L'avant-dernier Grand Prix du qatar a livré son verdict : Max Verstappen a fait honneur à son statut de quadruple champion du monde 2024 en remportant sa huitième victoire de la saison. Mais il n'y a pas que cela à retenir...

Stéphane Vrignaud et Gilles Della Posta reviennent sur la fin de la collaboration entre Esteban Ocon et Alpine. Un divorce emprunt de lassitude partagée, dommageable au plan de l'image pour l'écurie français, mais qui présage peut-être d'autres rebondissements de la part des décideurs d'Enstone, Flavio Briatore en premier lieu.

Ce Grand Prix a été un chapelet de décisions complètement décousues, voire incompréhensibles. Au final, cela est assez symptomatique de ce qu'est devenue la FIA, c'est-à-dire illisible : la pénalité de Verstappen, celle de Norris, le temps de réaction des commissaires de course après un rétroviseur présent sur la piste...

Même avec le titre pilotes dans la poche, le pilote néerlandais de chez Red Bull continue de mener la vie dure à McLaren. Résultat, le titre constructeur va se jouer à l'issue du dernier Grand Prix de la saison à Abu Dhabi avec Ferrari, qui n'a plus que 21 points de retard sur McLaren. Qui sortira vainqueur de ce dernier enjeu de 2024 ?

Vraisemblablement, les Red Bull ne seront pas de la partie pour s'octroyer ce titre constructeurs, la faute à Sergio Perez, coéquipier pauvre en points cette saison. Faut-il voir le pilote mexicain comme le plus mauvais coéquipier pour un champion du monde ? Eléments de réponse avec quelques comparaisons précédentes.

Bonne écoute !

Présentation : Gilles Della Posta et Stéphane Vrignaud - Réalisation : Sébastien Petit - Graphisme : Quentin Guichard

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