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By DialoguesMR21
The podcast currently has 33 episodes available.
Eléments stratégiques pour mener la transition bas carbone, les métaux (acier, aluminium, cuivre, mais aussi indium, lithium, cobalt, terres rares…) font aujourd’hui l’objet d’une compétition mondiale intense, tant en matière de production que de sécurisation des chaines d’approvisionnement. Face à une demande mondiale en croissance exponentielle, du fait notamment du déploiement des énergies renouvelables et de l’électromobilité, la perspective de la raréfaction, voire de l’indisponibilité, de certains métaux d’ici à quelques décennies en font un sujet géostratégique majeur.
Dans son ouvrage « Métaux, le nouvel or noir : demain la pénurie ? » co-écrit avec Benjamin Louvet, Emmanuel Hache alerte : « Notre dépendance aux énergies fossiles va donc se transformer en une dépendance aux métaux. Et nous ne sommes pas prêts ! ».
Quels changements politiques, géopolitiques et industriels sont nécessaires pour être prêt ? C’est autour de cette question principale que nous échangerons avec Emmanuel Hache, premier Grand Témoin d’un nouveau cycle de Dialogues consacré aux enjeux géopolitiques de la transition énergétique et écologique.
A travers ce dialogue, nous abordons notamment les thématiques suivantes :
Une exploitation minière « durable » et sociétalement acceptable est-elle possible ?
Comment la course aux métaux redessine les rapports entre puissances économiques sur la scène mondiale ?
Et assiste-t-on à l’émergence d’une « diplomatie minérale » au sein des Etats ou de régions comme l’Europe ?
Biographie : Emmanuel HACHE est Adjoint scientifique et économiste-Prospectiviste à IFP Énergies nouvelles, chercheur associé à Economix (EconomiX-CNRS, Université Paris Nanterre) et directeur de recherche à l’IRIS. Docteur en Sciences économiques (Université Paris I) et habilité à diriger des recherches (Université Paris-Nanterre). Il est également diplômé en Géopolitique et Prospective de l’Institut de Relations internationales et stratégiques (IRIS). Il travaille sur la prospective énergétique et sur les questions des ressources naturelles pour la transition écologique à IFP Énergies nouvelles. Il enseigne la prospective, l’économie et la géopolitique des ressources naturelles dans de nombreux
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Les débats sur le travail n’ont jamais été aussi nombreux et controversés depuis quelques années, de l’impact de la crise Covid sur les modalités d’organisation du travail et le rôle des managers, aux récents débats et manifestations autour de la réforme des retraites, en passant par la thèse de « l’épidémie de flemme », le « bore out » ou encore la « grande démission ». Mais a-t-on véritablement parlé du travail?
L’ouvrage collectif « Que sait-on du travail ? », coordonné par Bruno Palier, arrive à point nommé pour prendre du recul et poser un regard scientifique et historique sur le sujet.
Issu d’un projet de médiation scientifique sur le travail, il met à disposition du débat public les savoirs accumulés par de nombreux chercheurs depuis de nombreuses années.
Avec Bruno Palier, nous ferons un voyage entre le passé et le futur à travers les thématiques suivantes :
Les caractéristiques du travail en France
Les conséquences du management actuel et de l’organisation du travail sur les salariés et sur notre société
Et les évolutions urgentes à mettre en œuvre
Bruno PALIER a été directeur du Laboratoire interdisciplinaire d'évaluation des politiques publiques (LIEPP) de septembre 2014 à juillet 2020. Directeur de recherche du CNRS à Sciences Po (CEE), il est docteur en science politique, agrégé de sciences sociales et ancien élève de l’école normale supérieure de Fontenay Saint Cloud.
