"A une époque où, pour la majorité des guitaristes français, l'incontournable référence était Django Reinhardt, il est allé chercher ses influences outre-Atlantique. De Jimmy Raney, il cultive le goût de la phrase légère, impeccablement articulée , qui confère au discours fluidité et élégance. La finesse de sa sonorité, son toucher subtil ne sont pas les moindres séductions de son jeu."

Voilà ce que le Dictionnaire écrit à propos de Sacha Distel.

S'il a connu la gloire, en tant que chanteur, il a d'abord été guitariste, et même guitariste de jazz, jouant avec Lionel Hampton, Stéphane Grappelli ou même le pianiste John Lewis avec lequel il a enregistré l'album "Afternoon in Paris" à la fin de l'année 1956.

Sacha Distel était à l'honneur de l'émission Jazz Story en septembre 2003. Une saga en cinq épisodes, au micro de Jean-Michel Proust.

 

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Comment la légende Quincy Jones est-elle née ? Quel a été son premier contact avec la musique ? Pourquoi la trompette ? Comment s'est-il retrouvé dans les rangs de l'orchestre de Lionel Hampton ? Qu'est-ce qui l'a conduit en France pour étudier auprès de Nadia Boulanger ?

C'est à toutes ces questions, et bien d'autres, que Mister Q a répondu fin août 2003 à l'occasion d'une Jazz Story animée par Jean-Michel Proust et traduite par Sébastien Vidal.

A l'époque, Robert Laffont venait d'éditer son autiobraphie, "Quincy par Quincy Jones" avec une traduction signée Mimi Perrin, la fondatrice des Double Six, et sa fille Isabelle Perrin.

 

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Le 25 mars 2013, nous recevions l'une des figures historiques et politiques les plus importantes du 20ème siècle aux Etats-Unis.  Angela Davis, la plus célèbre des militantes africaines-américaines était l'invitée d'un épisode exceptionnel des Lundis Du Duc à l'occasion de la sortie du film "Free Angela and All Political Prisoners". Une oeuvre consacrée à son histoire et réalisée par Shola Lynch. 

Accompagnée de la réalisatrice et au micro de Laurent Sapir, Angela Davis revenait sur son parcours d'activiste: ses liens avec le parti communiste américain, son combat féministe, la lutte pour les droits civiques aux Etats-Unis et la situation politique de son pays (en 2013) marquée à l'époque à la fois par la présidence du premier Président africain-américain, Barack Obama, et par un système carcéro-industriel plus puissant qu'il ne l'a jamais été. Et puis bien sûr son rapport au Jazz, à la musique comme moyen de lutte, et les liens avec les artistes qui la soutenaient dans ses combats (à commencer par Aretha Franklin !).

Un des grands moments radiophoniques de TSFJAZZ...

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Juillet 2013, Paris a chaud et la température grimpe d'encore quelques degrés avec la venue d'une légende dans l'émission Summer of Jazz.

Le saxophoniste Benny Golson se produit pendant plusieurs soirs au Sunside avec son ami, le contrebassiste Pierre-Yves Sorin. L'occasion pour cet illustre Jazz Messenger de se confier à notre micro : sa rencontre avec Art Blakey, son premier séjour à Paris à l'automne 1958 pour des concerts mythiques au Club Saint Germain, la composition de la Blues March...Il nous dit tout.

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C'était il y a un an et des poussières... Le 7 janvier 2019, au lendemain du vingtième anniversaire de la disparition de Michel Petrucciani, nous recevions son fils, Alexandre, ainsi que Rachid Roperch, le premier fils de sa deuxième compagne, Marie-Laure, qu'il considérait également comme son enfant et auquel il a d'ailleurs dédié l'une de ses plus fameuses compositions.

A l'époque, Alexandre et Rachid entamaient le tournage d'un documentaire sur leur père, Hidden Joy: A Fragile Journey. 

Le batteur Aldo Romano, avec lequel Michel Petrucciani avait débuté, était également présent lors de ce numéro des Lundis du Duc.

 

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Cinq ans après l'attentat de Charlie Hebdo dont il fut l'une des victimes, on se souvient du fou de jazz qu'était Cabu.

