,
où sont inhumés des soldats, non pas de 14-18, mais de 1940-1944.

A côté : le fort de la Malmaison, et son histoire absurde : L’armée française s’en servit pour tester ses munitions, avant de l’abandonner à l’armée allemande.

Notre guide : l’historien amateur Didier Ledé, avec qui nous avons déjà exploré les bunkers d’Hitler du ravin du loup de Margival.

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Attention : Souhaitons que cette émission ne soit plus d’actualité :
Mardi 29 octobre 2024, à l’Assemblée Nationale, le Ministre délégué au Budget et aux Comptes publics Laurent Saint-Martin a affirmé que le gouvernement rétablirait les crédits du FSER au niveau de l’année 2024. On attend confirmation.

Il existe 746 radios associatives en métropole et outre-mer.
Avec des missions culturelles, d’information, de formation, de cohésion sociale…
Nationalement : Près de 3000 emplois. Au moins 2 millions d’auditeurices.
Localement : Autant de foyers de vie qui concernent des millions de personnes.

Or, nos radios libres sont en danger de mort :
Pour le budget Barnier, l’amputation de 30% du FSER,
Fond de Soutien à l’Expression Radiophonique versé par le Ministère de la Culture, sans lequel nos radios ne peuvent survivre.
Objectif ridicule : « Economiser » 10 millions sur les 35 que coûte le FSER.
Quand il manquerait des dizaines de milliards pour boucler le budget.

Conséquences si ce budget est voté : 200 radios fermées dès 2025, 800 emplois détruits, avant une hécatombe en 2026.
Un appauvrissement économique, localement et nationalement.
Et un peu partout, disparition de pôles de vie, de communication, d’échange, de culture…

Avec Christophe Betbeder, du SNRL, Syndicat National des Radios Libres.
Et Bryan, de Radio Graf’Hit (Compiègne), qui siège au FSER en tant que représentant du SNRL.

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