Où il est question d’un type qui entend une chanson, un matin, à la radio. Au début il trouve qu’elle sonne presque faux, puis au bout d’un moment il entend un truc étonnant, vraiment. Alors il va y penser, toute la journée, et plus encore..."

Par Samuel Hennequin

Pourquoi tant de haine ? La rumeur d'une ouverture des Jeux Olympiques de Paris par Aya Nakamura, artiste française la plus écoutée au monde, semble faire oublier que même en France, contrairementaux apparences, le racisme est un délit. C'est un déferlement qui doit faire très plaisir aux petites filles françaises qui s'identifient à elle... Hello Papi mais qué pasa ? J'entends des bails atroces sur toi ?
Par Jeanne Larue.

Où il est question d’une bande de copains qui aiment le Whisky et Tindersticks, de parapluie et de bière, du problème de l’absence de service de bus dans l’agglomération Caenaise le dimanche et de la bonne utilisation des impôts du contribuable. Et surtout des bons souvenirs qui restent quand les copains ne sont plus là. 

"Quand les népo-babies grandissent, ils n'ont pas d'autre choix que de reproduire ce qu'ls ont toujours connu. Mais quand arrive la quatrième génération, que reste-t-il de la magie initiale ?

Des spectres numériques, des musées rances, de la tristesse et de sinistres révélations presque posthumes. Mais ne dramatisons pas : it's only show-business !!!!"

Pourquoi la chanson India Song, composée par le beau Carlos d’Alessio, est-elle une chanson mythique du cinéma et de la culture française ? Pourquoi tant de reprises, de ces mots chuchotés, dont aucune n’atteindra jamais la beauté incandescente de l’original ?

Duras, Moreau, les mots de l’une et le velours de la voix de l’autre, une chanson qui parle d’une chanson qui parle de deux femmes qui la dansaient et qui s’aimaient.

Où il est question dans cette chronique d’un homme de 80 ans qui vit entouré de ses chats quelque part en Corse, et compte bien y rester. Cet homme s’est fait connaître pour quelques chansons, quelques cigares et quelque chose à boire, cet homme, c’est Jacques Dutronc. Et en réalité, personne n’a jamais su percer son mystère. Personne, surtout pas les journalistes qui pourtant, insistent et insistent, personne, sauf peut-être, Françoise. Mais elle ne viendra plus.

Poursuivant son exploration des chansons de nos vies, Jane se souvient de ce que la sortie de Common People a dÈclenchÈ dans son corps et dans sa tÍte. Angleterre, Pays de Galles, Bretagne, Paris, il y a des common people partout et ce níest que tout rÈcemment quíon síest permis de les appeler ´ ceux qui ne sont rien ª. Et quíon soir gens de peu ou gens de beaucoup, il est certain quíon aimerait tous vivre un jour cette sensation quíont ressentie Jarvis Cocker et son group Pulp, la premiËre fois quíils líont jouÈe en public.

Rencontre amicale et musicale avec une femme de son siècle, Manon David et son Manon David Club, cette chronique laisse perplexe quant à ses sous-entendus sur la musique "bourgeoise" parisienne. Y'aurait-il de l'eau dans le gaz entre Paris et la Province, comme au bon vieux temps ? Aucun rapport, il s'agit du Manteau de Nuit, et de lui uniquement. Ne voyez pas le mal partout, enfin !

Se sentirait respecté, traité avec équité,

Saurait ne pas être d’accord avec l’autre, tout en sachant l’écouter,

Se sentirait responsable des projets communs sans avoir l’impression de devoir se battre pour avancer,

Se sentirait utile, aurait droit à l’erreur et à une seconde chance,

Se sentirait en sûreté partout où il est,

S’appliquerait à lui-même ce qu’il demande aux autres,

Bien sûr, nous rêvons tous de ce monde idéal. Alors sur quoi pouvons nous agir concrètement dès aujourd’hui ? 

Et si pour changer le monde nous commencions déjà par agir sur nos organisations ? 

Souvenirs de nuits d'hiver à Nantes en 1991.