Bruno Guglielminetti et Jérôme Colombain reviennent sur la présentation de GPT-5 par OpenAI, saluée pour ses capacités « niveau doctorat », moins d’hallucinations et un usage plus simple, avec cinq personnalités vocales proposées. Ils évoquent deux polémiques politiques : un député britannique ayant délégué ses réponses à un robot conversationnel, et le Premier ministre suédois utilisant l’IA pour obtenir un « second avis ». Leur discussion se poursuit sur une série de cyberattaques en France, dont Bouygues Télécom et Air France, pointant la vulnérabilité des sous-traitants et l’urgence de renforcer leur sécurité.