Il travaille sur les réformes des systèmes de protection sociale en France et en Europe, et conduit plusieurs projets de recherche sur: les politiques d’investissement social, l’européanisaiton des réformes de la protection sociale, les dualisations sociales en Europe. Il a été Guest Professor à l'Université de Stockholm au printemps 2009, Visiting Scholar à l’Université Northwestern au printemps 2007 et au Center for European Studies de l’Université Harvard en 2001, et Jean Monnet Fellow à l’Institut Universitaire Européen de florence en 1998-1999. Il est honorary Professor of Welfare State Reseach à l’université d’Odense, South Denmark.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Issue de la Loi Pacte promulguée en 2019, la raison d’être s’est construite comme une
Veolia sera l’une des premiers grands groupes à se doter d’une raison d’être, sous l’impulsion de son Président Antoine FREROT, dirigeant précurseur dans la réflexion sur l’utilité de l’entreprise et sa relation aux parties prenantes.
Quatre ans après la loi Pacte, si les raisons d’être ont fait école, on ne parvient pas toujours à comprendre comment elles sont construites, ce qu’elles recouvrent et ce qu’elles changent au business as usual.
Avec Antoine FREROT, Président de Veolia, invité exceptionnel des Dialogues MR21,
- Quelles sont les forces et les limites du concept de « raison d’être » aujourd’hui ?
- Comment la raison d’être interroge la gouvernance et la place qui doit – ou devra –
- Enfin, des évolutions – volontaires ou règlementaires - sont-elles nécessaires pour
Diplômé de l'École polytechnique, ingénieur du corps des Ponts et Chaussées et docteur de
Acteur engagé de longue date sur le rapport de l’entreprise à la Société, et notamment sur la notion d’utilité de l’entreprise, il a soutenu de manière active l’avènement de la Loi Pacte. Il
Ce Dialogue est animé par Marine Champon, co-fondatrice du MR21.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Dialogue avec Agnès Weil, Directrice du Développement Durable et Déléguée générale de la Fondation d'entreprise au Club Med et Julie Terzian, Chargée du programme DELFI - Développement économique local et filières innovantes à Agrisud International
Les entreprises et les ONG développent depuis quelques années de nouvelles relations, plus diversifiées et répondant aux besoins de chacun de ces deux acteurs a priori éloignés. Alors que de plus en plus d'entreprises développent leur politique de responsabilité sociale, les ONG considèrent d'un nouvel œil le monde de l'entreprise et des rapprochements s’opèrent.
Signé fin 2008, le partenariat entre le Club Med et l’ONG Agrisud permet d'approvisionner les Villages Club Med de onze pays en fruits et légumes frais, cultivés selon des principes agro-écologiques, en soutenant plus de 515 petites exploitations agricoles familiales.
Afin de nous aider à mieux comprendre ce partenariat inspirant, Agnès Weil Directrice du Développement Durable du Club Med et Julie Terzian, Chargée du programme DELFI chez Agrisud, sont les invités de notre prochain Dialogue MR21
Nous analyserons dans un premier temps la genèse de ce partenariat, les différentes parties prenantes qui le constituent et les objectifs de chacun des partenaires.
Nous échangerons avec nos invitées sur les éléments clés de ce partenariat, quelles actions menées, quelle organisation au niveau de l’entreprise comme de l’ONG.
Enfin, nous aborderons les résultats clés de ce partenariat après presque 15 ans de mise en
Ce dialogue s’inscrit dans le Cycle des dialogues MR21 consacré à des cas concrets et
Agnès Weil est diplômée de l’ENSAE (Ecole Nationale de la Statistique et de l’Administration
Julie Terzian possède un Master en Relations Internationales à la Sorbonne. Julie Terzian
Dialogue animé par Sybille BERNARD, co-fondatrice du réseau MR21.
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Début 2023, une vaste enquête menée par l’IFOP révélait des chiffres attestant d’une profonde mutation du rapport au travail des Français : 21% des actifs considèrent désormais que le travail occupe une place centrale dans leur vie versus 60% il y a 30 ans. Dans la même lignée, l’idée de « travailler plus pour gagner plus » ne fait plus recette : 61% préfèrent gagner mois d’argent mais avoir plus de temps libre versus 38% il y a 15 ans. En substance, les Français considèrent, dans leur majorité, que c’est au travail de s’adapter à leur quotidien et non l’inverse.