Un amour né en découvrant Cab Calloway durant l'entracte d'un spectacle des Harlem Globe Trotters. Il avait 18 ans, venait de s'installer à Paris pour travailler comme apprenti dans un studio de dessin spécialisé dans les emballages alimentaires, et il a tout de suite fait le lien avec sa passion initiale pour Charles Trénet.

Pendant plusieurs saisons, chaque jeudi matin, Cabu venait d'ailleurs partager sa passion sur nos ondes, avec sa chronique "Le jazz qui déménage".

Le 20 décembre 2012, on lui avait aussi consacré toute une journée spéciale au moment de la sortie du double CD illustré "Keep On Swinging, le jazz de Cabu", avec en point d'orgue un grand entretien au micro de Sébastien Vidal et Laurent Sapir.

 

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Aujourd'hui dans Nos 20 ans on réécoute un de nos héros de Cinéma...

C'est un beau jour d'octobre 2010 que retentit le timbre profond aux intonations reconnaissables entre mille de Jean-Pierre Marielle. Dans leur Lundis Du Duc Laurent Sapir et Sébastien Vidal recueillèrent les confessions de cet illustre membre de la Bande du Conservatoire à l'occasion de la sortie de son autobiographie/abécédaire : Le Grand N'importe Quoi (Editions Calmann-Lévy).Comme à son habitude, l'acteur magistral des Galettes de Pont-Aven, Calmos et autres Coup de Torchon, se livrait en peu de mots, mais toujours les plus mordants. L'occasion aussi de revenir avec lui sur ses nombreuses anecdotes liées au Jazz qu'il aimait tant.

Et notamment une drôle d'histoire "stupéfiante" le liant à René Urtreger et Kenny Clarke... Une émission entre gentlemen extraordinaires puisque ce jour là autour de la table et de nos micros se succédaient également Michel Boujut, critique & romancier jazzfan, et le saxophoniste Lionel Belmondo.

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Fin décembre 2005, notre co-fondateur, Jean-François Bizot nous embarque avec la fougue, l'érudtion, l'esprit et l'humour, qu'on lui connaît, aux sources de la musique africaine-américaine, d'Afrique du Sud à Haïti, en passant par Kinshasa et les Etats-Unis, à l'occasion de la parution aux éditions Panama du livre "Vaudou et Compagnies".

Un voyage en sept épisodes. Le premier se déroule à la Nouvelle-Orléans. C'est notre archive de la semaine.

 

 

 

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Un beau jour de décembre 2003, c'est une silhouette familière qui pénètre les anciens studios de TSFJAZZ, rue du Faubourg Saint-Antoine dans le 11ème arrondissement de Paris. Une silhouette et une voix qu'on reconnaîtrait entre mille sitôt qu'elle nous parle de Chanson douce...

Trois ans après la sortie de Chambre avec Vue et ses millions d’exemplaires vendus, c'est Henri Salvador qui est l'invité de Jazzfan (l'ancêtre de notre Portrait In Jazz actuel) et se raconte au micro de Laure Albernhe et Jean-Michel Proust. Retour sur 70 années de bons et loyaux services musicaux de celui qui aura été "Henry Cording", chanté les textes de "Vernon Sinclair" alias Boris Vian, et partagé la scène avec les plus grands : Django, Ray Ventura, Eddie South, Quincy Jones, Count Basie… Pour nos 20 ans, on s'offre une petite heure à l'ombre du sourire ensoleillé d'Henri Salvador.

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Batteur de la nuance, musicien coloriste et de la subtilité, Paul Motian a révolutionné l'approche et la pratique de son instrument dès la fin des années 50 dans le trio de Bill Evans ou dans celui de Keith Jarrett, dix ans plus tard.

Pourtant, lorsqu'il s'installe dans notre studio le 10 septembre 2003, à la veille de son concert au Festival Jazz à La Villette, il fait preuve d'une humilité rare : "J'ai du mal à me considérer comme un musicien qui a quelque chose à transmettre. J'ai toujours l'impression que je suis en train d'apprendre".

Une interview au micro de Jean-Michel Proust et Sébastien Vidal, dans le cadre de Jazz Magazine, entre 19h et 20h.

 

 

 

 

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