on fait quoi quand Papa est en dépression ?

pardon d'avance je dis à dix huit millions de reprises personnes socialisées comme femme ou comme homme mais c'est pour prendre le temps de poser le sujet lourd de la dépression.

Le bail Hello Fresh : www.hellofresh.fr/tiroircaisse

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Psy : Mélanie Gosse

musique : Lucas sv

vignette : caroline Bérault

Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. 

—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 

1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)

2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. 

Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre. 

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Laura est française, pis même ! Parisienne ! Il y a quelques années elle rencontre son mari en Israël, ils s'aiment, ils découvrent leurs cultures respectives, ils font un bébé et c'est là qu'ils se rendent compte que ça sera peut être un peu plus ardu que prévu... Différence de culture, d'éducation, c'est un exercice au quotidien que d'aimer dans une autre langue.

Spoiler : ils ont fait un autre magnifique bébé, c'est donc que c'est : possible.

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Psy : Mélanie Gosse

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Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. 

—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 

1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)

2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. 

Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre. 

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« Et vous c’est pour quand »

« faut plus traîner là »

« Vous avez 1% de chance de tomber enceinte »

« c’est quasi impossible »

cest mon amie Linda qui nous raconte depuis les États Unis (et Spoil : avec son bébé dans les bras) son parcours de Pma.

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Patrick m'a toujours interpellée par sa curiosité, dans le public mais aussi dans le privé quand il est pas obligé.

J'ai voulu savoir si, en tant qu'enfant unique devenu papa, il projetait d'agrandir sa famille ou si le modèle unique lui convenait. Et contre toute attente...

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Générique Lucasv

psy : Mélanie

Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. 

—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 

1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)

2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. 

Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre. 

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Cette semaine on parle du sujet de la thèse de Mélanie Gosse, la star de ce podcast puisque sans elle je serais chez moi en train de fomenter des théories du complot.

On se penche donc sur son travail, qui a germé flingue à la main en 2016, alors qu'elle était psychologue clinicienne pour enfants dans une maison de santé.

On est donc (attendez je compte 2025-2016 = 9 ans) 9 ans plus tard, le flingue a été remplacé par une boule à facette ; puisque la thèse de MG est joyeuse, ambitieuse et située : déconstruire la famille en psychanalyse, faire que l'inconnu guide l'analyse, alors que jusqu'ici, la grille de lecture c'était de partir du complexe d'Oedipe.

Grâce à des analystes minoritaires comme elle, et des analysants à qui Oedipe ça en touche une sans faire bouger l'autre, Mélanie construit son travail sur un terreau un peu hostile puisque comme on le sait l'ordre établi aime bien QU'ON LUI DISE QU'IL A RAION, depuis une position située, et c'est pour ça d'ailleurs, qu'elle est moderne et nous sort de la mouise en discutant avec nous les analysants, au lieu de nous laisser moisir dans le silence comme c'est aussi souvent la trend sur les fauteuils des psys.

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Toutes les semaines j'écris comme quoi Mélanie Gosse est la psy de ce podcast et qu'elle mène une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. 

Après, je dis en italique tout ça, du coup jeudi prochain on se lance et on en parle dans un vrai épisode. En attendant :

—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 

1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)

2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. 

Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre. 

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Spoil : tout va bien, je les ai vus la semaine dernière et ils sont cul et chemise. Mais le coup de foudre c'est pas à tous les coups, et on s'en fout. Ca fait des récits et plus y'a de récits plus y'a de visibilité, de trace qu'il n'y a pas qu'une manière de se rencontrer.

Aujourd'hui on est avec Allisson, j'adorais déjà l'écouter raconter des histoires avant, mais quand elle m'a dit quand il a vu son fils mon conjoint a pleuré à chauds bouillon, et moi j'ai regardé l'heure pour savoir si le mac do était ouvert parce que je crevais la dalle, j'ai eu envie de faire une rondade.

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Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. 

—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 

1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)

2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. 

Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre. 

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Est ce que ça finit bien ?

Est ce que ça peut bien se passer en cinquante cinquante comme le prônait cet horrible candidat de l’amour est dans le pré ?

réponse dans cet épisode

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Julie est une meuf libre, connue, respectée, sincère, avec un corps T'AS PEUR parce que c'est son métier : elle est prof de pilates.

Julie élève son fils toute seule, et j'adore sa manière de voir le monde. Je suis super heureuse qu'elle ait accepté de participer au tiroir caisse.

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Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. 

—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 

1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)

2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. 

Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre. 

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J'ai vraiment sincèrement toujours dit " je sais pas si j'en veux, je sais pas si je veux être mère, je sais pas si ça m'intéresse. Limite je veux bien être père (unsafe comme phrase puisque ça veut dire que les pères sont "moins présents ?)

et puis en créant ce podcast j'ai recherché dans mes notes, j'ai tapé "enfant", "bébé", pour voir si j'avais des occurences.

Bah j'en avais plein.

Dès que je quittais un mec je faisais des notes pour pas y retourner juste par ennui, et dans ces notes je dis " de toute façon tu veux des enfants et c'est pas avec cette personne que tu aurais pu avoir assez confiance pour en fabriquer"

OH OH BUSTED

du coup je reviens la dessus. Attention c'est très intime. Pas de trigger warning, mais c'est : perso quoi. Plus que d'hab. plus sincère. En vrai.

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Monté par Soso l'asticot

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psy : Mélanie Gosse

Mélanie gosse est psychanalyste, elle rédige une thèse dans laquelle elle propose une réflexion sur la manière dont les familles mineures (queer, homoparentales, monoparentales) remettent en perspective la méthodologie de la psychanalyse. Dans ce travail de recherche, dont le titre provisoire est "Confronter Oedipe ou défaire la famille, pour des familles mineures et des analystes minoritaires", elle se penche sur la capacité de ces familles "déviantes" (dans le sens pas dans la norme) à remettre la psychanalyse en question. 

—> Pour celleux que ça chauffe d'aller plus loin : en psychanalyse, il y a deux principes : 

1/ c'est l'analysant (le patient) qui décide quel genre de transfert il va faire sur son analyste (le-a psy)

2/ la base de travail des analysants c'est Oedipe : gnagna Oedipe, gnagnagna le complexe d'Oedipe. 

Sauf que si, comme Mélanie Gosse, vous admettez qu'un-e analysant n'est pas (forcément) (que) régi par un schéma oedipien, alors vous acceptez d'accompagner son désir (la raison pour laquelle iel est dans le fauteuil), sa question (ce qui le-a turlupine et l'a mené jusqu'à dans le fauteuil) et son transfert (ce qu'iel doit dépasser en prenant le-a psy comme témoin) en partant de l’inconnu, du « x », et c’est ce X qui crée des analystes minoritaires, qui ont voix au chapitre dans sa thèse, qu’elle leur consacre. 

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