Si ce panorama acte une dégradation du contrat social avec le travail à l’œuvre depuis des décennies, ce contrat social est également profondément questionné ces dernières années avec la pandémie de Covid 19 et le recours au télétravail par une proportion croissante de salariés (qui challenge le concept même « d’entreprise » comme lieu physique, porteur de lien social), les envies plus fréquentes de démission ou le phénomène de quiet quitting.
Ces phénomènes sont également à mettre en regard avec le fait que la culture de la reconnaissance eu sein des entreprises demeure le talon d’Achille de la France et questionne en profondeur le management.
L’analyse des ressorts du mouvement social actuel montre combien ce mouvement dépasse la
· Comment en est-on arrivé à cette quasi-inversion du rapport au travail en 30 ans ?
· Quelles sont les demandes sous-jacentes par rapport au travail qui s’expriment depuis
· Et quelles sont les pistes d’évolution possibles, notamment au niveau du management des
Autant de questions que nous aborderons avec Romain BENDAVID, premier invité de ce
Romain BENDAVID est Directeur de l’Expertise Corporate et Work Experience de l’IFOP et
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8 fois les émissions de gaz à effet de serre de la France entière : c’est ce que représente l’empreinte carbone des banques françaises à l’échelle mondiale. La principale cause de ce chiffre phénoménal : lefinancement, par les banques, des entreprises actives dans les énergies
Depuis les accords de Paris, les conférences et déclarations de l’Etat se multiplient sur le sujet : 8eme édition du Climate Finance Day en novembre dernier, Finance for Tomorrow, Institut de la Finance Durable, Reporting climatique… Cette autorégulation du secteur financier actuellement prônée par l’Etat porte-t-elle ses fruits ? Et sera-t-elle suffisante pour faire évoluer rapidement ce secteur ?
Afin de nous aider à dresser un état des lieux de la place et la responsabilité du secteur financier dans la lutte contre la crise climatique, Cécile Duflot, Directrice Générale d’Oxfam France, sera l’invitée du prochain DialoguesMR21.
Avec elle, nous analyserons les conséquences de l’adoption de l’Accord de Paris sur les acteurs du secteur de la finance. Quelles actions concrètes ont été entreprises par les acteurs financiers pour respecter l’Accord de Paris ? Ont-ils diminué leurs financements aux énergies fossiles et renoncés à soutenir le développement du secteur du charbon ?
Nous reviendrons également sur les actions menées par les ONG pour inciter les acteurs financiers à respecter leurs engagements, et notamment sur la plainte déposée le 23 mars 2022 contre BNP Paribas sur son plan de vigilance par trois ONG : Les Amis de la Terre France, Oxfam France et Notre affaire à tous.
Enfin, nous aborderons les pistes de solution pour que le secteur financier accélère ses efforts et réponde au défi que représente la crise climatique. Dans ce cadre nous reviendrons en particulier sur les initiatives annoncées par le Crédit Mutuel et la MAIF de dividende sociétal ou
Ce dialogue s’inscrit dans le Cycle des dialogues MR21 autour de la finance durable « Comment le système financier peut accélérer la transition vers un modèle soutenable et durable ? ». Dans ce cadre MR21 a eu l’occasion d’accueillir Nicolas Théry, Président du Crédit Mutuel sur le thème de la banque à mission et Lucie Pinson, Fondatrice et Directrice générale de l’ONG Reclaim Finance autour du thème « Finance verte = Greenwashing ? ». Ces deux dialogues sont disponibles sur la chaine podcast DialoguesMR21.
