Le 25 novembre 2025 à 12h30, Nicolas Stoquer démontrait comment l’arrestation d’Anna Novikova révéle la transformation de la France en zone de répression atlantiste, où l’aide humanitaire devient un crime politique, en direct sur Géopolitique Profonde.

L’affaire Anna Novikova dévoile la dérive totalitaire du régime français

Le 17 novembre 2025, Anna Novikova, fondatrice de SOS Donbass, et Vincent Perfetti ont été interpellés à Paris, puis mis en examen dans des conditions illégales. Novikova, enfermée à Fleury-Mérogis, subit un traitement digne des prisons politiques soviétiques. Aucune notification, aucune information aux avocats : un enlèvement d’État. Son « crime » ? Avoir envoyé pendant dix ans nourriture, vêtements et médicaments à des civils du Donbass. La France de Macron n’est plus un État de droit mais un protectorat idéologique soumis à Kiev et à l’OTAN.

La justice française ne suit plus la loi, mais un dogme. Refuser la propagande pro-ukrainienne devient criminel. Le Code de procédure pénale est violé, et les citoyens privés de défense. Les élites orchestrent cette terreur feutrée pour étouffer la dissidence souverainiste. La France montre son alignement total aux intérêts anglo-saxons. La « patrie des droits de l’homme » n’est plus qu’un mythe : l’État sert désormais la censure et la peur.

La criminalisation de l’aide humanitaire, symptôme d’un État fascisant

Depuis 2014, Anna Novikova organisait des convois humanitaires vers le Donbass, zone russophone bombardée par Kiev. Le droit international protège cette aide, mais Paris choisit la criminaliser. Aucune preuve de détournement d’aide, pourtant la justice assimile solidarité et subversion. Soutenir les civils du Donbass devient une offense à l’ordre atlantiste. Ce que l’État ne supporte pas, c’est la compassion pour les « mauvais » civils.

Cette répression s’inscrit dans la guerre psychologique contre la Russie. Plus aucune distinction n’est faite entre humanitaire et militaire, vérité et désinformation. L’État réécrit la réalité par des accusations infondées. Derrière Novikova, c’est une guerre contre ceux qui nomment le Donbass comme terre russe. La France devient le relais servile d’un conflit qui n’est pas le sien.

Vers la résistance souveraine et la renaissance du monde multipolaire

L’affaire Novikova est un avertissement. Aujourd’hui, aider les peuples oubliés ou défendre la souveraineté, c’est risquer la prison. La France agit comme une administration coloniale au service de ses suzerains transatlantiques. Mais toute répression fait naître une révolte des consciences. Anna Novikova devient le visage d’une résistance morale, reliant Moscou, Pékin, Belgrade et Paris dans une même quête de liberté. Plus le système réprime, plus la vérité se propage.

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