Dans la première partie du podcast, Dimitri se présente comme l'hôte de Tsunami IA et explique que le podcast abordera les sujets liés à l'intelligence artificielle. Il annonce également qu'ils discuteront des actualités dans cet épisode. Les premières actualités concernent une start-up française nommée TerraPixel qui a développé une IA capable de diagnostiquer le cancer du sein avec une précision de 96%.

Ensuite, Dimitri parle d'un accord politique conclu par l'Union Européenne pour réglementer l'utilisation de l'intelligence artificielle en Europe. DeepMind, filiale de Google, a également développé une intelligence artificielle appelée FunSearch qui résout des problèmes mathématiques complexes. Spotify expérimente quant à lui des fonctionnalités d'IA pour créer des playlists personnalisées à partir de prompts textuels.

Enfin, il est mentionné que Meta (anciennement Facebook) travaille sur des filtres Instagram utilisant l'IA pour améliorer les stories. Le compte SRED (concurrent de Twitter) dédié à TsunamiIA a été créé et Midjourney lance son propre site internet pour faciliter la génération d'images réalistes avec leur application d'IA. Intel a également lancé un nouveau processeur optimisé pour l'intelligence artificielle appelé Xeon Generation 5.

Les gros fabricants de processeurs (Nvidia, Intel, AMD) suivent la course à l'intelligence artificielle. Amazon et Apple travaillent également sur leurs propres processeurs. Il est crucial d'avoir une puissance de calcul pour développer des modèles d'IA accessibles aux utilisateurs finaux et aux entreprises. OpenAI lance un programme pour contrôler une IA super intelligente en alignant ses objectifs avec ceux des humains.

ChannelOne.ai utilise des avatars deepfake pour présenter les informations, offrant ainsi une expérience réaliste et la possibilité de traduire dans différentes langues.

Le revenu universel est envisagé comme solution face au remplacement potentiel de nombreux emplois par l'intelligence artificielle.

L'impact de l'intelligence artificielle sur l'emploi est réel, avec une automatisation accrue dans certains secteurs. Cela signifie moins d'emplois pour les humains, mais aussi la création de nouveaux emplois nécessitant des compétences liées à l'IA. La transition vers cette nouvelle réalité pose un défi majeur en termes de reconversion des travailleurs. Le revenu universel est une solution envisageable pour répondre aux problèmes économiques et sociaux causés par l'automatisation, notamment en réduisant la pauvreté et en encourageant l'entrepreneuriat.

Les principaux défis du revenu universel sont le financement, la répartition équitable, l'impact économique, la transition sociale et son intégration avec les systèmes existants d'aide sociale.

L'intelligence artificielle pourrait redéfinir la notion de travail et de succès.

Le travail est actuellement évalué en termes économiques, mais si l'IA remplace les humains dans diverses tâches, cela pourrait changer. Les activités humaines pourraient alors se tourner vers des domaines où l'IA est moins performante, comme le travail associatif ou artistique.

Cependant, il y a des défis à considérer : financement du revenu universel, impact sur l'innovation et l'économie, changement culturel et sociétal, inégalité dans la distribution des bénéfices apportés par l'IA et résistance politique et économique.

Cette transition nécessiterait donc des changements majeurs au niveau économique et politique ainsi qu'une révision profonde de nos valeurs sur le travail et la contribution à la société. Il est également important d'envisager comment valoriser ces nouvelles formes d'activités qui peuvent ne pas avoir une valeur monétaire élevée mais qui contribuent au bien-être social, culturel ou environnemental.

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