Cécile Duflot a pris la direction générale de d’Oxfam France au mois de juin 2018. Oxfam France, organisation de solidarité international, mobilise le pouvoir citoyen contre les inégalités et la pauvreté depuis 30 ans. Etudiante, Cécile Duflot a commencé à militer au Genepi,
Dialogue animé par Sybille BERNARD, co-fondatrice du réseau MR21.
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Le 31 mars dernier dans le journal le Monde paraissait une tribune intitulée "Prétendre éviter des crises alimentaires en Afrique et au Moyen Orient, en relançant la production agricole européenne est une erreur". Les signataires ? Un collectif de plus de 800 scientifiques souhaitant faire entendre leur voix face au discours ambiant qui laisse à penser que certains pays courent à la famine en raison du conflit en Ukraine et qu’il serait souhaitable de redonner la priorité à la croissance de la production agricole en Europe.
Nicolas Bricas, Chercheur au CIRAD, socio-économiste de l'alimentation, Titulaire de la Chaire Unesco Alimentations du Monde et cosignataire de la Tribune, dressera un état des lieux du système alimentaire actuel, son modèle industriel, ses effets en particulier sur l’environnement et ses limites. Il reviendra sur les raisons de la publication de cette tribune.
Nous nous arrêterons sur quelques idées reçues concernant le système alimentaire actuel : Existe-t-il un lien entre la crise alimentaire à laquelle le monde est actuellement confronté et la guerre en Ukraine. Est-ce que la guerre autorise la mise entre parenthèses des politiques agro environnementales européennes ? La production alimentaire doit-elle augmenter pour nourrir le monde ?
Nous aborderons les pistes de solution pour éviter une prochaine tempête : comment amorcer la transformation du système alimentaire vers un système plus durable, comment repenser la manière dont le monde nourrit ses habitants, quelles initiatives existantes ? Quel rôle pour les entreprises ? Nicolas Bricas évoquera en particulier l’émergence souhaitable d’une démocratie alimentaire.
Ce dialogue s’inscrit dans le Cycle des dialogues MR21 «Agriculture & Alimentation face aux défis de la souveraineté et du changement climatique ».
Nicolas BRICAS est expert en socio-économie des systèmes alimentaires et chercheur principal au CIRAD, organisme français de recherche agronomique et de coopération internationale qui œuvre pour le développement durable des régions tropicales et méditerranéennes. Ses principaux thèmes de recherche sont les effets de l'urbanisation rapide, de l'industrialisation et de la libéralisation sur les systèmes et les styles alimentaires dans les pays d'Afrique et d'Asie.
Depuis 2008, il est membre actif du Groupe interministériel français sur la sécurité alimentaire et la nutrition (GISA) et participe au Comité de la sécurité alimentaire mondiale (CSA). Il est actuellement directeur de la Chaire UNESCO sur les systèmes alimentaires mondiaux, à Montpellier SupAgro et au CIRAD, où il anime des programmes de recherche et des sessions de formation sur les systèmes alimentaires urbains durables, en France et à l'étranger. Il est Membre de l'International Panel of Experts on Sustainable Food Systems (IPES-Food).
Dialogue animé par Sybille BERNARD, co-fondatrice du réseau MR21.
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"Je suis contre le libre-échange car c'est la liberté du loup dans la bergerie". C'est aisni que débute le nouvel essai de Kako NUBUKPO « Une solution pour l’Afrique : du néoprotectionnisme aux biens communs », paru e 12 octobre 2022 aux Editions Odile Jacob.
A cette occasion, Kako NUBUKPO est l’invité d’un dialogue autour des enjeux de la croissance africaine de demain.
Dans son précédent ouvrage « L’urgence africaine », Kako NUBUKPO dressait un constat :
Intellectuel engagé dans la dénonciation de la « néo-mondialisation », Kako NUBUKPO partage avec nous sa vision d’un nouveau développement pour l’Afrique, basé notamment sur le
Avec lui, nous revenons sur les défis précités, sur les bases de ce nouveau modèle de croissance basé sur les « biens communs », sur la place des entrepreneurs et des
Kako NUBUKPO est économiste, ancien Ministre de de la Prospective et de l’Evaluation des politiques publiques du Togo et actuellement Commissaire à l’agriculture, aux ressources en eau et à l’environnement de l’Union Economique et Monétaire Ouest-Africaine (UEMOA). Il est le fondateur de l’Observatoire de l’Afrique Subsaharienne à la Fondation Jean Jaurès et l’auteur de nombreux ouvrages parmi lesquels « L’urgence africaine – Changeons le modèle de croissance » paru en 2019 et « Une solution pour l’Afrique : du néoprotectionnisme aux biens communs » paru le 12 octobre 2022.
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Personnalité atypique dans le monde des grands patrons, Serge PAPIN a
Avec Serge PAPIN, nous interrogerons l’impact des actuels et futurs arbitrages du
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Les mois de mai et juin sont traditionnellement ceux des Assemblées Générales, celles -ci sont de plus en plus médiatisées alors que des activistes et ONG interpellent leurs dirigeants sur la soutenabilité de leurs engagements financiers. Ce fut le cas encore il y a quelques semaines pour les dirigeants du Crédit agricole, d’Amundi, de BNP Paribas, d’Axa ou encore de TotalEnergies.
La finance dite responsable s’est développée notamment en France depuis les premières émissions de Green Bonds (obligations finançant des projets à caractère écologique, primo-émission en France en janvier 2017) et l’article 173 de la loi de Transition Energétique (janvier 2015) qui contraint les investisseurs institutionnels à décrire comment ils prennent en compte les critères ESG (Environnementaux, Sociaux et de Gouvernance) dans leurs choix d’investissement.
Malgré les discours des entreprises et les efforts du législateur à réorienter les investissements, il semblerait que l’utilisation du levier financier face à l'objectif climatique de 1,5°C soit au centre de nombreuses critiques. Ceci alors qu’une étude menée en juin 2021 par OpinionWay montre que 76 % des Français estiment que l’impact des placements sur la qualité de l’environnement est un sujet important.
Lucie PINSON, Fondatrice de l’ONG Reclaim Finance, partagera son analyse du rôle actuel des investisseurs et acteurs financiers français dans notre trajectoire collective : quelles sont les déclarations, quelle est la réalité des faits à travers des exemples récents. Sommes-nous en pleine schizophrénie ? A quel niveau se prennent les décisions ? Quels sont les facteurs d’influence ?
Nous nous nous interrogerons sur la pression grandissante des ONG et des citoyens sur les acteurs, privés pour aller vers une société soutenable.
Nous nous arrêterons sur les victoires importantes déjà obtenues et nous échangerons
Et nous aborderons également les réponses apportées par le régulateur au niveau français comme européen.
Lucie PINSON a fondé Reclaim Finance après plusieurs années de campagne sur la responsabilité des acteurs financiers dans les dérèglements climatiques. Lucie a initié et coordonné des campagnes visant à convaincre les banques, assureurs et investisseurs à ne plus soutenir l’expansion des énergies fossiles. Militante des Amis de la Terre France, elle y a travaillé entre 2013 à 2017 en tant que chargée de campagne finance puis entre 2018 et 2020 pour le Sunrise Project en tant que coordinatrice européenne d’une campagne internationale appelant les assureurs à cesser leurs soutiens au charbon. Lucie est diplômée d’un BA en histoire et sciences politiques de l’université de Rhodes en Afrique du Sud, et d’un double master en sciences politiques de l’université de la Sorbonne à Paris. Elle a reçu le prix Goldman pour l’environnement en novembre 2020, en reconnaissance de son travail sur le charbon.
Reclaim Finance est une ONG fondée en mars 2020 avec pour ultime objectif de mettre la finance au service du climat
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